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Lettre à Pascal Riché, Raphaëlle Besse Desmoulières, Ornella Guyet, le Figaro

Cette lettre pour vous faire part de mon indignation au sujet de la campagne de calomnies que vous menez depuis quelques semaines à l’encontre de René Balme. Calomnies qui reposent sur du vent, ce que je vous démontrerai dans une lettre ultérieure.

Pour l’heure, je tiens à vous faire savoir que je ne vous autorise pas à me prendre pour un imbécile, ni à décider de ce que je dois lire et penser.
N’ayant pas la télé, n’écoutant plus la radio, je lis tous les jours la presse : le Monde, le Figaro, les Echos, mais pas seulement.

Oui j’ose, lire aussi RIA Novosti.fr, le Quotidien du peuple.fr, le Réseau Volaire, Mondialisation.ca et autres sites que vous qualifiez de «  conspirationnistes ». Terme qui au demeurant ne veut rien dire.

Oui j’ose, comparer ce que je lis dans votre presse et ce que je lis dans la presse interdite par vous.

Oui j’ose, trouver que cette comparaison n’est pas à votre avantage.
Oui j’ose, douter de votre professionnalisme, de votre intégrité morale, de votre honnêteté intellectuelle.

Oui j’ose, ne pas me laisser intimider par vous.

Oui j’ose, utiliser mon intelligence pour me faire une opinion, et exercer tous les jours ma liberté de conscience

ET JE VOUS EMMERDE.

Stanislas Mansert

URL de cet article 17078
   
Les Etats-Unis de mal empire : Ces leçons de résistance qui nous viennent du Sud
Danielle BLEITRACH, Maxime VIVAS, Viktor DEDAJ
Présentation de l’éditeur Au moment même où les Etats-Unis, ce Mal Empire, vont de mal en pis, et malgré le rideau de fumée entretenu par les médias dits libres, nous assistons à l’émergence de nouvelles formes de résistances dans les pays du Sud, notamment en Amérique latine. Malgré, ou grâce à , leurs diversités, ces résistances font apparaître un nouveau front de lutte contre l’ordre impérial US. Viktor Dedaj et Danielle Bleitrach, deux des auteurs du présent livre, avaient intitulé (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Un socialiste est plus que jamais un charlatan social qui veut, à l’aide d’un tas de panacées et avec toutes sortes de rapiéçages, supprimer les misères sociales, sans faire le moindre tort au capital et au profit.

Friedrich Engels

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