« Pour abolir la pauvreté, il faut donner le pouvoir aux pauvres »
( Président Hugo Chavez )
En avril 2002, une fraction des forces armées, agissant de concert
avec l’administration américaine, a tenté un coup d’Etat contre le
gouvernement démocratiquement élu d’Hugo Chavez. L’intervention
massive des travailleurs et des jeunes a rapidement chassé les
putschistes. Mais jusqu’à ce jour, les capitalistes et les
propriétaires terriens ne cessent de saborder l’économie. Ils
n’acceptent pas la politique sociale du gouvernement : gratuité de
l’école, scolarisation d’un million de jeunes supplémentaires,
ouverture des écoles bolivariennes, vaste programme de santé
publique, subventions d’emplois d’intérêt public, réforme agraire,
etc. En même temps, le gouvernement américain brandit la menace d’une
intervention militaire contre la révolution vénézuélienne.
Avec la radicalisation de la réforme agraire et les récentes
nationalisations sous contrôle ouvrier, la révolution vénézuélienne
entre dans une phase décisive. « De même que nous ne pouvons pas
admettre des terres inexploitées, nous ne pouvons pas accepter que
des industries ne fonctionnent pas », a-t-il dit. Chavez a
déclaré : « Je suis chaque jour un peu plus convaincu qu’il est
nécessaire de dépasser le capitalisme. » Ceci n’est possible, a-t-il
ajouté, « que par le socialisme, le vrai socialisme, avec
l’égalité, la justice et la démocratie. »
Mardi 25 octobre, à 19h30
120 bis rue Lafayette,
75010 Paris (Métro Gare du Nord)
Avec Greg Oxley, animateur de la campagne internationale Pas touche au Venezuela ! (Manos fuera de Venezuela !) et le soutien du Cercle Bolivarien de Paris.
Venezuela : démocratie participative ou gouvernement comme un autre ? par Gregory Wilpert.
Le Venezuela retire ses capitaux des USA, par Philippe Grasset.
Le Vénézuéla avance à grands pas : la misère recule, par Romain Migus.
Compte-rendu de la visite du Président Hugo Chavez, par Olivier Lopez.