Joyeuses fêtes, Monsieur « le plus jeune président... ». Vous avez fait, pour l’heure, un parcours sans faute et les sondages en témoignent. Vos soutiens rothchildiens et autres nécessiteux, aussi.
Votre clairvoyance n’a d’égale que celle de M’me Thatcher jadis : il faut que les peuples en bavent pour qu’un jour ils salivent de bien-être.
C’est l’heure du choix pour les candidats et les électeurs français : face à MM. Macron et Gattaz, chevaux de Troie du tout-anglais en France et en Europe, REPRENONS LANGUE !
Prenant la parole à Berlin dans le cadre de sa candidature à la présidence de la République… française, Emmanuel Macron a prononcé son discours en anglais « pour être compris de tous » (sic)
Si Marx vivait encore, une nouvelle occasion d'ajouter une nouvelle "saison" à sa "lutte des classes en France" lui serait fournie.
C’est macroscopique, cela se voit à l’œil nu : le jeune ministre de l’Economie est macrocéphale et macrochevillesque : la tête et les chevilles qui enflent, avec la fausse humilité du politicard carnassier qui attend son heure.
Le MEDEF dans la corbeille de la mariée.
La liste héraultaise est enfin dévoilée, après son dépôt en préfecture et les militants pourront apprécier toute l’importance de leur vote du 9 juillet !
Car elle réserve bien des surprises.
Une fable moderne qui coule de source (comme Lafontaine ?). Une fable bien peu affable, qui met cartes sur table (au lieu d’en faire table rase). Une fable qui nous rase, tant on perçoit qu’elle atteindra la base. Une fable avec un méchant, des complices exécutants, et une population exécutée.
Une fable moderne, mais pas visionnaire, ou du moins pas à long terme. Une fable qui pourrait être religieuse, avec l’argent comme dieu, le capital, comme prophète.
En bref, une fable complètement faussée, mais tellement d’actualité...
Je viens d’écouter sur RMC un journaliste, qui se fait l’écho de la voix de son maitre en proposant démagogiquement de supprimer un million de fonctionnaires, car ils nous coûtent trop cher ! Pèle mêle il nous assure n’avoir rien contre les fonctionnaires, mais qu’ils ne font pas grand chose (vu qu’il y en a un million de trop) et bien sûr il compare à l’Allemagne en citant des chiffres déconnectés des réalités et en continuant la propagande capitaliste que nous déverse depuis 30 ans des experts ou des journalistes dans son genre.