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Auteur : Julie LEVESQUE

L’OMS, Bill Gates et les vaccins

Julie LEVESQUE
L’OMS, Bill Gates et les vaccins Au cours des deux dernières décennies, Bill Gates est devenu à la fois le plus grand donateur privé de l’OMS et le caïd kingpin des vaccins. Parmi les recommandations du triumvirat d’Event 201, (plus de détails dans la première partie) on trouve l’augmentation des stocks de vaccins de l’OMS et l’on suggère CEPI et Gavi comme collaborateurs de l’OMS : « L’industrie, les gouvernements nationaux et les organisations internationales doivent travailler ensemble pour augmenter les stocks internationaux de contre-mesures médicales (CMM) afin de permettre une distribution rapide et équitable lors d’une pandémie grave. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) dispose actuellement d’un stock virtuel de vaccins contre la grippe, avec des contrats en place avec des sociétés pharmaceutiques qui ont accepté de fournir des vaccins si l’OMS en faisait la demande. Ce modèle de stock virtuel pourrait être étendu pour accroître la capacité de l’OMS à (…) Lire la suite »
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Coronavirus et chloroquine : « Guérir les malades n’est pas un modèle d’affaires durable » selon Goldman Sachs

Julie LEVESQUE
Une polémique fait rage actuellement au sujet des traitements à la chloroquine et à l’hydroxychloroquine pour traiter le nouveau coronavirus. Didier Raoult, le plus grand expert mondial des maladies infectieuses transmissibles, a traité 4000 patients à l’hydroxychloroquine durant les 30 dernières années. Il estime que ce traitement est sécuritaire, peu coûteux, « curatif et potentiellement préventif contre le coronavirus ». Le directeur de l’IHU Méditérranée-Infection explique que ce nouveau coronavirus était « le 4e coronavirus testé pour la chloroquine ». Deux d’entre eux sont des coronavirus humains « qui circulent beaucoup en France et sont très communs ». Le troisième est le SRAS. Tous ces coronavirus peuvent être traités à la chloroquine. Il explique dans la vidéo ci-dessous qu’il est logique d’utiliser ce traitement puisque « la concentration dont on a besoin pour empêcher la culture du virus au laboratoire est une concentration que l’on peut atteindre avec les doses (…) Lire la suite »
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Boko Haram : une opération secrète de la CIA pour diviser et régner en Afrique ?

Julie LEVESQUE

Le but de la présence militaire étasunienne en Afrique est bien documenté : contrer l’influence chinoise et contrôler des endroits stratégiques et des ressources naturelles, y compris les réserves de pétrole. Cela a été confirmé il y a plus de 8 ans par le département d’État étasunien.

En 2007, le conseiller du département d’État étasunien, le Dr J. Peter Pham a commenté les objectifs stratégiques d’AFRICOM : « protéger l’accès aux hydrocarbures et autres ressources stratégiques abondantes en Afrique, une tâche qui consiste à protéger la vulnérabilité de ces richesses naturelles et à s’assurer qu’aucune autre tierce partie intéressée, comme la Chine, l’Inde, le Japon ou la Russie, n’obtienne des monopoles ou des traitements préférentiels ». (Nile Bowie,.US AFRICOM Commander Calls for “Huge” Military Campaign in West Africa, Global Research, 11 avril 2012) Au début février, « de passage au Centre d’études stratégiques et internationales à Washington, D.C., le chef d’AFRICOM, le général David Rodriguez, a appelé à une campagne de « contre-insurrection » de grande envergure menée par les États-Unis contre des groupes en Afrique de l’Ouest ». Le chef du Commandement des opérations spéciales des États-Unis (SOCOM), le général Joseph Votel, a fait des remarques (…) Lire la suite »

De l’Afghanistan à la Syrie : Droits des femmes, propagande de guerre et CIA

Julie LEVESQUE

Les droits des femmes sont de plus en plus utilisés comme instrument de propagande favorisant des desseins impériaux.

Les chefs d'État occidentaux, les représentants de l'ONU et les porte-paroles militaires font invariablement l'éloge de la dimension humanitaire de l'invasion de l'Afghanistan d'octobre 2001, menée par les États-Unis et l'OTAN, laquelle aurait pour but de combattre les fondamentalistes religieux, d'aider les petites filles à aller à l'école et de libérer les femmes soumises au joug des talibans. La logique d'une telle dimension humanitaire de la guerre d'Afghanistan est contestable. N'oublions pas qu'Al-Qaïda et les talibans ont été appuyés par les États-Unis dès le début de la guerre soviéto-afghane, et ce dans le cadre d'une opération clandestine de la CIA. Voici comment l'Association révolutionnaire des femmes en Afghanistan (RAWA) a décrit la situation : « Les États-Unis et leurs alliés ont tenté de légitimer leur occupation militaire en Afghanistan sous la bannière de la "liberté et de la démocratie pour le peuple afghan" . Cependant, en ce qui concerne le (…) Lire la suite »
Des Oscars très politiques ...

La propagande hollywoodienne et la CIA

Julie LEVESQUE

« L’une des tendances les plus répandues dans la culture occidentale au 21e siècle : Black Hawk Dawn, Zero Dark Thirty et Argo, ne sont que quelques unes des productions récentes démontrant comment l’industrie cinématographique actuelle promeut la politique étrangère étasunienne. Le 7e art a toutefois été utilisé depuis le début de 20e siècle et la coopération d’Hollywood avec le département de la Défense, la CIA et d’autres agences gouvernementales n’est pas une nouvelle tendance.

En laissant Michelle Obama présenter l'Oscar du meilleur film, Argo de Ben Affleck, l'industrie a montré sa proximité avec Washington. Selon Soraya Sepahpour-Ulrich, Argo est un film de propagande occultant l'horrible vérité à propos de la crise des otages en Iran et conçu pour préparer l'opinion publique à une confrontation prochaine avec l'Iran. « Ceux qui s'intéressent à la politique étrangère savent depuis longtemps qu'Hollywood reflète et promeut les politiques étasuniennes (déterminées par Israël et ses sympathisants). Ce fait a été rendu public lorsque Michelle Obama a annoncé le gagnant de l'Oscar du meilleur film, Argo, un film anti-iranien extrêmement propagandiste. Dans le faste et l'enthousiasme, Hollywood et la Maison-Blanche ont révélé leur pacte et envoyé leur message à temps pour les pourparlers relatifs au programme nucléaire iranien […] Hollywood promeut depuis longtemps les politiques étasuniennes. En 1917, lors de l'entrée des États-Unis dans la Première (…) Lire la suite »

L’affaire Petraeus et le passé criminel de la CIA

Julie LEVESQUE

L’affaire Petraeus a démontré une fois de plus comment un scandale sexuel peut alimenter les médias étasuniens à la fois dans le but de contribuer à un « assassinat politique » et faire figure d’arbre cachant la forêt. Bien que ce qui se cache derrière l’écran de fumée salace fasse toujours l’objet de spéculations, la plupart d’entre elles sont bien plus crédibles qu’une simple affaire extraconjugale.

L’une des explications possibles du départ du directeur de la CIA, David Petraeus, est sa position à l’égard d’Israël, qu’il voyait comme un handicap pour les intérêts des États-Unis au Moyen-Orient :

« Les hostilités constantes entre Israël et certains de ses voisins posent des défis spécifiques à la progression de nos intérêts dans l'AOR [zone d'opération]. Les tensions israélo-palestiniennes donnent souvent lieu à des flambées de violence et des confrontations armées de grande envergure. Ce conflit fomente un sentiment anti-étasunien puisque l'on perçoit un favoritisme des États-Unis envers Israël. La colère arabe à propos de la question palestinienne limite la force et la solidité des partenariats des États-Unis avec les gouvernements et les populations de la zone d'opération et affaiblit la légitimité des régimes modérés dans le monde arabe. Entre-temps Al-Qaïda et d'autres groupes militants exploitent cette colère afin de mobiliser des appuis. Le conflit permet également à l'Iran d'influencer le monde arabe par le biais de ses clients, le Hezbollah libanais et le Hamas. » (Ali Abunimah, When Former CIA Chief David Petraeus Enraged the Israel Lobby, Electronic Intifada, 12 (…) Lire la suite »

Un ancien représentant à l’ONU torturé par les rebelles libyens

Julie LEVESQUE
Abuzed Omar Dorda, ancien représentant de la Libye aux Nations Unies, a soutenu Kadhafi jusqu'au bout. Il a été arrêté en septembre 2011 et depuis, il est détenu et torturé. En octobre, on a avisé des membres de sa famille qu'il avait été transporté dans un hôpital de Tripoli, mais il leur était interdit de le contacter. Selon eux, des gardiens l'ont jeté en bas du deuxième étage de la prison où il était détenu et il a été violemment battu. Son fils a lancé un cri d'alarme récemment : « ll semble que mon père ait été capturé par une milice la nuit dernière à l'hôpital. Il est toujours dans une situation critique et ne devrait pas quitter l'hôpital pour préserver sa santé. Certaines personnes responsables de sa torture et qui le surveillaient à l'hôpital font parti des kidnappeurs. Vu la condition physique de mon père, je ne pense pas qu'il survivra longtemps entre les mains des terroristes. Plus les gens seront au courant de ce qui arrive à mon père, plus les terroristes (…) Lire la suite »