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Dimanche, à Besançon, je ne sors pas de mon tonneau.

La semaine dernière, tous les médias, ou presque : « Alors, monsieur Mélenchon, ça ne vous gêne pas de soutenir Syriza avec le FN, ensemble, à l’unisson, en duo, tous les deux, pareils, culs et chemises, qui se ressemble s’assemble, kif-kif bourricot ? ».

Vient la victoire de Syriza et la chef du FN nous révèle qu’elle n’est pas d’accord avec son programme et que le « devoir éthique » de la Grèce est de rembourser la dette.

En proposant que la France aide ce pays à « tenir ses engagements » Valls ne disait rien de mieux.

Rêvons d’un vol des sauterelles psittacistes : « Alors, monsieur Valls, ça ne vous gêne pas d’être avec le FN pour faire payer la Grèce ? Ensemble, à l’unisson, en duo, tous les deux, pareils, culs et chemises, qui se ressemble s’assemble, kif-kif bourricot ? ».

Finalement, dimanche, à Besançon, « vieille ville espagnole » (ah, Podemos !), je passe ma journée chez Diogène.

Vincent Moret

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