Ceux qui ont perpétré des bombardements, des massacres et des pillages contre l’Irak, la Libye, la Syrie, la Yougoslavie, la Colombie, le Yémen, la Somalie, l’Afghanistan, la Palestine, le Congo, l’Indonésie et des dizaines d’autres pays, en les bombardant par le biais de leur OTAN ou par le biais des régimes fascistes qu’ils soutiennent, en entraînant des armées génocidaires, des hordes de paramilitaires et de fanatiques religieux, en fomentant des coups d’État et des exterminations politiques, nous disent qu’ils sont les grands "défenseurs de la paix".
Les Psychopathes Majuscules, prédateurs de l’humanité, nous disent que les "mauvais" sont ceux qui ne s’agenouillent pas devant leur volonté... Et c’est pourquoi toute l’humanité doit répudier le pays qui a osé refuser l’encerclement de l’OTAN (la plus grande force de guerre existante).
Les Psychopathes Majuscules, responsables de millions de morts pour saccager des pays, nous intoxiquent à travers leur appareil médiatique : en (…)Lire la suite »
L’artiste colombien Cizañero a réalisé ce dessin suite à l’apparition, dans un sac, de latête coupée d’un jeune homme que la police colombienne avait fait disparaitre il y a quelques jours. Plusieurs corps de manifestants qui ont été arrêtés -et que la police colombienne a fait disparaitre- ont commencé à apparaître, flottant sur les rivières de Colombie et dans des fosses clandestines. La Colombie subit une brutale répression d’État. Le peuple colombien est en grève générale depuis plus d’un mois au niveau national, pour protester contre l’exploitation et le pillage capitalistes. Une grève que la classe bourgeoise et le capitalisme transnational prétendent stopper par la répression exercée par l’État colombien. La police procède à des milliers d’arrestations pour tenter d’étouffer la contestation sociale. Les forces répressives capturent les manifestants et vont même dans les maisons pour kidnapper les jeunes : ou pour les poursuivre en justice sous les montages judiciaires (…)Lire la suite »
À propos de l’occupation momentanée du Congrès étasunien par les hordes fanatiques du courant Trump, qui ont fait irruption dans le Capitole le 6 janvier 2021 avec une étonnante facilité, il faut avoir en tête que les forces répressives ne laissent habituellement pas entrer les manifestations au Congrès. Les manifestations de masse du "Black Lives Matters" contre les assassinats réitérés de la population afro-descendante par les forces de police étasuniennes, n’ont jamais pu passer le cordon de police. Les manifestations contre les guerres impérialistes, ni aucune des manifestations remettant en cause d’une manière ou d’une autre le système établi, n’ont pas non plus pu franchir la barrière policière ; mais c’est par contre avec une étonnante facilité que sont entrées les hordes fanatiques de la droite la plus aliénée, qui n’ont évidemment aucune revendication de fond, structurelle, contre le système établi.
Les assaillants tolérés dans le Congrès, représentent la population la (…)Lire la suite »
À propos de l’occupation momentanée du Congrès étasunien par les hordes fanatiques du courant Trump, qui ont fait irruption dans le Capitole le 6 janvier 2021 avec une étonnante facilité, il faut avoir en tête que les forces répressives ne laissent habituellement pas entrer les manifestations au Congrès. Les manifestations de masse du "Black Lives Matters" contre les assassinats réitérés de la population afro-descendante par les forces de police étasuniennes, n’ont jamais pu passer le cordon de police. Les manifestations contre les guerres impérialistes, ni aucune des manifestations remettant en cause d’une manière ou d’une autre le système établi, n’ont pas non plus pu franchir la barrière policière ; mais c’est par contre avec une étonnante facilité que sont entrées les hordes fanatiques de la droite la plus aliénée, qui n’ont évidemment aucune revendication de fond, structurelle, contre le système établi.
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Nous assistons à une prolifération croissante de théories écofascistes et eugénistes, qui bénéficient de tout le soutien des grands médias, car elles sont une arme importante dans la guerre contre la capacité de compréhension de la réalité, que ne cesse d’avancer la classe dominante contre la classe exploitée. La guerre d’aliénation, de colonisation des esprits, est un élément fondamental pour le maintien de la situation de profonde injustice sociale et de déprédation contre l’humanité et la planète. C’est la raison pour laquelle est répétée à l’infini l’hypothèse anti-scientifique selon laquelle « l’humain est mauvais par nature », le mantra constant médiatisé dans tous les formats est : « les humains sont la peste, ils méritent le pire ». Cette rengaine est répétée même en pleine pandémie de Covid-19, face aux milliers de morts causées para la combinaison entre Coronavirus et Capitalisme. Des milliers de morts qui auraient pu être évitées, mais se sont produites et se produisent (…)Lire la suite »
Les États-Unis préparent leur nouvelle aventure de piraterie à grande échelle, cette fois-ci contre le Venezuela. Pour ce faire, ils invoquent le prétexte cynique de "combattre le trafic de drogue", alors qu’ils sont les plus grands trafiquants de drogue du monde. Alors qu’ils utilisent le trafic de drogue et le para-militarisme (par eux-mêmes entraîné en techniques de torture) pour désarticuler les luttes des peuples contre le pillage capitaliste. En Colombie, au Mexique, en Amérique centrale, au Brésil (etc.) l’outil paramilitaire a été instauré par leurs soins, depuis des dizaines d’années. L’introduction du para-militarisme, des "Maras" (gangs) et autres tortionnaires, a été théorisée et promue depuis les États-Unis pour désintégrer le tissu social, pour éviter à tout prix l’émergence d’organisations révolutionnaires qui remettent en question et combattent le système. Ces mercenaires fonctionnels aux intérêts de la bourgeoisie transnationale sont alimentés par l’argent de la (…)Lire la suite »
Les travailleurs les plus exploités, les femmes et les hommes migrants qui travaillent dans l’industrie agro-alimentaire pour un patronat esclavagiste, ces êtres humains qui travaillent pour nous nourrir, n’ont ni maison, ni eau. Et le soi-disant "plan" gouvernemental pour les secteurs les plus précaires en période de pandémie, consiste à envoyer des militaires dans les bidonvilles improvisés, à leur ordonner de "rester chez eux". Les travailleurs leur disent qu’ils n’ont pas d’eau et qu’ils craignent pour leur santé, mais la réponse est seulement la répression : ce qui aggrave la situation, car la gestion des déchets se complique sans aucun système d’assainissement [1]. « Il y a des femmes et des enfants dans les campements... Il est très difficile de rester à la "maison" sans nourriture. On ne peut pas rester sans travailler. Nous réclamons de l’eau. Nous sommes comme toujours, les invisibles, ceux dont personne ne se soucie au-delà de nous exploiter, c’est-à-dire des gens qui (…)Lire la suite »
L’épidémie de coronavirus rend évidente la perversion du système capitaliste (au cas où il manquerait encore une évidence) :
Sous le capitalisme, système orienté vers la capitalisation des richesses dans les mains de quelques-uns, au moyen de l’exploitation des travailleurs et du pillage de la nature, système dans lequel la santé est perçue comme une marchandise, la mortalité des épidémies se multiplie à cause de la précarité de l’accès à la santé. Dans certains pays, comme les États-Unis, il n’y a pas de santé publique, et les coûts médicaux sont exorbitants pour les patients ; par exemple, les tests de dépistage du coronavirus coûtent plus de 3000 dollars aux États-Unis pour un patient sans assurance privée (au moins 27,5 millions de personnes sont sans couverture) [1].
Sous le capitalisme, dans les pays où il reste encore un peu de santé publique (grâce à la lutte des travailleurs), les hôpitaux sont débordés à cause des coupes budgétaires perpétrées dans le domaine de la (…)Lire la suite »
Les femmes sont la partie la plus maltraitée de la classe exploitée. Nous sommes victimes des guerres impérialistes, du pillage capitaliste qui appauvrit des régions et des pays entiers, des privatisations et de la précarité, et en plus, nous sommes victimes du machisme sans cesse promu par les médias et toute l’industrie culturelle du capitalisme. Parce que le capitalisme se maintient en fragmentant et en divisant la classe exploitée : c’est pourquoi l’industrie culturelle du capitalisme diffuse sans cesse des paradigmes de discrimination comme le machisme et le racisme. Nous sommes victimes du féminicide qui prolifère dans l’alliance inextricable entre le Patriarcat et le Capital.
Nous sommes les travailleuses exploitées, les étudiantes, les artistes, les chômeuses et les retraitées que l’on prive d’une vie digne, souvent même de nourriture, de logement, d’accès à la santé, d’accès à l’éducation, etc. Nous sommes privées de conditions de travail et de rémunération décentes par (…)Lire la suite »
Le coup d’État contre le gouvernement d’Evo Morales en Bolivie s’est produit le 10 novembre. Maintenant, la répression la plus terrifiante commence à s’abattre contre le peuple bolivien, contre la classe ouvrière, contre les organisations paysannes et indigènes de base, contre la pensée critique, contre toute personne qui s’oppose au pillage capitaliste, à la déprédation de la nature, à l’exploitation. Le fondamentalisme catholique déclaré et le racisme abject, la misogynie la plus brutale et la nostalgie du temps colonial prennent place avec les putschistes : leurs actions et proclamations annoncent des temps d’effroi. Le coup d’État déclenche l’intensification du pillage du Lithium, du gaz, de l’argent, de l’or, de l’étain, du fer, des sources d’eau et autres richesses naturelles. Le coup d’État déclenche l’intensification de l’exploitation contre les travailleurs et les travailleuses, la faim et la répression brutale, la capitalisation des montagnes et des rivières par une (…)Lire la suite »