Exécutions de masse, rhétorique génocidaire.
Un lecteur nous apporte ces précisions :
"Il n’y a pas de forces américaines « stationnées » à Taïwan (la Chine permettrait cela quand on sait le foin qu’a créé Pelosi pour sa visite ?)
L’article d’origine emploie le futur, ce qui est loin d’une réalité présente. La seule trace qu’on trouve d’une présence militaire américaine sur l’île de Taïwan, c’est la première ministre admettant la présence de formateurs militaires. Si ça ressemble effectivement à ce qui s’est passé en Ukraine, ça ne signifie pas non plus que les Amerloques ont des bases à quelques kilomètres de la Chine, qui plus est sur un territoire revendiqué par elle. Seul le Vietnam est en pourparler, ce qui soit dit en passant serait un sacré pied de nez à l’histoire..."
Du coup, des affirmations de l’article doivent se lire au conditionnel (hypothétique). Nous avons modifié le titre et ajouté un sur-titre.
LGS
Propagande de guerre et guerre font bon ménage ! En parallèle a un engagement de plus en plus grand des géants de la Silicon Valley dans les crimes de guerre des États-Unis, certains d'entre eux comme Google, Facebook et Twitter ont annoncé des mesures pour censurer l'information que leurs services présentent aux utilisateurs, en favorisant des organes de presse « qui font autorité » et sont « fiables » aux dépens de ceux qui proposent des points de vue « alternatifs » révélant et dénonçant les crimes de guerre étasuniens. Facebook, qui a été la plus ardente dans sa détermination à censurer sa plate-forme, a fait savoir explicitement qu'elle s'attendait à ce que l'engagement des utilisateurs diminue suite à son déclassement de vidéos « virales » et sa promotion de sources d'information « fiables », comme le New York Times.