Il est l’un des hommes les plus influents de l’Union européenne. À côté de lui, Hollande, c’est du pipi de chat. Il est proche de la retraite, mais gageons qu’il sera remplacé par un clone aussi dingue que lui de la mondialisation libérale, du capitalisme financier le plus débridé. Selon lui, ne pas accepter cette mondialisation est une stupidité politique et économique, et aussi « une attitude moralement indéfendable ».
La France et la Grèce ont montré qu’il était possible de résister à cette idéologie. Ce mois-ci les Irlandais aussi pourraient voter pour arrêter "cette bonne conduite".
Les deux îles ont été entraînées dans la récession par les excès de leurs banques. Mais l’une est dans la zone euro, l’autre pas. Et cela fait toute la différence.