Quelques réflexions sur la "crise" grecque. J’ai entendu des absurdités du type : "les français comprennent maintenant et s’opposent à ce "référendum" ; il y a plus pauvre que les grecs en Europe, comme les roumains, les slovaques ... ; et ce n’est pas à eux, ni à nous de payer pour ces grecs qui ne font aucun effort".
« Malgré la terreur exercée par les médias et les Institutions, pour le peuple grec, le dilemme est clair. Soit nous votons pour l’abolition des mémorandums et l’ouverture d’une nouvelle voie porteuse d’espoir, soit nous votons pour la continuation de l’austérité, de la pauvreté et de la misère pour les 50 années à venir.
Les créanciers de la Grèce augmentent la pression sur le gouvernement grec à mesure que le jour du référendum annoncé par Alexis Tsipras approche.
Le peuple Grec subit depuis janvier dernier, une pression et un chantage intolérables de la part des institutions européennes, des
gouvernements de la zone Euro et du Fonds Monétaire International.
Un beau jour s’est levé dans le ciel de la Grèce et de toute l’Europe
Le Premier Ministre grec, Alexis Tsipras, a invité le peuple à décider souverainement de son avenir, par un référendum organisé le 5 juillet.
Il ne s’agit pas d’une histoire entre la Grèce et l’Europe, mais de deux visions de l’Europe.
Jusqu’à ce jour, les faits ont démenti toutes les alertes à l’éclatement imminent de l’euro. Quels que furent leurs discours de campagne électorale, les gouvernements capitulent devant les exigences de la troïka ; tandis que l’intervention de la B.C.E. permet de calmer les marchés.