Le soldat Jairo Panchi Ortiz a reçu une balle qui lui a perforé le poumon parce qu’il n’avait pas de gilet pare-balle. Juste avant, il venait de s’en défaire pour le donner au président Rafael Correa.
Froilán Jiménez, policier qui appartenait au Groupe des Opérations Spéciales (GOE) est mort pendant l’affrontement, dans le même hopital que celui où était sequestré le Président.
Plus 200 policiers et francs-tireurs empêchaient la délivrance du Président Correa.
Les medias équatoriens et les agences internationales se font l’écho d’un courrier électronique envoyé par le Médecin Général Gilberto Calle et le pharmacien Fernando Vargas de l’hopital de Quito où il démentaient que le Président ait été sequestré, mais cela ne rend pas compte des francs-tireurs postés sur le toit de la Morgue de la Police (en face de l’hopital) et de leurs tirs en direction de l’établissement de santé, tant vers les étages du bas que vers le troisième où se trouvait Correa.
Source : http://www.vtv.gov.ve/noticias-internacionales/45486
Le 2 0ctobre, on comptait 8 morts et 274 blessés causés par ce coup d’état manqué.
