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Thème : Mercosur

Eléments d’information économiques pour les adeptes télévisés du cri ovin et bovin « Venezuelaaaaa ! »

Les preuves du crime économique contre le Venezuela

Alfredo SERRANO MANCILLA

Laisser de côté ce à quoi est confronté le Venezuela aujourd’hui, sous forme d’une multi-agression permanente en matière économique, serait un acte d’irresponsabilité délibérée. Ce serait aussi une analyse partielle et biaisée.

Ce serait la même chose que d'analyser l'économie mexicaine sans considérer qu'elle a les États-Unis comme voisin du nord. Ou supposer qu'un pays a de l’accès à la mer sans l'avoir. Donc, comment une étude ou une proposition peut-elle être lue sur la base de prémisses fausses et inexistantes, éclipsant une bonne partie de ce qui se passe ? 1. Le « risque-pays » accordé par les agences de notation est inadmissible vu le respect du Venezuela concernant le paiement de la dette extérieure. Au cours des quatre dernières années, la République Bolivarienne du Venezuela a honoré ses engagements de paiement pour un total de 73.359 millions de dollars. Toutefois le « risque-pays » ne cesse pas d’augmenter. Ont été repérés 32 mois au cours des 14 dernières années où le « risque-pays » du Venezuela a augmenté malgré la hausse du prix du pétrole. Actuellement, le « risque-pays », donné par JP Morgan (EMBI +), se situe à 4.820 points, soit 38 fois plus de que ce qui est attribué au Chili (…) Lire la suite »

Les organismes latino-américains et caribéens ont des choses à enseigner au Conseil de Sécurité de l’ONU (MPPRE)

MPPRE - Ministère des Affaires Etrangères vénézuélien

Caracas, 06 août 2013 (MPPRE).- « Le Conseil de Sécurité a beaucoup de choses à apprendre de l’expérience de l’Union des Nations Sud-Américaines, l’Unasur ; du Marché Commun du Sud, le Mercosur ; et de la Communauté Latino-Américaine et Caribéenne, Celac ainsi que de l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique, l’Alba ».

C’est ce qu’a déclaré le Ministre des Affaires Étrangères vénézuélien, Elías Jaua Milano, dans une interview à Telesur, depuis la ville de New York, après son intervention lors de la Session du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies, durant laquelle un débat a été mené au sujet de la coopération régionale pour le maintien de la paix et la sécurité. Il a signalé que « les organismes sous-régionaux d’Amérique Latine et de la Caraïbe ont prouvé une majeure efficacité dans la résolution des conflits de façon opportune et sans bureaucratisme ». Elías Jaua a réaffirmé qu’il n’est pas nécessaire de bombarder, d’armer des groupes, d’intervenir militairement, de bloquer économiquement un pays quand il est possible de construire d’autres mécanismes pour la solution de controverses. – - - Source : Ministère des Affaires Étrangères du Venezuela Traduction : Luis Alberto Reygada pour Le Grand Soir Lire la suite »
Suite a la décision des chefs d’Etat de Mercosur de soutenir le President Evo Morales

Note de protestation aux gouvernements d’Espagne, de France, d’Italie et du Portugal

MPPRE - Ministère des Affaires Etrangères vénézuélien

La République Bolivarienne du Venezuela, dans l’exercice de la présidence pro tempore du Marché Commun du Sud (MERCOSUR) et par mandat de la décision des Etats membres du MERCOSUR de soutenir le président Evo Morales, exprime aux Honorables Gouvernements d’Espagne, de France, d’Italie et du Portugal, sa désapprobation la plus ferme ainsi que son indignation, face au traitement injustifiable, fondé sur des préjugés, auquel a été soumis l’avion du Président de l’Etat Plurinational de Bolivie, Evo Morales Ayma, lorsque les permis de survol et d’atterrissage dans leurs territoires ont été refusés, alors qu’ils avaient été autorisés auparavant et dûment établis dans le plan de vol.

Cette flagrante violation des traités internationaux, que régissent la cohabitation pacifique, le respect et la coopération entre nos États, établit un fait illicite qui a affecté les droits de l’homme ainsi que la liberté de transit et de déplacement d’un Chef d’Etat et sa délégation officielle, les mettant dans une grave situation de risque pour leur sécurité et leur intégrité physique. Les Etats membres du Mercosur, exigent de la part des Honorables Gouvernements d’Espagne, de France, d’Italie et du Portugal des excuses publiques pour la situation insolite qui s’est produite et une explication claire sur les raisons qui ont motivé cette décision, en offrant des garanties que cette attitude, contraire aux normes et principes fondamentaux du droit international ainsi que de l’immunité dont jouissent les Chefs d’État, ne se reproduira plus. Finalement, la République Bolivarienne du Venezuela, dans l’exercice de la présidence pro tempore du MERCOSUR, au nom des pays membres de (…) Lire la suite »

Mercosur, Unasur et l’indécision du Brésil (Aporrea)

Atilio BORON

Bien des évènements de la semaine dernière ont été révélateurs des réussites obtenues par la contre -offensive de Washington pour dynamiter les divers processus intégrationnistes qui se développent en Amérique Latine.

MERCOSUR et UNASUR sont les cibles les plus évidentes, mais la CELAC est aussi dans le viseur et si elle prend une place grandissante dans les affaires de l’hémisphère elle sera l’objet des attaques les plus acharnées. Une des armes mise récemment au point par la Maison Blanche est « l’Alliance du Pacifique », création typique des Etats-Unis pour mobiliser ses serviteurs au sud du Rio Bravo, et les utiliser comme d’efficaces chevaux de Troie pour accomplir les buts de l’empire. Une autre alliance « la mal-née » comme la nomme l’historien et journaliste argentin Gregorio Selser, fut inventée au début des années 60 du siècle dernier par John Kennedy pour détruire la révolution Cubaine. Cette « Alliance pour le progrès » qui à ce moment-là donna lieu à certains pronostics pessimistes parmi les forces anti-impérialistes échoua lamentablement. L’alliance actuelle ne semble pas destinée à meilleur destin, mais la mettre en échec exigera, comme ce fut le cas pour la précédente, toute la (…) Lire la suite »

Décision des Etats membres du Mercosur de soutenir le président Evo Morales

Mercosur
Les présidentes et les présidents de la République de l’Argentine, de l’Etat Plurinational de Bolivie, de la République fédérative de Brésil, de la République Orientale de l’Uruguay et de la République Bolivarienne du Venezuela. RATIFIANT, un ferme rejet des actions des gouvernements de la France, le Portugal, l’Espagne et de l’Italie, qui n’ont pas permis le survol ni l’atterrissage de l’avion qui transportait le président Evo Morales Ayma, ce qui constitue non seulement un acte infondé, discriminatoire et arbitraire, mais aussi une violation flagrante des préceptes du droit international. EXPRIMANT, la gravité de cette situation que, digne d’une pratique néocoloniale, constitue un acte insolite, peu amical et hostile, qui viole les droits de l’homme et qu’affecte la liberté de transit, de déplacement et d’immunité dont jouissent tous les chefs d’Etat. RAPPELLANT, les déclarations des Etats membres du Mercosur, de l’UNASUR, de la CELAC, de l’ALBA, ainsi que de la Résolution (…) Lire la suite »

Maduro : Le Mercosur sera le grand moteur pour l’union et le développement de l’Amérique du Sud

Agencia Venezolana de Noticias

L’année dernière, le marché commun du cône sud-américain -Mercosur- décidait de suspendre le Paraguay après le coup parlementaire qui provoca la destitution du président Fernando Lugo, et en profitait par la même occasion pour intégrer le Venezuela mettant ainsi fin à un blocage de plusieurs années du très conservateur Congrès paraguayen. Hier (09/07/2013), le président Maduro assistait au très solennel lancement de la "Mission Mercosur", destinée à fournir un soutien aux producteurs vénézuéliens afin qu’ils comptent sur les conditions nécessaires pour exporter vers le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay et le Paraguay.

Caracas, 09 Juillet. AVN.- Le président de la république, Nicolas Maduro, a affirmé ce mardi que le Marché Commun du Sud (MERCOSUR) était le “grand moteur qui a permis la cohésion de l’union sud-américaine et qui permet de projeter le développement vers les décennies futures ». Lors du lancement de la Mission Mercosur à Caracas, le président a indiqué que la nature de Mercosur avait changé ces dernières années, pour devenir un bloc « qui transcende l’économique, le commercial et qui se constitue en un bloc social et politique, un Mercosur social, un Mercosur politique » Maduro a rappelé que le leader de la révolution bolivarienne, Hugo Chavez, a toujours était convaincu du rôle de Mercosur comme moteur économique, il en parlait dès sa sortie de prison, après avoir été à la tête de la rébellion civil-militaire de février 1992 contre le régime néolibérale au Venezuela. Le Chef d’Etat, a réitéré que lorsque Caracas assumera la présidence pro tempore du bloc, son objectif sera de (…) Lire la suite »