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Où va le monde ?

A l’heure où l’humanité ne sait où aller,

à l’heure où le mal ne fait que commencer,

parlez nous de guerre pour nous traumatiser,

parce que l’amour est éternel, la haine ne peut s’en aller.

Pas de poésie, rien ne change dans mon pays,

à droite comme à gauche, l’homme nous a trahis,

ces imbéciles qui applaudissent notre Président,

il agira comme Obama dorénavant.

Cherche la solution en Amérique Latine,

on diabolise les autres, le mal s’enracine,

la France est un colosse au pied d’argile,

un pays de mouton où le vote est fragile.

Attention le curseur est à gauche ou à droite,

Attention à l’extrême gauche ou l’extrême droite,

Attention au politicien tout simplement,

au financier comme Montebourg au Gouvernement.

Ah ! que les Mélanchonistes sont déçus,

leur vote est Hollandiste aujourd’hui,

croyez-vous que le peuple gouvernera un jour,

alors que Aubry est la fille de Delors pour toujours.

Un pays qui alimente la politique sur la base du sang,

qui pleure parce que des hommes affirment que Dieu est Grand,

un pays qui n’accepte pas que l’on puisse être français,

en ayant des parents qui effectivement étaient immigrés.

Où est la grandeur de notre peuple ?

en Grèce, en Espagne ou en Italie,

mais François Hollande, que veut le peuple ?

que tu respectes jusqu’au bout la Démocratie.

Sayid, un citoyen du monde

URL de cet article 16922
   
Maxime Vivas : le gai Huron du Lauragais
Bernard GENSANE
C’est sûrement parce qu’il est enraciné dans les monts du Lauragais que Maxime Vivas a pu nous livrer avec ce roman une nouvelle version de l’ébahissement du Candide face aux techniques asservissantes censées libérer les humains. Soit, donc, un Huron né à des milliers de kilomètres de l’Hexagone, sur l’àŽle Motapa, d’une mère motapienne et d’un père parisien. A l’âge de 25 ans, ce narrateur décide de voir Paris. Motapa est une île de paix, de sagesse, de tranquillité. La lave de son (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Le plus troublant pour moi était la soif de meurtre témoignée par les membres de l’US Air Force. Ils déshumanisaient les personnes qu’ils abattaient et dont la vie ne semblait avoir aucune valeur. Ils les appelaient "dead bastards" et se félicitaient pour leur habilité à les tuer en masse.

Chelsea (Bradley) Manning

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