Dans un article du 6 septembre dans El País, Martín Rodríguez Pellecer analyse : la crise politique actuelle traversée par le Guatemala est due au fait que les mafias qui contrôlent le sommet de l’État sont acculées par les forces anticorruptions et cherchent à tout prix à échapper à la justice. Les lignes qui suivent sont inspirées de son analyse.
Alors que s’ouvrait hier à Montréal le 23eCongrès minier mondial, où plus de 1,500 représentants d’entreprises à travers la planète sont présents pour discuter du futur de l’industrie, des organisations de la société civile et activistes dénoncent les cas de violations de droits humains liés à la présence minière canadienne dans le monde.
L’ancien dictateur du Guatemala Efraín Ríos Montt a été reconnu coupable de génocide et de crimes contre l’humanité. Après s’être battu pendant de longues années devant les cours de justice les indigènes Ixil Maya du Guatemala ont obtenu justice.