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Le fils aîné de Kadhafi est parvenu à échapper à la surveillance des "rebelles"

Mohamad Al Gaddafi, fils aîné du leader Libyen, est parvenu ce lundi à échapper aux "rebelles" qui le maintenaient depuis dimanche sous surveillance dans sa résidence, grâce à une brigade d’hommes fidèles à son père qui ont pris l’endroit d’assaut, informe la presse internationale.

Une video de la situation actuelle à Tripoli par l’envoyé spécial de TELESUR, Rolando Segura, et la suite de l’article. En espagnol :
http://www.telesurtv.net/secciones/noticias/96783-NN/hijo-mayor-de-al-gaddafi-logra-escapar-de-la-custodia-de-los-rebeldes/#%C2%A0

URL de cet article 14453
   
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Lorsque l’on tente, comme ce fut le cas récemment en France, d’obliger une femme à quitter la Burqa plutôt que de créer les conditions où elle aurait le choix, ce n’est pas une question de libération mais de déshabillage. Cela devient un acte d’humiliation et d’impérialisme culturel. Ce n’est pas une question de Burqa. C’est une question de coercition. Contraindre une femme à quitter une Burqa est autant un acte de coercition que l’obliger à la porter. Considérer le genre sous cet angle, débarrassé de tout contexte social, politique ou économique, c’est le transformer en une question d’identité, une bataille d’accessoires et de costumes. C’est ce qui a permis au gouvernement des Etats-Unis de faire appel à des groupes féministes pour servir de caution morale à l’invasion de l’Afghanistan en 2001. Sous les Talibans, les femmes afghanes étaient (et sont) dans une situation très difficile. Mais larguer des "faucheuses de marguerites" (bombes particulièrement meurtrières) n’allait pas résoudre leurs problèmes.

Arundhati Roy - Capitalism : A Ghost Story (2014), p. 37

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