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Festival contre les centres fermés pour demandeurs d’asile en Belgique : Steenrock 7 mai 2011

Faites de la musique, pas des centres fermés : les exactions des autorités

Un après-midi de concerts devant le centre fermé 127bis ? Voilà une idée forte et belle pour montrer de manière pacifique le désaccord de quelque 500 citoyens contre l’existence de ces lieux de détention. Et pourtant, le résultat est désemparant. Les détenus auraient été privés par la direction du centre de la liberté la plus fondamentale, celle de parole. Et sur le chemin vers les concerts, un jeune homme s’est fait violemment agresser par un policier suite à une altercation verbale. Son visage est détruit, il ne mangera ni ne parlera plus normalement avant des semaines… Le Steenrock a toujours été annoncé comme un après-midi pacifique et solidaire. La musique serait-elle une arme trop effrayante pour les autorités ?

Samedi 7 mai s’est donc déroulée la deuxième édition du SteenRock, festival de musique devant le centre de détention 127 bis. L’objectif de cet après-midi de concerts est triple : attirer le regard des gens, des médias et des politiques sur ces lieux que l’on voudrait nous faire oublier, offrir aux sans papiers un chant de solidarité et quelques notes d’espoir, et enfin montrer qu’une manifestation peut être ferme mais pacifique.

Pour lire la suite : http://cours-de-math.eu/steenrock-7-mai-2011.html

Source, la CRER : http://regularisation.canalblog.com/

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Le Grand Marché Transatlantique : La menace sur les peuples d’Europe
Raoul Marc JENNAR
« Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire. » Ces mots confiés par David Rockefeller au magazine américain Newsweek, le 1 février 1999, fournissent la clé pour comprendre ce qui se passe depuis une trentaine d’années et qu’on appelle « mondialisation néolibérale ». Déléguer au secteur privé la maîtrise des choix ou, pour l’exprimer à la manière pudique de journaux comme Le Monde ou Les Echos, « redéfinir le périmètre de (…)
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Rien ne fait plus de mal aux travailleurs que la collaboration de classes. Elle les désarme dans la défense de leurs intérêts et provoque la division. La lutte de classes, au contraire, est la base de l’unité, son motif le plus puissant. C’est pour la mener avec succès en rassemblant l’ensemble des travailleurs que fut fondée la CGT. Or la lutte de classes n’est pas une invention, c’est un fait. Il ne suffit pas de la nier pour qu’elle cesse :
renoncer à la mener équivaut pour la classe ouvrière à se livrer pieds et poings liés à l’exploitation et à l’écrasement.

H. Krazucki
ancien secrétaire général de la CGT

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