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109 journalistes tués en 2010

PRESS EMBLEM CAMPAIGN (PEC) enregistre le nombre de journalistes tués et celui-ci est mis à jour chaque mois. Leurs noms figurent ci-dessous.

PEC comptabilise les morts suspectées d’être en relation avec leur travail pour les journalistes, les correspondants, les freelances, les cameramen, les preneurs de son, les techniciens, les photographes les cyber-reporters, etc. Les autres employés des medias ne figurent pas sur les listes de PEC : chauffeurs, gardes, équipes de sécurité, traducteurs

Les sources de PEC sont les membres de PEC, les agences d’information, les associations nationales de presse, IFEX, IFJ, RSF, CPJ, UNESCO (au moins deux sources)

Le MEDIA TICKING CLOCK est mis à jour sur la base d’une fois par mois depuis la première session de l’ UN Human Rights Council en Juin 2006.

Nous répartissons les circonstances en quatre catégories :
1 - (T) pour les journalistes qui ont été intentionellement pris pour cible
2 - (A) pour les journalistes qui ont été tués accidentellement, par exemple dans une explosion terroriste ou au combat. Les événements privés ou les accidents de la route sont exclus.
3 - (C) pour les raisons criminelles, c’est-à -dire pour ceux qui ont été tués par des narcotrafiquants.
4 - (O) pour les autres causes ou les causes inconnues.

Les catégories sont susceptibles de changer en fonction de nouvelles découvertes. Responsable de publication : Blaise Lempen (contact : info@pressemblem.ch)

109 journalistes ont été tués au cours de l’année 2010.

Mexique : 14
Pakistan : 14
Honduras : I0
Irak : 8
Philippine : 6
Russie : 5
Colombie : 4
Brésil : 4
Nigeria : 5
Somalie : 3
Indonesie : 3
Nepal : 3
Afghanistan : 2
Angola : 2
Thailande : 2
Inde 3
Venezuela : 2
Ouganda : 2
Argentine 1
Bangladesh : 1
Bielarus : 1
Bulgarie 1
Cameroun : 1
Chypre : 1
Equateur : 1
Grèce : 1
Guatemala : 1
Israel (Gaza) 1
Liban : 1
Congo (DRC) : 1
Rwanda : 1
Turquie : 1
Ukraine : 1
China : 1
Yemen : 1

Suit la liste des noms des journalistes tués, de leur entreprise, et de la ou les catégories dont relèvent leur assassinat.

Source : http://www.pressemblem.ch/5037.html

URL de cet article 12362
   
Roberto Saviano. Gomorra. Dans l’empire de la camorra. Gallimard, 2007.
Bernard GENSANE
Il n’est pas inutile, dans le contexte de la crise du capitalisme qui affecte les peuples aujourd’hui, de revenir sur le livre de Roberto Saviano. Napolitain lui-même, Saviano, dont on sait qu’il fait désormais l’objet d’un contrat de mort, a trouvé dans son ouvrage la bonne distance pour parler de la mafia napolitaine. Il l’observe quasiment de l’intérieur pour décrire ses méfaits (je ne reviendrai pas ici sur la violence inouïe des moeurs mafieuses, des impensables tortures corporelles, (…)
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Si vous n’y prenez pas garde, les journaux finiront par vous faire haïr les opprimés et adorer les oppresseurs.

Malcolm X.

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