Clémentine Autain : 22 avril. « Mettre le mot sur l’horreur, c’est se donner des moyens de la combattre. A l’internement de masse des Ouïghours, aux stérilisations forcées, à leur mise en esclavage… nous devons opposer une voix ferme et haute de ses valeurs. » (sic).
Dans un article publié dans un média qui est une référence internationale en matière de politique étrangère, deux intellectuels étasuniens notoires demandent à leur gouvernement de ne pas poursuivre la campagne « contre productive » sur le prétendu génocide des Ouïghours.
Après un article allant dans le même sens, publié par le Washington Post et après les avis d’avocats du Département d’Etat pour qui le mot « génocide » n’est pas « prouvable », il se pourrait bien que le point fort de la campagne mondiale antichinoise, relayée en France par des médias quasi unanimes, soit sur le point d’être supplantée par d’autres bobards.
LGS
Cnews illustre un article du 22 septembre 2020 sur la récolte du coton au Xinjiang par une photo prise le 23 octobre 2010.
Or, depuis, la cueillette est très mécanisée.
Le timide signataire (« JC » ?) de l’article (bâclé) du Canard a essayé de résumer le contenu de mon livre sans manifestement l’avoir lu.
Il prétend que mon livre est entièrement consacré à réfuter l’existence des camps et du travail forcé. Que nenni :
Il a dit quelque part que mes écrits faisaient rire les experts. Je le comprends puisque je n’ai pas sa rigueur de scientifique, de spécialiste de la Chine, surtout du Xinjiang, de la démocratie, des médias, de la charte des journalistes, du métier de journaliste, de la vérité, du respect. Et de surcroît, il sait tout de moi, non ?
Sous le pseudonyme de Laurène Beaumond, une journaliste française qui a vécu 7 ans au Xinjiang, et s'est mariée là-bas, a publié une tribune sur le site de CGTN, la télévision chinoise. Sacrilège puisque le témoin contredit tous les propagandistes, ceux qui ignorent même où se trouve Ürümqi. La contre offensive de l'armada, affirmant que la journaliste n' n’existe pas, va sombrer. Ce qui nous donne une histoire drôle et une belle leçon de presse.
Note de l’éditeur (CGTN) : Journaliste indépendante basée en France, doublement diplômée d’histoire de l’art et d’archéologie à l’université de la Sorbonne-IV et détentrice d’un Master de journalisme, Laurène Beaumond a travaillé dans différentes rédactions parisiennes avant de poser ses valises à Beijing où elle a vécu presque 7 ans.
L’article reflète les opinions de l’auteur, et pas nécessairement celles de CGTN Français.
J’écoute France Inter, l’émission Antidote, et vous parlez, Tristan MENDES-FRANCE, de mon père, Maxime VIVAS, écrivain et cyberjournaliste. Dans votre chronique du vendredi 26 mars, vous commettez, en moins de 3 minutes 10, deux mensonges, une imprécision et une indélicatesse. Ce qui, vu le temps imparti, relève de la performance.
Vendredi 26 février 2020. Interview pour Arrêt sur Images (ASI) par Mme Elhia Pascal- Heilmann.
Depuis la veille, Elhia Pascal-Heilmann opposait un refus chafouin à ma demande du nom du journaliste avec qui elle devait rédiger l’article. J’en fus ainsi prévenu de la déloyauté probable de la suite. La lecture de quelques articles d’ASI sur le Xinjiang m’a convaincu qu’un guet-apens était ourdi. J’ai alors décidé de glisser un « six coups » dans mon holster, sous ma veste : l’enregistrement de l’interview.
Bien m’en a pris !
RAPPEL : Vendredi 26 février 2021. Interview pour Arrêt sur Images (ASI) par Mme Elhia Pascal- Heilmann.
Depuis la veille, Elhia Pascal-Heilmann opposait un refus chafouin à ma demande du nom du journaliste avec qui elle devait rédiger l’article. J’en fus ainsi prévenu de la déloyauté probable de la suite. La lecture de quelques articles d’ASI sur le Xinjiang m’a convaincu qu’un guet-apens était ourdi. J’ai alors décidé de glisser un « six coups » dans mon holster, sous ma veste : l’enregistrement de l’interview.
Que voici dans son intégralité.