Traduction :
Israël prévient qu’ « il ne reste que quelques semaines » au président Syrien ».
2 Janvier 2012 - Le ministre israélien de la défense, Ehud Barak, a assuré ce lundi qu’ »il ne reste que quelques semaines » au gouvernement du président Syrien Bashar Al Assad ET A SA FAMILLE et que le départ du président serait « une bénédiction pour le Moyen Orient ».
Devant la Commission Parlementaire des Relations Etrangères et de la Défense , le ministre a dit : « (…) dans la situation actuelle il est impossible de prévoir ce qui va arriver après la chute de Bashar El Assad ».
(…) Les déclarations du ministre Barak ont été faites tandis que des observateurs de la Ligue Arabe étaient en visite dans plusieurs villes
depuis le 22 décembre dernier afin de mener une enquête sur les affaires légales, administratives, concernant les Droits de L’homme et la sécurité en Syrie.
Les observateurs ont noté qu’ils circulaient en toute liberté et rendaient visite aux prisonniers sans difficultés.
A ce sujet, le général Soudanais Mohamed Ahmad Mustafá Al Dabi qui était à la tête de la mission a précisé quelques jours auparavant que lors de la visite à Homs (centre ville) la situation « paraissait tranquille, il n’y avait pas d’affrontements. Nous n’avons pas vu de chars. »
Al Dabi a fait remarquer que si dans quelques zones les conditions n’étaient pas parfaites, à première vue, il n’y avait « rien de terrifiant ».
Pour leur part, des milliers de citoyens Syriens ont manifesté dans différentes localités leur appui au président Bashar Al Assad et au processus de réforme qu’il a engagé pour parvenir à l’unité nationale.
Le 15 mars dernier ont commencé en Syrie, particulièrement dans la capitale Damas, des mobilisations exigeant des changements politiques, demandes qui furent par la suite prises en compte par le Gouvernement Al Assad avec l’application d’une série de réformes au bénéfice du peuple.
Al Assad a dénoncé lors d’occasions qui se sont répétées que la violence générée dans le pays arabe provenait de groupes terroristes dans nombre de cas financés par l’étranger.
http://www.aporrea.org/tiburon/n195791.html