RSS SyndicationTwitterFacebookFeedBurnerNetVibes
Rechercher

Etats-Unis - Des milliers de gens vivent dans des tunnels sous la terre.

Dans les villes prinipales des Etats-Unis d'Amérique, l'un des pays les plus prospères du monde entier, des milliers de personnes sans logement vivent dans des tunnels en dessous des rues.

17 Avril 2013 - Ainsi, en dessous de Kanzas City, la police a découvert des tunnels profonds où vivaient dans des tentes un groupe de personnes sans toit.

Les autorités ont dit que ces personnes vivaient dans la misère, entourées de montagnes d’ordures et de couches sales.

On ne sait pas qui sont exactement ces personnes sans logement ni comment elles ont creusé des tunnels aussi profonds.

C’est loin d’être la seule information sur ce type d’habitation. En 2010, il a été donné de connaître l’histoire de quelques mille personnes qui vivaient dans 321 km de tunnels en dessous des rues de Las Vegas. Elles meublaient leurs petites habitations comme elles pouvaient. Certaines avaient des lits, des armoires et jusqu’à de petites bibliothèques composées de livres abandonnés.

" Ce sont des personnes normales de tous les âges qui ont perdu leur chemin, en général après un évènement traumatique", a raconté Mateo O’Brien, journaliste, qui a trouvé "les gens du tunnel" alors qu’il enquêtait sur un assassinat. Il a fondé une association pour les aider et a même écrit un livre sur la question.

Selon le journaliste, il y a parmi eux beaucoup d’anciens de la guerre "qui souffrent de stress post-traumatique". En outre, O’Brien a trouvé des preuves (jouets et ours en peluche) que des enfants vivaient aussi dans les tunnels.

Pour leur part, les autorités de New York sont constamment en train d’essayer d’expulser les personnes qui vivent dans des tunnels sous la ville, connues comme "les taupes"..Mais leurs tentatives pour les trouver tous ont jusqu’à présent échoué.

En plus des milliers de vagabonds qui vivent dans les tunnels il y a beaucoup de gens dont les foyers sont des tentes. C’est les cas de 80% des indigents de la ville de Lakewood, dans le New Jersey, qui ont monté un campement qui comprend des poules, une église et un piano.

Au début de ce mois d’avril les habitants du campement sont parvenus à un accord avec les autorités sur les détails d’un plan pour évacuer la zone "après que les résidents aient trouvé un logement".

Vidéo sur le site.
Vidéo sur Youtube : http://www.youtube.com/watch?v=DhTUWbpEACA

Source : http://www.aporrea.org/internacionales/n227158.html

URL de cet article 20240
  
AGENDA

RIEN A SIGNALER

Le calme règne en ce moment
sur le front du Grand Soir.

Pour créer une agitation
CLIQUEZ-ICI

Même Thème
L’horreur impériale. Les États-Unis et l’hégémonie mondiale
Michael PARENTI
Enfin traduit en français. Notes de lecture, par Patrick Gillard. La critique de l’impérialisme made in USA La critique de l’impérialisme américain a le vent en poupe, notamment en Europe. Pour preuve, il suffit d’ouvrir Le Monde diplomatique de novembre 2004. Sans même évoquer les résultats des élections américaines, dont les analyses paraîtront en décembre, le mensuel de référence francophone en matière d’actualité internationale ne consacre pas moins de deux articles à cette question. Signé Claude (...)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Le pire des analphabètes, c’est l’analphabète politique. Il n’écoute pas, ne parle pas, ne participe pas aux événements politiques. Il ne sait pas que le coût de la vie, le prix de haricots et du poisson, le prix de la farine, le loyer, le prix des souliers et des médicaments dépendent des décisions politiques. L’analphabète politique est si bête qu’il s’enorgueillit et gonfle la poitrine pour dire qu’il déteste la politique. Il ne sait pas, l’imbécile, que c’est son ignorance politique qui produit la prostituée, l’enfant de la rue, le voleur, le pire de tous les bandits et surtout le politicien malhonnête, menteur et corrompu, qui lèche les pieds des entreprises nationales et multinationales. »

Bertolt Brecht, poète et dramaturge allemand (1898/1956)

Médias et Information : il est temps de tourner la page.
« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
55 
Comment Cuba révèle toute la médiocrité de l’Occident
Il y a des sujets qui sont aux journalistes ce que les récifs sont aux marins : à éviter. Une fois repérés et cartographiés, les routes de l’information les contourneront systématiquement et sans se poser de questions. Et si d’aventure un voyageur imprudent se décidait à entrer dans une de ces zones en ignorant les panneaux avec des têtes de mort, et en revenait indemne, on dira qu’il a simplement eu de la chance ou qu’il est fou - ou les deux à la fois. Pour ce voyageur-là, il n’y aura pas de défilé (...)
43 
Analyse de la culture du mensonge et de la manipulation "à la Marie-Anne Boutoleau/Ornella Guyet" sur un site alter.
Question : Est-il possible de rédiger un article accusateur qui fait un buzz sur internet en fournissant des "sources" et des "documents" qui, une fois vérifiés, prouvent... le contraire de ce qui est affirmé ? Réponse : Oui, c’est possible. Question : Qui peut tomber dans un tel panneau ? Réponse : tout le monde - vous, par exemple. Question : Qui peut faire ça et comment font-ils ? Réponse : Marie-Anne Boutoleau, Article XI et CQFD, en comptant sur un phénomène connu : "l’inertie des (...)
93 
Vos dons sont vitaux pour soutenir notre combat contre cette attaque ainsi que les autres formes de censures, pour les projets de Wikileaks, l'équipe, les serveurs, et les infrastructures de protection. Nous sommes entièrement soutenus par le grand public.
CLIQUEZ ICI
© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.