Cinquante six journalistes assassinés en Palestine depuis 20 ans . Pas très grave puisque l'important demeure : les balles qui tuent ces femmes et ces hommes sont tirées par des démocrates. L'état sioniste est bien sûr coupable puisqu' un feu vert éclatant et permanent est donné à toutes les exactions et atteintes au droit de l'homme. La mort de Shireen, la journaliste Palestinienne, est "un crime de guerre" ! Et alors, la traduction de Tsahal n'est elle pas "Armée de Défense". Tout crime israélien est légitime.
Déclaration des devoirs et des droits des journalistes (Munich, 1971)
En France, de plus en plus de journalistes et de rédactions sont trainés devant les tribunaux par les grandes entreprises et hommes d'affaires sur lesquels ils enquêtent. Une dérive inquiétante, qui menace la liberté d'informer.
Dans son éditorial du 25 février, Le Monde a pris position sur la demande d’extradition formulée par Washington à l’encontre du fondateur de WikiLeaks. Le titre de l’article – « Julian Assange ne doit pas être extradé aux États-Unis » – ne reflète pas la duplicité maligne de son contenu. Derrière le soutien minimal, on trouve en effet une charge malhonnête et calomnieuse contre un journaliste persécuté, un prisonnier politique ; l’indignité étant aggravée par le fait que le « quotidien de référence » a jadis beaucoup profité de son partenariat avec WikiLeaks.
Les dirigeants de la FIJ ont été visés samedi 17 novembre par des tirs de grenades lacrymogènes lancées par des soldats israéliens en réponse à leur manifestation pacifique demandant la liberté de mouvement des journalistes palestiniens.