Juive franco-marocaine – elle se dit « juive arabe » –, Simone Bitton a réalisé plusieurs documentaires très forts sur le conflit israélo-palestinien, parmi lesquels Palestine : histoires d’une terre (1993), Mur (2004) et Rachel (2009).
Comme tous les mouvements de libération nationale, la résistance à l’occupant devra compter sur ses propres forces, et l’événement en cours fait la démonstration qu’elle n’en manque pas. D’autant qu’elle pourra aussi compter sur ses alliés, confortés jour après jour par le déclin d’un Occident qui se croyait maître du monde et qui voit s’effriter une domination mortifère, vouée à finir dans les poubelles de l’histoire.
Le Hamas et les Palestiniens n’ouvrent pas de perspectives de paix, disent les commentateurs. Mais quel choix ont-ils ? Quelles perspectives leur a offert l’Occident ? Mais ce n’est pas important ; l’apéro dînatoire version solidaire veillera à sauver nos valeurs.
Lettre ouverte de Taoufiq Tahani, président de l'Association "France Palestine Solidarité" à Monsieur Laurent Fabius, Ministre des affaires européennes et du développement international à propos de la position française quant à la décision du Tribunal de l’UE d’annuler l’inscription du Hamas sur la liste des organisations terroristes.
Quand on rend visite aux familles des martyrs palestiniens de Gaza, en particulier celles des leaders de la résistance assassinés par l'état sioniste, on s'aperçoit que, malgré le grand chagrin [d'avoir perdu ceux qu'ils aimaient], ces familles restent fidèles à l'idéal de la résistance et veulent venger la mort de leurs proches. Al-Akhbar s'est rendu au domicile de Wadad Asfour, la défunte épouse du commandant militaire des Brigades al-Qassam, Mohammed al-Daif, et à celui du commandant défunt, Raed al-Attar.
L’ennemi sioniste a fait deux erreurs. La première, c’est d’avoir conduit les négociations, menées sous le patronage de l’Egypte, dans une impasse et d’avoir fait avorter toutes les occasions de parvenir à un accord politique et par conséquent il portera la responsabilité de cet échec. La seconde erreur est d’avoir violé le cessez-le-feu plusieurs heures avant qu’il ne prenne fin et d’avoir menti, une fois de plus, à la communauté international et à l’administration américaine.