Le pape François, lors de sa visite en Irak, s’est employé à dénoncer la situation dans le pays et a fait appel à la cessation des violences et à l’unité des différentes confessions. Soit. Qui ne le souhaiterait pas ? Le problème est qu’il a réduit la question des violences et des intolérances à la question du terrorisme. La plupart des journalistes lui ont allègrement emboîté le pas.
Deux sermons pour le prix d’un. Sans doute n’en fallait-il pas moins pour (tenter de) ragaillardir les dirigeants européens éplorés. Confrontés à une « polycrise » – un terme inventé par Jean-Claude Juncker pour désigner la conjonction des menaces désormais existentielles qui pèsent sur l’intégration européenne – ceux-ci viennent de recevoir le soutien de deux « citoyens du monde » qui les ont exhortés à plus d’unité et à plus d’« ouverture ».
Entretien avec Paul Ariès à l’occasion de la publication de son livre « La face cachée du pape François » (Editions Max Milo).
L’église de France est à son tour prise dans des affaires de pédophilie et d’agression sexuelle. J’explique dans La face cachée du pape François (Max Milo, 2016) comment la Vatican a élaboré son système de défense pour fuir ses propres responsabilités et accuser l’esprit de « Mai 68 » d’être le vrai coupable.
Ce week-end, le pape François rend visite à Cuba, ce qui en fait l’un des rares pays à avoir été visités par chacun des trois derniers papes. Pour un pays communiste, c’est d’autant plus curieux. Mais qu’est ce que, grands dieux, un pape peut bien aller chercher à Cuba ?
Alors que le Premier ministre descendait du perchoir où il venait d’exposer la politique qu’il venait de concevoir grâce au banquier d’affaires qui servait de Ministre de l’économie et aux responsables du Medef toujours serviables et efficaces lorsqu’il s’agit d’intérêts financiers, un orateur prit la parole avec simplicité, humilité mais aussi résolution.