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Arrêtons de "broyer du noir" et commençons à taper dans le tas

Grâce à la science, nous savons que les mêmes lois Physiques et de la Nature, s’appliquent partout et dans tout l’univers. Ainsi, nous savons que nous sommes surtout entourés d’un univers infini de vide, de rien dans l’obscurité "noire" ou l’existence de "quelque chose" et la lumière est l’exception rare. Que l’existence d’autres planètes possédant des conditions de "vie" ou habitables est très peu probable. Et bien même qu’elles existeraient, elles nous serraient inaccessibles, même à la vitesse de la lumière.

Pour mieux apprécier les circonstances extraordinaires, de chance et privilège qu’est l’existence de notre planète La Terre.

Mais voila : "Nous sommes spirituellement et culturellement paralysés, incapables de saisir l’énormité de nous situer dans la toile de la nature. Nous abusons de notre planète comme si nous avions un autre endroit où aller" (Carl SAGAN - astronome, astrophysicien).

Il y des hypothèses sur lesquels nous pouvons sans cesse spéculer, ex ; "l’oeuf ou la poule, qui était en premier ?". Mais est-ce essentiel de le savoir tant qu’on a des oeufs et un poulet rôti le dimanche ?

Nous pouvons aussi passer notre temps à spéculer sur le vide et l’obscurité de l’immensité de l’univers, ou nous concentrer sur ce qui est, qui existe, est palpable, évident et visible.

Le rien et l’obscur :

L’univers ; Qui, quoi, pourquoi, depuis quand et jusqu’à où ? Ce n’est ni Dieu ni la religion, mais la science qui, éventuellement, nous apportera les réponses.

Dieu ? Si Dieu existe, il n’est, de tout évidence, qu’un amateur incompétent, et que de toutes façons, ça ne change rien pour nous. Si Dieu n’existe pas, alors pas de problème, ça ne change rien non plus.

La Religion ? Elle n’est que le véhicule, le moyen de contrôle et de soumission des peuples aux "forces divines supérieures", pour les rendre dociles envers "l’ordre établi" et d’accepter leur sort, leur destin.

"Faut-il prier, supplier et mendier pour ses droits démocratiques d’égalité et justice ? Ou faut-il les clamer, les exiger de droit ?"

La réalité évidente et palpable :

L’humanité est esclave d’une "société capitaliste de consommation", une idéologie d’exploitation, fondamentalement inique, injuste, conflictuelle, absurde et non viable.

La démocratie, l’égalité et la justice ne sont qu’une supercherie, au service des privilégiés et puissances d’argent.

Notre fascination malsains pour es idoles, vedettes et personnalités, facilite la promotion de mégalomanes et d’égocentriques, motivés que par leurs propres ambitions et intérêts, que nous ne pouvons pas nous permettre de laisser à ces gens la tâche de s’occuper de notre bien-être et intérêt général.

"Si nous ne modifions pas notre façon de penser, tout est perdu." (Albert Einstein).

La révolte collective commence par la résistance individuelle. Tant que le peuple restera soumis, ne trouve pas de raison, de terrain d’entente sur l’essentiel, ne s’organise et se mobilise dans la lutte, pour enfin faire jaillir de la "lumière" sur notre univers oppressif, rien ne changera.

Mon optimisme me fait croire que, tôt au tard, l’humanité réagira avant qu’il ne soit trop tard, car le temps presse.

"Alors, la révolution, ça ressemble à quoi ?"
"Je ne sais pas, mais je te le dirai quand nous y serons"

A la prochaine

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