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L’Internationale de l’oligarchie, des rois et des reines, des riches, etc.

LES ROIS ET LES REINES

L’ancien régime n’est pas "ancien" pour tout le monde.

Depuis près de deux siècles maintenant que les Français ont supprimé rois, reines, etc., il reste encore 8 pays, parmi les 27 que compte actuellement l’Union Européenne, qui en ont encore à nourrir, et, pire, qui doivent encore en tenir compte. L’ancien régime survit en Espagne, en Angleterre, en Belgique, au Danemark, en Norvège, en Suède, aux Pays-Bas (Hollande), au Grand Duché de Luxembourg,

Si, en France, l’épouse de Louis XVI était autrichienne et que, à partir de la Révolution de 1789 il n’y a plus eu de rois, ni d’alliances transfrontalières entre rois, reines, princes et princesses, il n’en est pas de même partout.

Il n’en est pas de même, par exemple, en Espagne, où le mariage de Juan Carlos (en Français "Jean-Charles"), roi d’Espagne s’est fait avec une Grecque : Sophie (en espagnol : "Sofia"). Ces alliances internationales ne sont pas neutres. Exemple : Sophie, Grecque et épouse de Jean-Charles a comme parent l’ex-roi de Grèce nommé Constantin. Est-ce un hasard si celui-ci a été invité une seule fois à leur, disent-ils, innocent, raout annuel (payé et gardé avec nos sous) du club du Bilderberg en Grèce ? Une seule fois : juste avant la soi-disant débâcle économique en Grèce.

Aux Pays-Bas, le transfrontalier « règne » aussi ; : la reine Béatrix, fille de l’allemand nazi Bernhard, a épousé un aristocrate Allemand.

En Belgique, le roi a épousé une princesse Italienne.

Ces rois et ces reines sont persuadés qu’ils sont unis par le "sang bleu". Et il convient de s’arrêter sur cette expression, car elle viendrait du fait que sur les peaux peu pigmentées on verrait des veines où il semble couler du sang... bleu. Ce qui revient à dire qu’il ne peut guère y avoir de "sang bleu" parmi les individus à la peau trop pigmentée pour qu’on y voit les veines... !

Mais, bien qu’en France, il n’y aie plus de "sang bleu" au pouvoir, les histoires de rois et de reines semblent toujours avoir un fort impact sur la population et c’est peut-être pour cette raison qu’une foule de fausses particules, achetées après la Révolution, fleurit sur les bancs de l’Assemblée Nationale Française, en abondance bien plus grande que dans la moyenne de la population . Comme si la possession d’un patronyme dénotant l’appartenance à la caste du "sang bleu" était censée être un gage d’intelligence et d’honnêteté pour le citoyen, encore habitué à cet esclavage mental.

Certains, qui n’ont pas été "anoblis" avant la Révolution, comme "Giscard" mettent leur patronyme "roturier", antérieur à l’achat de la particule, en exergue (peut-être parce-que ça allonge l’ensemble). D’autres comme Galouzeau de Villepin tentent le plus possible de faire en sorte qu’il ne soit pas utilisé.

Pour Bling-Bling I°, qui porte un patronyme à l’honneur parmi les Rom (!) et est fils d’immigré non princier (malgré une tentative de son père pour "s’anoblir"), il reste... Oui ! Pour faire rêver les lecteurs des revues dites "people", le mariage avec une Italienne ! Qui est-ce qui ira voir qu’elle est aussi bling-bling que le reste ?

Et puis il reste... servir ses maîtres, car ils sauront se montrer reconnaissants s’ils sont bien servis. Les "récompenses" seront coûteuses, bien sûr, faites de bling-bling ostentatoire, dont notre Naboléon aime à faire étalage. A la fois sans doute pour tenter de se voir attribuer intelligence et honnêteté par les descendants des anciens "sans culotte" encore habitués à respecter leurs anciens maîtres (respect mêlé de crainte), et aussi pour se donner l’illusion, peut-être, de faire partie de la caste du "sang bleu".

Les maîtres de Bling-Bling I° sont :

- D’une part les rois et les reines qui s’imaginent parce-qu’ils sont "de sang bleu" être nés pour dominer un monde peuplé d’esclaves. Mais Bling-Bling 1° ne les voit presque jamais, car il n’est pas de "leur monde", comme ils disent.

- D’autre part l’oligarchie et les riches, dont les rois et les reines ont besoin. Ils en ont besoin ... pour ne pas, à leurs yeux, être dans le besoin. Ne pas pouvoir, par exemple, aller acheter une cravate (ils aiment) à Paris, d’un coup d’aile de leur jet privé qui atterrira à l’aéroport du Bourget, les porte à se sentir humiliés car "en dessous du minimum vital" exigé par leur groupe social.

L’OLIGARCHIE ET LES RICHES

Ils pratiquent une activité méprisée par les "sang bleu" comme indigne d’eux, mais dont ils ont cependant besoin qu’elle soit pratiquée par d’autres : le travail !

L’oligarchie travaille beaucoup, emploie le plus fréquemment possible le mot "travail" - qui est sous-entendu "pénible" bien qu’il s’agisse de "travail du chapeau"... Comme le travail de l’oligarchie est censé être très pénible et toujours altruiste, car présenté par ses médias comme étant accompli "pour le bien du peuple", celle-ci avance le droit à des moments de "détente" plus coûteux que "le commun", étalant les seuls rêves dont semble capable un mafieux : yacht - plages avec palmiers - hôtels de luxe avec manucure, etc.

L’oligarchie et les très riches sont bien plus nombreux que les individus de "sang bleu" évoqués ci-dessus. Ils travaillent avant tout, en réalité, à faire de l’argent, à la fois pour se rémunérer le plus possible, et aussi pour faire vivre leurs royaux commanditaires, et les banquiers sans lesquels ceux-ci ne pourraient pas survivre puisqu’ils leur donnent "de quoi".

L’oligarchie emploie à son service les plus défavorisés, qu’elle paie à coups de trique et jette après usage, et aussi ce qu’il est convenu d’appeler "la classe moyenne" qu’elle fidélise et dont elle s’assure les compétences dans les domaines dont elle a besoin (pas la philosophie universitaire) en la rémunérant un peu plus que les « jetables », et en lui faisant miroiter "beaucoup plus"... si elle "donne satisfaction". L’une et l’autres sont rémunérées le moins possible, exploitées au maximum, et précarisées outrageusement, en faisant considérer comme "enviable" leur déracinement constant sous le terme "mobilité de l’emploi" et en faisant considérer comme "ringard" et dépassé le "je veux travailler au pays"

L’oligarchie a en en commun avec les rois et les reines de n’avoir pas de frontières : il s’agit des multinationales, des entreprises agro-alimentaires, chimiques, nucléaires, pharmaceutiques, d’armement, etc. Leur langue commune est celle de l’argent, l’anglais dit d’"affaires" (pas celui de Shakespeare) ou, comme le dit une publicité dans le métro, "de Wall Street". Et ils se retrouvent en des conciliabules plus ou moins secrets, suivant le degré de cachotterie qu’exigent leurs projets pour plumer le pigeon, tondre le mouton, etc. et la manière et les boniments qu’ils vont mettre au point pour les faire passer comme généreux, altruistes, protecteurs de nos "libertés", voire de nos vies.

L’oligarchie riche et internationale dispose pour arriver à ses fins des moyens suivants :

Banquiers :

Leur rôle est important, car ils semblent être la courroie de transmission entre les rois et les reines, l’oligarchie, et l’infinité de tous ceux qu’elle rémunère, légalement ou illégalement.
La "planche à billet" leur donne toute liberté.

S’il faut parfois sacrifier un "banquier" ou, mieux, un "trader" à la vindicte populaire, ce ne sera pas l’un de ceux, comme Rockefeller, qui sont les plus proches des rois et des reines.
Ce peut être en revanche un de ceux que les rois et les reines ont, en quelque sorte, condamnés à exceller dans ce métier... en lui interdisant la plupart des autres ! Mais avec le droit de pratiquer ce qui était interdit aux "Bons Chrétiens" : l’usure (prêt avec intérêt). Aux temps où il s’agissait de nomades, comme les Tziganes

Boniments :

L’Oligarchie rémunère des organismes chargés de "communiquer" avec la population dans le sens qu’elle souhaite. Ceux-ci s’appuient sur la sociologie, la psychologie, la neurologie, cherchant essentiellement à toucher l’inconscient ou le subconscient de chacun. Ce qui le fera agir et se comporter "à l’insu de son plein gré", mais ... en justifiant ses choix.. Ces organismes déclenchent des campagnes ciblées, comme pour la publicité. Ce peut être une opposition qui pourrait gêner l’oligarchie.

Exemple : est-ce le cabinet de communication de Ségolène Royal, situé aux USA, qui l’a incitée - et qui a payé l’intervention - à subir une chirurgie faciale douloureuse pour se faire refaire un menton un peu trop proémient, de façon à ressembler plus à une madone ? La "madone" est un symbole connu de tous en France, donc qui s’adressera au sub-conscient de tous : Les "Madone" dont chacun a vu les représentations, ne serait-ce que dans les livres d’école, acceptent la cruxifiction de leur fils, acceptent tout du "Père" ... et pleurent abondamment, mais sans jamais se révolter.

Médias

Les médias sont un des véhicules puissants du boniment. L’oligarchie rémunère donc très grassement leurs directeurs et élimine ceux d’entre eux qu’elle ne peut pas acheter, de façon qu’il n’y aie pas d’autre interprétation que la mensongère sienne.

Chefs religieux

Ils sont aussi très employés, et rémunérés au moyen de toute une série "d’oeuvres de bienfaisance", par l’oligarchie, car ce sont des relais très puissants des boniments qu’elle a mis au point. Ce sont des relais d’autant plus puissants que nombre de chefs religieux sont en relations très étroites avec des banquiers. Quand, comme au Vatican, siège de l’Eglise catholique romaine, ils ne possèdent pas leur "propre" banque.
Par exemple, certains se demandent pourquoi diable, le chef religieux de l’église catholique romaine a reçu Bling-Bling I° et un archevêque d’Amérique Latine juste après que la banque du Vatican soit "inquiétée" pour "blanchiment" d’argent ("foncé" = sâle, pour eux).
.
Politiciens :

Les hommes politiques - et les "femmes politiques" (Tiens ? L’expression n’est pas utilisée ! Pourtant, ce n’est pas le troupeau qui fait défaut !), censées être plus humaines, protéger la vie, et ne rien savoir de la science militaire et des armes - sont financés par les banquiers de l’oligarchie et survivent tant qu’ils servent ses exigences. Ensuite, celle-ci peut les mettre à l’écart - en leur donnant beaucoup d’argent et autres, pour garantir leur silence ou acheter la poursuite de leurs « services », sous une autre forme. .

De cette façon, et il s’agit d’un exemple parmi des milliers, José-Maria Aznar, ex-président du parlement d’Espagne - jusqu’à ce que ses mensonges soient si évidents que le peuple n’en veuille plus - passe son temps à faire pour l’oligarchie internationale le commis-voyageur dans les pays d’Amérique Latine qui parlent comme lui la langue espagnole - et non le "gringo" ("anglais" pour les hispanophones) comme l’oligarchie qui considère - à juste titre ! - que "ça fait classe" de parler anglais !

Récemment en Argentine, cet Espagnol s’est félicité devant un parterre d’oligarques de leur soi-disant victoire à des élections... qui eurent lieu au Venezuela ! Il était reçu par un mafieux, maire de Buenos Aires, poursuivi par la Justice pour écoutes illégales, qui a confessé qu’il avait pris les conseils de la CIA (USA) et du Mossad (Israêl) pour la nomination de fonctionnaires publics.

La notion d’" état-nation " ne gêne nullement l’oligarchie dans la mesure où elle a ses "chefs" sous son contrôle. Dans la mesure où elle a la mainmise sur l’argent, les banques et les armes (Exemple : Traité de Lisbonne). Et seulement sous ces conditions, sinon, c’est simple, elle finance et organise un coup d’état pour pouvoir reprendre le contrôle des présidents dans les "républiques", les "parlements" (composés d’élus du peuple n’ont rien à dire, mais existent pour donner une impression de "démocratie", mot que l’oligarchie brandira chaque fois qu’elle le jugera nécessaire) ou bien elle bombarde - mais toujours, selon elle, pour le bien du peuple et de la "démocratie". Dans les royaumes, le contrôle du pays est acquis à l’oligarchie et le simulacre de "démocratie" les fait assimiler aux républiques.

Dans un "état-nation" sous contrôle de l’oligarchie, qu’importe alors à celle-ci les "débats de société", concernant, par exemple le sort réservé aux femmes ou aux homosexuels, le respect des droits de l’homme, etc.... Quand cela sert ses intérêts, elle les encouragera... et les canalisera en fonction des profits escomptés par une orientation des "débats" qu’elle aura guidée. Quand cela dessert ses intérêts, elle les passera soigneusement sous silence.

Executants des basses oeuvres.

Ici, il s’agira pour l’oligarchie de faire financer par les banquiers toute sorte de malfrats pour intimider, assassiner, torturer, menacer, etc. ceux qui n’obéiraient pas convenablement - et même les autres, de façon à inspirer la terreur - de façon à ce que les citoyens se tiennent cois. ou, pire, qu’ils coopèrent en restant masqués aux yeux de ceux qui leurs font toujours confiance.

Elle emploiera pour cette tâche ceux qui ont pour cela des dispositions naturelles mais, comme ils ne sont pas assez nombreux (heureusement pour le genre humain), elle a créé pour cela "l’Ecole des Amériques", qui apprend à torturer sans s’identifier à la victime. En effet, l’identification à l’autre est une caractéristique proprement humaine que cette "école" se charge de "canaliser", comme l’avaient fait les nazis (les victimes n’étaient pas des hommes mais des "sous-hommes") et, avant eux la nommée "Très Sainte" Inquisition (les victimes des supplices n’étaient pas des êtres humains mais des "possédés du diable"). Charge à ceux qui sont (dé)formés de (dé)former les autres...

La sous-traitance (milices - organisations mafieuses - "contra") est aussi devenue internationale, appelée parfois "Internationale du crime organisé". Elle est très liée aux banques qui la financent et qu’elle aussi finance, car elle a des activités spécifiques et "rentables", telles que la prostitution, le trafic d’armes, d’organes et de drogues. Ces activités sont protégées par l’oligarchie, sues, mais tues "poliment" par les rois et les reines qui en restent très loin, et l’argent dit sale qui en est issu sera "blanchi", "lavé" (de tout soupçon ?), par les banquiers,

Exemple : les relations de coopération entre le Dictateur de Cuba, Bautista, la mafia locale sous les ordres de la mafia US, et le banquier Rockefeller, selon l’historien Cubain Enrique Cirules, sont avérées. Bautista a, de fait, protégé les bordels, casinos et toutes sortes de trafics illégaux à Cuba avant la révolution castriste. Et il employait bien sûr des tortionnaires dans ses prisons.

Armes

Les fabricants des armes les plus destructrices et les plus menaçantes sont également bien rémunérés par l’oligarchie car celles-ci sont l’argument ultime qui sert à faire obéir les populations.
Elle est prête à dépenser beaucoup d’argent pour inventer et construire des armes de destruction massive aussi bien que des armes destinées à ne tuer qu’un seul homme à la fois.
Elle est prête aussi dépenser beaucoup d’argent en campagnes de communication, en prébendes diverses aux medias, pour que ces armes soient refusées à ses adversaires, afin de demeurer seule armée.

La "Communauté Internationale"

Il s’agit, sous le nom que l’oligarchie lui a inventé, de l’internationale de tous ceux qu’elle a réussi à berner et qui croient à ses boniments. La "Communauté Internationale" est brandie comme un étendard chaque fois que les riches se sentent menacés..
Par ailleurs, la dite Communauté Internationale n’est pas internationale du tout, car elle concerne seulement ce que l’oligarchie a aussi appelé "l’occident" (du nom d’un mouvement d’extrême droite auquel ont appartenu des membres proches de notre gouvernement).

Mais la "communauté internationale" d’"occident" devient moins nombreuse de jour en jour, parce que les membres qui la composent rejoignent une autre Internationale, celle des petites gens qui ne croient pas aux boniments de l’oligarchie et ont donc la plus grande défiance à l’égard des "organisations" qu’elle "offre" (avec un sourire, souvent féminin, toujours enjôleur).

L’Internationale des exploités grossit de jour en jour, parce que ses membres apprennent à s’organiser eux-mêmes, et entre eux, pour partager, se soutenir, se défendre, et pour imposer une autre répartition des richesses, plus égalitaire et respectueuse des droits de l’homme. Elle grossit aussi de tous les chômeurs licenciés, harcelés (y compris par le "pôle emploi") qui mettent leurs talents devenus inutiles pour l’oligarchie au service de leurs frères de lutte. De la couturière au médecin, en passant par le paysan qui ne met pas en danger sa santé et celle des autres en utilisant les « produits » produits, justement, par les multinationales dont c’est le dernier des soucis..

Cette Internationale grossit, se fait entendre, s’organise, désobéit, refuse les misérables verroteries avec lesquelles elle est achetée. Et l’oligarchie, l’occident, les rois, les reines, le "sang bleu", les possesseurs des richesses, qui s’approprient toutes les ressources de la planète, y compris "humaines", perdent peu à peu le contrôle sur la vie des peuples, et ne pourront plus en "exploiter les ressources humaines"... Or ce sont celles-ci qu’ils contraignent à exploiter les "ressources naturelles" de la planète : celle-ci s’en portera, peut-être, mieux.

L’Internationale de l’oligarchie, des rois et des reines, des riches, etc. ne pourra plus alors, comme à l’époque des colonisations, en Afrique ou en Amérique Latine, par exemple, réduire en esclavage les êtres humains - sous la forme "moderne" qu’elle a mis au point.

Consultés :

http://www.bakchich.info/Particules-elementaires,09497.html
http://www.aporrea.org/tiburon/n167595.html
http://en.wikipedia.org/wiki/List_of_Bilderberg_attendees
http://blog.syti.net/index.php?article=137
http://cubasilorraine.over-blog.org/article-les-5-dans-les-serres-de-l-empire-videos-59049950.html
http://www.amazon.com/Mafia-Havana-Enrique-Cirules/dp/1876175427
http://www.lettres-histoire.ac-aix-marseille.fr/Docs/La_controverse_de_valladolid.pdf

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