Ils vous ont fait aimer la démolition de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Lybie.
Toujours, leurs soldats repartent en emportant ou contrôlant les richesses des pays détruits, en regrettant de ne pas avoir su instaurer leur démocratie et après avoir fait (avec votre accord) des morts par centaines de milliers.
La Commission de contrôle des fichiers d’Interpol n’a pas accédé à la demande de mise à jour des informations sur l’ancien président de l’Equateur, Rafael Correa. La réponse aux autorités équatoriennes a été envoyée après que le bureau d’Interpol en Equateur ait demandé à la Commission une mise à jour des informations sur l’ancien président. Avec le refus de la demande d’alerte rouge demandée par le gouvernement du président Lénine Moreno contre Correa, l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) réaffirme que l’ancien président est victime de persécutions politiques.
"S’ils me laissent faire, je me présenterai à la vice-présidence" La phrase prononcée par Rafael Correa après plus d’une demi-heure de conversation avec des journalistes de différentes régions d’Amérique latine a attiré l’attention des participants.
Le matin du jeudi 25 juin, l’ancien président équatorien a donné une conférence de presse dont l’objectif principal était d’informer sur la tentative d’empêcher le Mouvement de la Révolution Citoyenne de participer aux élections présidentielles de 2021, mais il a également parlé de la situation économique et politique de l’Équateur, de la manière dont le gouvernement de Lénin Moreno fait face à la pandémie mondiale, de la solidarité internationale avec les politiciens de son mouvement qui sont en prison ou en exil, de la couverture médiatique dont bénéficie le gouvernement actuel et de sa vision de l’avenir dans son pays.
Le Coronavirus a fini par déferler sur l’Amérique Latine. Malgré les recommandations de l’OMS, la façon dont les gouvernements affrontent la pandémie varie d’un pays à l’autre, et fait ressortir les options idéologiques qui fracturent le continent. Différentes réponses sanitaires sont apportées pour lutter contre la même pandémie.
Le petit doigt sur la couture du pantalon, Lenin Moreno (celui-là même qui avait signé des accord de coopération médicale avec Cuba à La Havane quand il était vice-président de Rafael Correa) obtempère aux ordres de la Maison-Blanche dont l'un des derniers objectifs est de torpiller l'aide que Cuba dans ce domaine à de nombreux pays. Jacques-François Bonaldi (traduction)
ATILIO BORÓN : En Équateur, l’insurrection populaire a été vaincue. 16/10/2019 "....ce qui s’est réellement passé, c’est une défaite de l’insurrection populaire, dont l’énorme sacrifice a été offert sans rien de concret en échange. Et, pour couronner le tout, à une fausse table de négociations..."