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Le 31 mai (referendum irlandais) et le 17 juin ou la partie de dupes ?

L’élite dirigeante grecque se prépare à une épreuve de force avec la classe ouvrière

Par Robert Stevens et Chris Marsden
28 mai 2012

http://www.wsws.org/francais/News/2012/mai2012/diri-m28.shtml

L’illusion electorale :

Syriza en route vers les 50 sièges de bonus
22 mai 2012
Par Okeanos
Brève

Le Syriza a déposé les documents à la court suprême afin de se déclarer en tant que simpla parti, et non plus comme un rassemblement de diverses couleurs politiques. C’est la seule manière pour la formation de la gauche radicale de pouvoir obtenir les 50 sièges de « bonus » réservé au premier lors des élections et espérer obtenir une majorité au parlement aux prochaines élections. Car les sondages montrent que rien n’est joué, Nouvelle Démocratie et Syriza se partageant la première place à tour de rôle.

Seul paradoxe : le Syriza souhaite justement supprimer cette loi qui favorise le premier parti élu aux élections. Il semble donc que pour que cette loi soit remise en cause, il est nécessaire d’en être (le dernier ?) bénéficiaire !

http://www.okeanews.fr/syriza-en-route-vers-les-50-siges-de-bonus/

Tsipras : Le peuple vaincra aux élections du 17 juin

Le chef de file de la SYRIZA, Alexis Tsipras, s’est félicité de constater que le peuple "résiste, s’organise, contre-attaque et, à la fin, vaincra", lançant une attaque frontale contre la ND et le PASOK en vue des élections législatives du 17 juin...

http://web.ana-mpa.gr/anafrench/articleview1.php?id=15014

La BCE serait insolvable en cas de sortie de la Grèce selon I’IFF

Par Les Echos | 27/05 | 14:54 |

Une sortie de la Grèce de l’euro coûterait plus de 1.000 milliards d’euros et serait probablement ingérable par le système financier, estime l’Institut de la finance internationale (IIF), qui appelle les tenants d’une telle solution à y réfléchir à deux fois.....

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202083433137-la-bce-serait-insolvable-en-cas-de-sortie-de-la-grece-selon-i-iff-327497.php?utm_medium=twitter&utm_source=twitterfeed

Precarité des depots bancaires :

Goldman Pops The "Deus GrEx Machina" Balloon

http://www.zerohedge.com/news/goldman-pops-deus-grex-machina-balloon

La monnaie fondante,non speculative, ignorée par tous les politiques ?

johannes finckh
28 mai 2012 à 09:28

La dette ne reculera que si les créanciers sont puissamment mis à contribution.

Précision :
Les banques ne sont « créancières » de rien du tout (sauf de leur ridicules « fonds propres » déposés à la BC), mais ce sont bien les épargnants seuls qui portent tout le risque exclusivement.

Et c’est pour cette seule raison que la BCE (comme les autres banques centrales) renfloue obligatoiremnt en injectant des liquidités, car, sinon, les épargnants, pour sauver ce qui peut l’être, retirent le plus possible sous forme liquide…

C’est pourquoi aussi, si on « barrait » correctement ces retraits liquides en leur imposant des « frais de liquidité » (pour compenser la dite « prime de liquidité »), on résoudrait assez simplement le problème, et rapidement.

En effet, si les billets étaient marqués par une date limite (par le temps), cela « obligerait » leurs détenteurs de les dépenser ou de les retourner (prêter ou investir) en banque ou vers les assurances, à charge de ces institutions de les remettre ensuite en circulation et ainsi de suite.

En conséquence, l’intérêt net de la monnaie (la dite « prime de (renonciation à la) liquidité ») encore appelé « rente du capital » disparaîtrait ipso facto, l’endettement deviendrait moins coûteux et le désendettement s’engagerait tout seul, car la « fuite dans la liquidité » ne serait plus une option ni la menace systémique qu’elle est actuellement.

La menace systémique résulte exclusivement du fait que les détenteurs de billets peuvent à tout moment décider (en thésaurisant) que les sommes détenues ainsi cessent d’être monnaie faisant demande - c’est comme clamper une artère qui irrigue un organe.

Pour fluidifier la monnaie (le sang de l’économie), il suffirait que la BCE émette dès à présent et exclusivement des billets marqués par le temps, sans même retirer les billets actuels, c’est inutile, car ces billets non marqués disparaîtraient tous seuls en peu de temps, car on les thésaurise ou on les rend à la banque et à la banque centrale (pour destruction on utiliserait toujours prioritairement les nouveaux billets marqués par le temps (c’est la loi de Gresham : la « mauvaise monnaie chasse la bonne », où la « mauvaise » se révèle être la « bonne » au sens d’une meilleure efficacité).

C’est simple et bête comme chou, il suffit de le faire, et cela serait un moyen élégant de sauver définitivement l’euro !

Ce serait la condition nécessaire pour maintenir la monnaie unique.
Même pour les pays incapables de collecter convenablement les impôts (collecter les impôts reste néanmoins nécessaire et préférable dans un souci de justice sociale !), cela apporterait un grand soulagement, car tous ceux qui contournent le fisc (les plus riches toujours !) n’auront d’autre option que de réinjecter l’argent dans l’investissement et la consommation sans échappatoire possible.

Cela me permet aussi de faire au passage un sort aux inepties avancées quand au risque des paradis fiscaux.
En aucun cas, en cas de placements par virement à l’étranger, la monnaie ne quitte le pays, il reste donc toujours disponible sur place !

La seule « disparition » possible de la monnaie (qui la rend « indisponible » sur place et partout !) est et a toujours été le retrait liquide massif dans le but de la mettre au frais. La thésaurisation est le véritable « paradis fiscal », le trou noir du système financier qui a tendance à engloutir tout. C’est la trappe aux liquidités, et en la fermant au moyen de SMT (signes monétaires marqués par le temps), la monnaie ne pourra plus faire qu’une chose, la chose pour laquelle elle mérite d’exister : circuler. Et en le faisant, toutes les crises disparaîtraient quel que soit le niveau d’endettement.

Rapidement tout chômage disparaîtrait, et cela même sans aucune nécessité de relance de la croissance.
Nous aurions rapidement le plein-emploi partout même en régime de croissance nulle…

Cela mettrait effectivement les épargnants (le riches et ultrariches) à contribution à hauteur de leurs moyens sans les spolier. Mais cela les empêcherait de continuer à engranger la rente du capital qui aura disparu pour réapparaître instantanément dans une hausse générale de tous les salaires.

Petite cerise sur le gâteau : cela se ferait sans aucune inflation dès lors que la banque centrale s’oriente au seul indice de prix pour décider une injection de monnaie ou, au contraire, un statu quo ou un retrait. Nous constaterions instantanément un pilotage ultraprécis de la masse monétaire rendue ainsi entièrement et rapidement circulante.

http://www.pauljorion.com/blog/?p=37456

URL de cet article 16803
   
Le « populisme du FN » un dangereux contresens, d’Annie Collovald et Guerre aux chômeurs ou guerre au chômage, d’Emmanuel Pierru
DIVERS
Récemment apparues, les éditions du Croquant, issues d’une dissidence des héritiers de Pierre Bourdieu, publient des ouvrages riches, au coeur des problèmes sociaux actuels et offrant un regard juste et pertinent. Deux d’entre eux ont particulièrement retenu notre attention : Le « populisme du FN » un dangereux contresens A travers cet ouvrage, Annie Collovald a voulu déconstruire et remettre en cause le terme de « populisme » qui sert aujourd’hui d’explication au succès électoral du (…)
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Depuis 1974 en France, à l’époque du serpent monétaire européen, l’État - et c’est pareil dans les autres pays européens - s’est interdit à lui-même d’emprunter auprès de sa banque centrale et il s’est donc lui-même privé de la création monétaire. Donc, l’État (c’est-à -dire nous tous !) s’oblige à emprunter auprès d’acteurs privés, à qui il doit donc payer des intérêts, et cela rend évidemment tout beaucoup plus cher.

On ne l’a dit pas clairement : on a dit qu’il y avait désormais interdiction d’emprunter à la Banque centrale, ce qui n’est pas honnête, pas clair, et ne permet pas aux gens de comprendre. Si l’article 104, disait « Les États ne peuvent plus créer la monnaie, maintenant ils doivent l’emprunter auprès des acteurs privés en leur payant un intérêt ruineux qui rend tous les investissements publics hors de prix mais qui fait aussi le grand bonheur des riches rentiers », il y aurait eu une révolution.

Ce hold-up scandaleux coûte à la France environ 80 milliards par an et nous ruine année après année. Ce sujet devrait être au coeur de tout. Au lieu de cela, personne n’en parle.

Etienne Chouard

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