Le Venezuela est aujourd’hui en grand danger de guerre, de chaos et de destruction avec le rôle actif des États-Unis et de la Colombie. Ces pays ont des intérêts économiques et utilisent un secteur de l’opposition pour faire croire qu’un « gouvernement parallèle » existe. En effet, le plus gros pari d’un certain secteur de l’opposition vénézuélienne a toujours été le putschisme.
Les événements au Proche-Orient s’accélèrent comme jamais. Saad Hariri, le premier ministre du Liban, vient d’annoncer sa démission de façon insolite, depuis l’Arabie saoudite où se déroule une « révolution de palais ». En Syrie, d’importantes victoires ont été remportées par l’armée et annoncent la fin d’un conflit meurtrier. Quelle sera l’issue de cette crise politique ? Pour approfondir ces questions, nous avons interrogé l’historien et ex-ministre des finances libanais Georges Corm, auteur du livre Le Liban contemporain.
Un tremblement de terre politique. Après les Etats-Unis, la France, et puis ? Fin du bipartisme, émergence de nouvelles forces politiques, recomposition ? Une chose est certaine : le verrou PS a sauté. On ne peut pas impunément annoncer que son ennemi est la finance et puis servir docilement cette même finance. Trop, c’est trop ! Et maintenant, comment continuer ? Comment éviter que « tout change pour que rien ne change » ?
L’opposition a remporté la majorité dans un processus électoral qui a été défini par les observateurs internationaux comme l’un des systèmes les plus sûrs et transparents au monde.
Lilia Solano est une militante colombienne des Droits de l’Homme reconnue. Elle est également membre du Frente Amplio por la Paz (Front Élargi pour la Paix), un acteur majeur dans les revendications de participation populaire en Colombie, dans un contexte de répression généralisée contre les hommes et femmes qui dénoncent le système en place. Dans cette interview accordée en exclusivité au Journal de Notre Amérique, elle décortique les vrais enjeux des pourparlers de paix en cours en Colombie, le rôle des médias dans la diabolisation de l’opposition ainsi que la complicité entre les Etats-Unis et le gouvernement colombien.
Le président des États-Unis, Barack Obama, vient de publier un décret qui déclare le Venezuela comme étant « une menace inhabituelle et extraordinaire » pour son pays...Afin d’apporter un éclairage sur les faits et la portée de ces déclarations, Investig’Action offre à ses lecteurs une interview exclusive de Son Excellence Antonio Garcia, Ambassadeur de la République Bolivarienne du Venezuela pour le Royaume de Belgique, le Luxembourg et l’Union Européenne.