Paysage grec politique post électoral : (18 juin)
– New Democracy 129 pro-euro pro-mémorandum pro-union-nationale (prêt à le renégocier très légèrement pour union nationale)
– Syriza 71 pro-euro (si possible) anti-mémorandum anti-union-nationale
– Pasok 33 pro-euro [pro-mémorandum-renégocié si union nationale] [anti-mémorandum sinon] (*)
– Independent Greeks 20 pro-euro anti-mémorandum anti-union-nationale
– Golden Dawn 18 anti-union-nationale anti-tout (sauf saloperies bien sûr...)
– Democratic Left 17 pro-euro anti-mémorandum (éventuellement pro-union-nationale)
– Communist Party 12 anti-euro anti-mémorandum anti-union-nationale
(*) Le Pasok sait en outre pertinemment que l’électorat - non content de l’avoir relégué au rang de parti négligeable - pourrait très probablement à la prochaine échéance l’achever en le reléguant au rang de groupuscule folklorique. C’est la raison pour laquelle il ne veut pas être seul à mettre la tête sur le billot et exige une union nationale…
(300 députés en tout)