Bonjour.
« « proposer une thérapie aux hommes qui usent de violence. » »
Pour qu’une thérapie soit efficace, il faut deux choses, le bon diagnostique de ce qui est à l’origine du comportement en question et le souhait de l’individu de vouloir sortir de sa violence.
Mais tout ceci est encore une action en périphérique qui mobilise beaucoup d’énergie de la part de beaucoup de monde plus ou moins compétents.
Il faut réfléchir sur des solutions qui agiront et seront réellement préventives sur les conditions qui mènent au passage à l’acte d’une part, et d’autre part les conditions sociales et les interventions adéquates pour éradiquer les conditions qui mènent au passage à l’acte.
Donc nous sommes confrontés à la condition humaine, héritage de l’hominisation.
Un défi de taille, mais aujourd’hui nos Connaissances devraient nous permettre de trouver les bonnes solutions centrales et déterminantes. Notre compréhension juste , __dans le sens de justesse (Krishnamurti)__ de notre condition humaine est la seule qui peut résoudre ce problème somme toute pathologique ?
Je vous invite à bien contempler, avec attention le document Naissance sans Violence de M. le Boyer décédé cette année, une grande perte pour l’Humanité. C’est ma conviction profonde.
Les travaux de M. Stanislav Groff (psychologie trans-personnelle) sont à considérer avec sérieux.
Tout dépend de notre façon de voir. En pensant voir avec tous nos préjugés, frustrations et croyances, ou en voyant, laissant émerger nos émotions, les constater simplement, sans tomber dans le piège de la conclusion portée par nos tendances idéalisées (idéologie dans le sens de nos organisations discursives internes arrêtées).
Frédérique le Boyer : une foi qu’on a rencontré le regard de l’enfant naissant, qu’on a vue la personne, c’est fini, on ne peut plus le traité comme un objet, on pensait qu’il ne sentait rien, que les cris étaient __une simple "fonction automatique", sans plus ? (En mes mots)__
Mais la question se pose, comment voyait réellement, scientifiquement, les médecins de l’époque. Aujourd’hui, avec les recherches, nous savons que ce n’est plus le cas.
L’enfant souffre d’une redondance d’intervention inutile encore aujourd’hui ?
Mais quelle en est la cause réelle ?
Un début de réponse.
La connaissance interdite d’Alice Miller
5. comme si l’on voulait savoir pp. 107-123
Éditions Aubier 1990
ISBN 2-7007-2110-1
Pour ceux qui comprennent que nous devons agir fondamentalement, et non continuellement perdre nos énergies en périphéries, car les problèmes, les causes ont engendré des effets qui agissent comme autant de causes "subsidiaires".
Agir en périphérie est incontournable, mais nos actions fondamentales, plus elles se répandrons, plus le périphérique s’affaiblira, sera marginal et facile à rectifier.
C’est à nous de voir ce qui est fondamental et ce qui est périphérique, ainsi les actions seront plus adéquates.
Une réflexion.
Pour régler ce problème au niveau macroscopique, il y a le travail partagé et le partage des tâches familiales. Dans le mode de travail actuel, il y a le grand déséquilibre entre le dominant et le dominé, qui conduit l’un à dominer et les autres à la soumission, ce qui est reproduit au sein de la famille. Avec le temps s’installe un état de fait que nous devrions tous constater tous les jours, le phénomène de l’exploitation de l’homme par l’Homme de basse intensité dans nos relations, même intime, autant de part et d’autre, femme et homme. Notre notion du travail quelque soit l’idéologie de droite, de gauche, religieuse, reconduisent cette aberration de l’homo faber très actuelle, comme étant la base de la dignité humaine. Un mythe que même les discours les plus progressistes conditionnent. Mais, le voyez-vous ? Une foi vu, le symbole tombe et fait place à la perception directe (krishnamurti).
Voici une citation que nous devrions méditer sérieusement.
Albert Einstein
“Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu’il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau.”
Patri Friedman, petit-fils de..., flotte en eau ultralibérale
Pierric Marissal
Mercredi, 3 Septembre, 2014
« « L’individualisme n’a plus de bornes : si les pauvres ont envie d’être riches, il suffit qu’ils travaillent et fassent des efforts pour y arriver, si d’autres ont envie de devenir esclaves, pourquoi les en empêcher, et si un milliardaire veut devenir un homme bionique immortel, ce doit être un modèle à atteindre. » »
http://www.humanite.fr/patri-friedman-petit-fils-de-flotte-en-eau-ultr...
Somme toute pathologique ?
Nous sommes le Pouvoir – Discours de John Trudell, poète et activiste
par christophecroshouplon (son site)
samedi 5 août 2017
Nous devons être prêts dans notre vie à faire face à la réalité. Ce n’est pas la révolution que nous recherchons, c’est la libération. Il y a eu beaucoup de révolutions sociales en Amérique et en Europe, il y a eu de nombreuses organisations sociales, il y a eu des mouvements des droits des femmes, il y a eu des mouvements de défense des droits égaux, il y a eu des mouvements syndicaux, et pourtant regardez qui contrôle encore nos vies aujourd’hui. Nous avons à faire face à cette réalité.
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/nous-sommes-le-pouvoir-di...
Krishnamurti : la gauche est la continuité modifié de la droite..........
Personnellement quand je nous regarde, ma confiance va vers l’Évolution naturelle.