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La Parenthèse Enchantée (9/11) : Il faut écouter April Gallop

April Gallop travaillait pour le Département de la Défense américain. Le 11-Septembre, elle et son bébé ont survécu de justesse à l’attaque contre le Pentagone. Bien qu’elle se soit trouvée au coeur de la zone d’impact, April Gallop n’a jamais constaté ni débris d’avion, ni siège, ni bagage, ni aucune trace des dizaines de milliers de litres de kérosène que contenait le Boeing 757 de la version officielle supposé s’être écrasé à quelques mètres de son bureau. Le témoignage très détaillé d’April Gallop est fondamental dans le sens où il corrobore, en fait, les principales observations que tout citoyen est en mesure de faire par lui-même lorsqu’il s’affranchit du récit livré par le gouvernement américain, la théorie de la conspiration islamiste que les médias ont choisi de relayer en masse.

Refusant l’argent qui lui était proposé en échange de son silence, April Gallop a choisi de se battre et a intenté en 2008 un procès contre Dick Cheney, Donald Rumsfeld et le général Richard Myers pour ne pas avoir fait évacuer le Pentagone alors qu’ils savaient que c’était une cible potentielle. Ainsi, elle a entamé un long parcours dans les méandres de la justice américaine, dénonçant courageusement et sans ambages de nombreuses anomalies concernant ces attaques, dont la destruction des ressources financières et comptables du Pentagone. Cependant, ce difficile parcours judiciaire se finira en 2011 dans une impasse, pour elle comme pour la démocratie américaine, étant donné qu’un des juges qui rendra le verdict contestant la validité de la démarche opposant April Gallop aux membres de l’exécutif américain sera tout simplement un certain John M. Walker, proche cousin du Président américain en exercice le 11-Septembre, George W. Bush : W pour Walker.

LIRE LA SUITE : http://www.reopen911.info/News/2012/08/29/la-parenthese-enchantee-911-il-faut-ecouter-april-gallop/

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« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »

John Swinton, célèbre journaliste, le 25 septembre 1880, lors d’un banquet à New York quand on lui propose de porter un toast à la liberté de la presse

(Cité dans : Labor’s Untold Story, de Richard O. Boyer and Herbert M. Morais, NY, 1955/1979.)

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