Au Grand Soir, on aime bien François Ruffin. On lit Fakir et on conseille de le lire.
Quand, en 2011, une harpie, dépitée de n’avoir pu se faire embaucher au GS publia sous pseudo un article haineux et mensonger contre nous (nous étions devenus fascistes) , François Ruffin qui connaissait bien les tenanciers du site qui la publia leur fit de vifs reproches, d’après ce que nous a dit un journaliste témoin.
Il est dans nos usages d’être reconnaissants.
De plus ce que fait et ce que dit François Ruffin mérité d’être connu.
Le Grand Soir.
Le ministre de l’Intérieur n’est pas devant, mais derrière. Il court après les policiers. Il se tait lorsqu’une députée est jetée à terre. Et il laisse la police à une forme d’autogestion chaotique, entre syndicats, hiérarchie, préfecture. Cette désertion du politique, c’est un symptôme. D’une « classe dirigeante » impuissante à « diriger », qui ne fait plus que « dominer ».
Le journal Fakir est un journal papier, en vente dans tous les bons kiosques près de chez vous. Il ne peut réaliser des reportages que parce qu’il est acheté ou parce qu’on y est abonné !
« La fin du CDI » ? Il y a un an, les financiers en rêvaient. Aujourd’hui, Hollande le fait. Avec la bénédiction de la CFDT.
Il a fallu attendre plus de soixante ans, et Fakir, pour que le fondateur de la Sécurité sociale entre dans le dico…
Mickaël Prince, délégué CGT de Stef-TFE, ne s’est pas laissé acheter par son patron. Il a tout refusé : le chèque de 40000 €, la promotion comme cadre... et il a enregistré toute la conversation ! Depuis, son entreprise fait de son mieux pour le virer. En soutien à Mickaël, rendez-vous le 13 mars à 12h30 devant le tribunal d’Amiens.