Le Premier secrétaire du Comité central, le général d’armée Raul Castro Ruz, a présenté le document aux délégués réunis au Palais des Conventions.
LGS en propose ici des extraits.
Allocution prononcée par Raul Castro Ruz, Premier secrétaire du Comité central du Parti communiste de Cuba et président du Conseil d’État et du Conseil des ministres, à la clôture de la 10e Session ordinaire de la 8e Législature de l’Assemblée nationale du Pouvoir populaire, au Palais des Conventions, le 21 décembre 2017, « Année 59 de la Révolution. »
La courte allocution du chef de l’Etat cubain et le détail des cérémonies funèbres.
LA HAVANE - Raul Castro a averti samedi les dirigeants du Parti communiste cubain que les Etats-Unis restaient déterminés à mettre fin à la révolution socialiste à Cuba malgré le dégel diplomatique entre les deux pays.
Quelques exemples d’enfumage, lequel va être démonté et démontré ensuite pour Le Grand Soir.
Un sympathisant, introduit dans l’entourage de Hollande, nous a refilé un carton d’invitation traficoté (ci-contre). Muni de ce Sésame, notre agent LGS 117 s’est glissé dans la foule en partie composée de courtisans qui auraient applaudi naguère si Cuba avait péri sous les missiles US. Mais là (puisque Obama a décidé de chagriner le parti républicain US par la normalisation), ils se bousculaient autour du président cubain, quêtant un regard, un sourire, n’osant espérer une poignée de mains à raconter illico par texto à la terre entière dont une partie penserait aussitôt : « Pauvre idiot, qu’est-ce qu’on en a à fiche, et pourquoi c’est important ? »
LGS
Le 26 juillet 1953, 150 guérilleros (dont Fidel et Raúl Castro), échouaient dans l’attaque de la caserne Moncada, à Santiago de Cuba. Beaucoup périrent lors de l’assaut, d’autres furent fait prisonniers, torturés, exécutés. Avant de se replier dans le maquis de la Sierra Maestra, les survivants erraient dans les rues où les soldats les repéraient à leur accent de La Havane avant de les abattre.
Puisque les politiques de terreurs et d’asphyxie économique ont échoué, depuis 2014 Obama a essayé d’employer d’autres moyens pour « instaurer la démocratie », affirme le linguiste.