Salim LAMRANI
En juin 2003, sous l’impulsion de l’ancien Premier ministre espagnol, José Maràa Aznar, l’Union européenne décide d’imposer des sanctions politiques et diplomatiques à Cuba. Cette décision se justifie, officiellement, en raison de la « situation des droits de l’homme » et suite à l’arrestation de 75 personnes considérées comme des « agents au service d’une puissance étrangère » par la justice cubaine et comme des « dissidents » par Bruxelles.
Le seul pays du continent américain condamné (…)