Alors que l’île traverse une de ses pires crises économiques, le président de l’Institut cubain d’amitié avec les peuples, Fernando González, estime que la solidarité internationale est aujourd’hui « plus que jamais essentielle ».
L’ancien vice-président d’Evo Morales revient sur les conséquences de l’élection de Donald Trump aux États-Unis et sur la possibilité d’une « seconde vague progressiste » latino-américaine, poussée par le Mexique et la Colombie.
Dénoncée au sein même du pouvoir étasunien, la présence anachronique de l’île dans la liste des « États soutenant le terrorisme » continue de renforcer les effets dévastateurs du blocus imposé depuis 1962.
Dans son dernier bilan, un think tank états-unien rapporte que les sanctions imposées par Washington continuent d’asphyxier l’île.
À dix mois des jeux Olympiques, l’équipe de boxe cubaine s’entraîne en Seine-Saint-Denis, dans le cadre d’une coopération qui allie solidarité sportive et internationaliste.
Fondée à l’ONU en 1964, la coalition G77 + Chine se réunira à Cuba les 15 et 16 septembre prochains pour renforcer les voix des pays en développement et réclamer l’instauration d’un nouvel ordre économique international.
En moins de 48 heures, le Mexique a dû faire face à la dégradation –par l’agence Standards & Poor’s– de la note de sa dette souveraine suivie de celle de ses deux principales entreprises publiques, liées au secteur énergétique. La banque d’investissement JP Morgan prévoit une chute de 7% du PIB mexicain pour l’année 2020. Le président Lopez Obrador a assuré qu'il ne demanderait aucun crédit au FMI.
En fonction depuis mai 2015, le diplomate Luis Almagro vient d’être réélu au poste de secrétaire général de l'Organisation des États Américains. Par la voix de sa représentante, le Mexique n’a pas manqué de manifester sa déception en critiquant énergiquement l’ancien ministre des affaires étrangères de José Mujica dont les positions politiques s’alignent bien souvent sur les intérêts de Washington.
Le premier président progressiste de l’histoire moderne du Mexique a hérité d’une conjoncture désastreuse du point de vue sécuritaire. Après 12 ans d’une stratégie de « guerre contre les cartels » qui a enlisé le pays dans un drame humanitaire sans précédent, il peine à freiner la courbe de la violence. Responsables et complices de cette situation, la droite et les États-Unis en profitent pour critiquer et faire pression sur le gouvernement.