Le 23 février 2002, le président colombien Andres Pastrana annonça la rupture des négociations de paix avec la guérilla des Forces Armées Révolutionnaires de Colombie, FARC. Pour réaffirmer l’ « autorité de l’État », il décida d’aller jusqu’à San Vicente del Caguán, où les dialogues avaient été menés pendant plus de deux ans.
Intervention d’Hernando Calvo Ospina lors de l’hommage au président Hugo Chávez Frías, un an après sa disparition physique, « Sur les pas de Chávez », organisé par l’ambassade de la République Bolivarienne du Venezuela, à Paris, le 5 mars 2014.
COLOMBIE • Les révélations du Washington Post sur le rôle déterminant de la CIA dans le conflit colombien jettent un éclairage sans pitié sur la saga médiatique autour d’Ingrid Betancourt et la version officielle de sa libération le 2 juillet 2008.
César a précisé que ’’ la confiance s’est installée du fait que dans le lieu où on a aperçu l’hélicoptère, les personnes portaient des emblèmes de la croix rouge Internationale, et celles de journalistes de TeleSUR, de plus les hélicoptères étaient peints de la même manière que ceux qui sont apparus quand ils ont libéré les autres détenus et qui provenaient du Vénézuéla ", a expliqué l’avocat Rodolfo Ràos.
Le président équatorien, Rafaël Correa, a regretté ce mercredi que l’ex candidate à la présidence colombienne Ingrid Betancourt, ex détenu des FARC, ait justifié une opération effectué par l’Armée colombienne contre un campement clandestin de cette guérilla en territoire équatorien le 1er mars dernier.
J’entends des clameurs d’indignation dans les secteurs progressistes vénézuéliens, après les réactions de mépris de la part d’Ingrid Bétancourt et sa famille envers des personnalités qui ont tant oeuvré à sa libération et tout spécialement le président Chavez et la sénatrice Piedad Cordoba. Indignés, ces secteurs progressistes emploient le mot trahison pour qualifier ce qui tout comptes faits n’est qu’une preuve d’ingratitude.