Bonjour.
« « « La « crise des migrants » comme la nomment les médias trop pressés, les politiciens opportunistes et les citoyens apeurés par les précédents susnommés, dissimule des réalités indéniables aux racines anciennes que nous avons préféré oublier. » »
« « la crise des migrants » » « « préféré oublier » »
Les médiats-capitalistes de masse nous engorge de faussetés sans cesse parsemer.
Un ptit tour d’histoire :
« « Aujourd’hui, en lieu et place de la culture essentialisée du juif, c’est la culture de l’arabo-musulman ou de l’africain qui se trouve stigmatisée et infériorisée, voire même diabolisée. Ainsi voit-on se développer à travers toute l’Europe un discours de l’exclusion à l’encontre des immigrés issus des « anciennes » colonies en les rendant responsables de tous les maux d’une société en crise. Le paradoxe est qu’on n’hésite pas à taxer certains groupes ethniques de communautarisme alors qu’on use de tous les moyens pour les empêcher de s’intégrer. Les émeutes d’octobre 2005 illustrent l’impasse dans laquelle se trou ve empêtré le système politique français qui n’arrête pas de bafouer les valeurs républicaines tout en prétendant les défendre. » »
Crimes contre l’humanité : L’ultime retour des barbares
Par Fethi Gharbi
Mondialisation.ca, 06 août 2014
Il faut lire cet article, la vision d’ensemble nous rend imperméable aux faussetés sans cesse parsemer.
Face au déluge de la désinformation, l’histoire nous rend notre intégrité : le discernement.
Albert Einstein : un problème sans solution est un problème mal posé.
Et comme je le dénonce, j’emplois le mot « dénoncé » ici, et non suggéré, parce que la gauche n’a pas développé de talents pour rassembler, mais continue dans ses vaines contradictions et divisions, toutes les inclinaisons dialectiques-idéologiques que les simples mortels, que je suis aussi, n’ont que faire.
Non, ils n’ont pas le talent de dire simplement, parce qu’ils n’ écoutent pas les réalités contemporaines conditionnées de longue date par les subterfuges multiples__ discours vendeurs du consumérisme, PUB tout azimut, etc..__ du néo-libéralisme, de son vrai NOM : néo-capitalisme sauvage. Non, ils n’ont pas développé le talent de vendre l’alternative en s’appropriant le fondement du néo-capitalisme sauvage : « « qu’est- ce que ça me rapporte, à moi, à ma famille..? » »
Tout se joue là, qu’est-ce que ça me rapporte ?
Le fondement de la mentalité contemporaine. NON OUI.
Tournez cette question dans tous les sens.
Non, ils n’ont pas le talent de vendre les deux fondamnetaux : le mode de travail et le mode du revenu.....Je m’ en suis expliqué. Les deux enjeux, le néo... l’a bien compris. Mais un couteau à toujours deux tranchants
Ils sitent Jean Jaurès, du bout des lèvres !!!
Mais n’osent aller au coeur de l’action qu’IL propose.
« « Pour Jean Jaurès, la révolution socialiste n’est concevable que dans le cadre de la légalité démocratique, c’est-à-dire par une conquête graduelle et légale par le prolétariat des institutions parlementaires et de la puissance de la production. » »
Et pourtant, le Vénézuéla et la Bolivie s’y astreignent. Et sont loin d’avoir le potentiel matériel, technologique et d’infrastructure du Peuple Français.
Voilà qui devrait allumer des lumières.
La Vie est plus simple que nos projections.
Où est passé la France des lumières, je me permets de poser la question, trop de choses décevantes en France, et de la part de la gauche, parce que indécise.
Et puis à l’image et à la ressemblance de Jean Jaurès qui est passé de la bourgeoisie à la participation à des mobilisations, il en est mort. (si je ne me trompe)
Il ne sait pas contentér de changement, mais a évolué.
À lire :
Jean Jaurès et le supplément d’âme
7 juin 2014 |Robert Tremblay Chercheur autonome, Ph. D. (histoire)|
Le Devoir de philo
http://www.ledevoir.com/societe/le-devoir-de-philo/410354/le-devoir-de-philo-jean-jaures-et-le-supplement-d-ame#reactions
Il y a du ménage à faire au sain même de la gauche : les intérêts oportunistes.....
Et la question du capitalisme et de l’UE-euro, « « deux » » ou « « une seule et même question » » ?
La réponse a ses conséquences.