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Thème : Etat Islamique/ISIS/DAECH

La "solution" serait d’éliminer Obama, Cameron, Hollande, Netanyahu etc.

SERGIO

La "solution" (si l’on reprenait la rhétorique guerrière de certains dirigeants et certains membres du personnel politique, et qu’on la retournait contre eux) serait d’éliminer Obama, Cameron, Hollande, Netanyahu etc. ... car en les éliminant, cela réglerait (soi-disant) tous les problèmes ?! ...

Préambule : L’élimination du leader libyen, Mouammar Kadhafi, n’a rien arrangé en Libye... au contraire !, car depuis son assassinat par des miliciens terroristes (aidés de membres de services spéciaux occidentaux) la situation n’a fait qu’empirer pour le peuple libyen, et se détériorer... jusqu’au chaos actuel ! C’est devenu une couveuse pour les factions terroristes (qui les exportent dans le monde) et un repère de trafiquants en tous genres... Leur cynisme contre le droit de vivre Contrairement à l’expression qu’utilise le président russe, Vladimir Poutine, pour parler d’Obama, de Cameron, de Hollande, de Netanyahu etc., « chers collègues », alors que ceux-ci ne sont que de sinistres criminels de guerre, des assassins prêts à toutes les vilenies et compromissions afin d’assouvir leur soif destructrice et pour commettre leurs crimes sur d’innocentes populations civiles (leurs victimes sont beaucoup plus nombreux parmi les femmes, les enfants et les vieillards que parmi les (…) Lire la suite »

Irak : Le calife n’a pas été tué, mais le QG des Renseignements des 4 + 1 a quand même remporté une grande victoire

Moon of Alabama
Baghdadi, le calife de l'État islamique a failli être tué aujourd'hui. C’est déjà arrivé deux fois auparavant, une fois l’an dernier et une autre fois en avril de cette année. Mais aujourd'hui, au moins quelques honchos de l’EI ont trouvé la mort. Ce qui a fait la différence ce sont probablement les renseignements fournis par la salle des opérations des services secrets des 4 + 1, à Bagdad, dont j’ai parlé ici il y a dix jours. Voilà comment les choses ont été annoncées : Conflict News@Conflicts DERNIERE NOUVELLE : #L’Irak dit que son armée de l'air a frappé le convoi du chef d’#ISIS al-Baghdadi. A suivre. Borzou Daragahi@borzou L’Irak affirme que « de nombreux dirigeants de Daesh ont été tués » lors du bombardement du convoi d’Abou Bakr al-Baghdadi à Anbar. pic.twitter.com/NDm0C92BoP Reuters : L’armée de l'air irakienne frappe le convoi de Baghdadi, le chef du groupe État islamique. L'armée de l'air irakienne a bombardé le convoi du chef de l’Etat islamique, Abou (…) Lire la suite »

Un ancien officier de la CIA : les États-Unis sont "fous" de mener une politique qui renforce ISIL

Sputnik
Un ancien officier de la CIA, tout en expliquant le soutien russe au président syrien, souligne que Poutine a conscience de la menace que représente ISIL [l'État Islamique] et sait comment lutter contre eux, alors que les États-Unis ont été “ fous ” de mener une politique qui n’a fait qu’augmenter la puissance du groupe terroriste. WASHINGTON - La Russie apporte un soutien militaire au président syrien Bachar al-Assad parce que Moscou sait ce qu'il faut faire pour vaincre ISIL tandis que la politique des États-Unis continue d'alimenter l'extrémisme, a dit à Sputnik un ancien officier de la CIA, Larry Johnson. "Personnellement, je suis heureux que la Russie prenne ces mesures", a déclaré Johnson, lundi, en réponse à notre question sur une entreprise de renseignement du secteur privé (Stratfor NdT) qui affirme détenir une image satellite prouvant que la Russie renforce ses moyens militaires en Syrie. "Au moins, [le président russe Vladimir] Poutine a conscience de la menace et (…) Lire la suite »

Devant le refus des Etats-Unis de lutter contre l’État islamique, la Russie déploie des troupes en Syrie

Moon of Alabama
1 mai 2006 - Biden : Diviser l’Irak en 3 régions différentes Le démocrate le plus influent du Comité des relations étrangères du Sénat a proposé, lundi, que l'Irak soit divisé en trois régions distinctes - kurde, chiite et sunnite - avec un gouvernement central à Bagdad. Dans un article d’opinion paru, lundi, dans le New York Times, Joseph Biden, sénateur du Delaware, a écrit que l'idée "est de maintenir un Irak uni, mais en le décentralisant, en donnant à chaque groupe ethno-religieux ... de la place pour gérer ses propres affaires, tout en laissant le gouvernement central en charge des intérêts communs." Un document de 2012 de la Defense Intelligence Agency : L’occident facilitera la montée de l'État islamique "afin d'isoler le régime syrien" IL EST POSSIBLE D’ETABLIR UNE PRINCIPAUTE SALAFISTE OFFICIELLE OU NON A L’EST DE LA SYRIE (HASAKA ET DER ZOR), CE QUI EST EXACTEMENT CE QUE VEULENT LES FORCES QUI SOUTIENNENT L’OPPOSITION. ... ISI POURRAIT AUSSI DECLARER UN ETAT (…) Lire la suite »

L’Occident aime à penser que la "civilisation" vaincra l’État islamique, mais l’histoire suggère le contraire (The Independent)

Robert FISK
Nous nous accrochons à notre conviction que la barbarie ne survivra jamais à la puissance des justes. Hitler a donné le mauvais exemple. Il était le diable. Son régime était le diable. Son Reich a été détruit, les nazis vaincus, le Führer est mort de sa propre main dans les cendres du cauchemar européen. Les méchants perdent. Les bons gagnent. La moralité, les droits de l’Homme, la justice, la démocratie — même si, en parlant de celle-ci, nous devrions peut-être prendre des pincettes — prévalent toujours sur la méchanceté. Voilà ce que la Seconde Guerre mondiale nous a enseigné. Nous avons grandi dans une société occidentale qui croit en ces si simples, si douteuses leçons historiques. Les grandes religions du monde nous enseignent que la bonté, l’humilité, la famille, l’amour, la foi triomphent toujours. Alors pourquoi ne accrocherions-nous pas — aussi libéraux, agnostiques et cyniques que soyons — à notre croyance fondamentale que la violence et la torture et la cruauté ne (…) Lire la suite »
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La Turquie bombarde l’EI et le PKK en Syrie pour répondre aux demandes des impérialistes UE-EU.

Cercle Ouvrier du Bassin Minier Ouest du Pas-de-Calais

Ces bombardements contre des positions kurdes de l’YPG et du PKK en Syrie, démontrent que le conflit actuel en Irak-Syrie n’est ni un choc des civilisations ni un conflit religieux, mais bien une guerre impérialiste dans le cadre du repartage néocolonial du monde.

Il suffit de prendre une carte pour comprendre l’enjeu géostratégique de cette zone tampon qui se situe entre la Russie et les alliés des impérialistes dont la Turquie et Israël mais aussi des dictatures des émirats pétrolifères. Ainsi il faut bien admettre qu’une troisième guerre mondiale étant à craindre pour les prochaines années, les forces impérialistes se déploient telle une cinquième colonne pour entourer la Russie et se rapprocher de la Chine et de l’Inde et leur 2.5 milliards d’habitants... quand les Etats-Unis et l’UE n’en ont que 600 millions. Ainsi, la visite d’Obama au Kenya, présentée comme familiale, joviale et courtoise, est en fait un pas stratégique des EU. Il faut donc encore regarder une carte pour voir que ce pays situé au centre de l’Afrique côté Océan Indien, le lieu idéal pour implanter une nouvelle base aéronavale ou des batteries de missiles intercontinentaux. Quand Obama flatte les kényans avec diplomatie, en se présentant comme le fils d’Afrique (…) Lire la suite »

L’armée turque rejette les plans de guerre d’Erdogan

Moon of Alabama
Les succès que les Kurdes ont obtenu contre l’État islamique et d’autres groupes islamistes soutenus par la Turquie, grâce au soutien aérien des États-Unis, est considéré comme une menace stratégique par la Turquie. Les Kurdes ont déjà un Etat semi-autonome dans le nord de l’Irak. Ils pourraient désormais en créer un en Syrie le long de la frontière turco-syrienne. Et par la suite, Ils pourraient vouloir y intégrer les zones kurdes de Turquie. Erdogan va-t-il monter une opération derrière de faux pavillons ? La guerre contre la Syrie ne serait pas possible sans l’énorme implication de la Turquie aux côtés des islamistes qui combattent le gouvernement syrien. Malgré quelques victoires des guérilleros kurdes contre l’État islamique le long de la frontière avec la Turquie, il y a encore des routes ouvertes qui permettent aux islamistes de circuler et qui sont leurs plus importantes lignes d’approvisionnement. Les succès que les Kurdes ont obtenu contre l’État islamique et (…) Lire la suite »

État islamique : le génocide dont l’Occident est complice

Capitaine Martin

Comment a-t-il été possible de déposer Saddam Hussein en quelques semaines et Mouammar Kadhafi en quelques mois alors que l’État islamique ne subit que des défaites épisodiques, voire quand il ne remporte pas de franches victoires ?

En moins d’une semaine sont tombées Ramadi, une des capitales de province d’Irak, et Palmyre, cette oasis au nord-est de Damas qui abrite les ruines monumentales d’une grande ville qui fut l’un des plus importants foyers culturels du monde antique. Combiner ces deux fronts et l’emporter à chaque fois aura été un véritable coup gagnant pour le calife autoproclamé Abou Bakr al-Baghdadi. Arrêté presque par erreur en 2004, ce dernier passera dix mois dans les geôles étasuniennes en Irak avant d’être relâché. Il est aujourd’hui au faîte de sa gloire. Et même si ses djihadistes ont connu récemment des pertes après avoir engagé une majeure partie de leurs forces, ils ont aussi dispersé des adversaires plutôt coriaces : des milices chiites et le Hezbollah, qui soutiennent Bagdad et Damas, ont été soumis à une si rude épreuve que le premier ministre irakien Haïder al-Abadi est allé solliciter la Russie en vue de se faire livrer des armes au plus tôt. La situation urge en effet. Malgré (…) Lire la suite »

« Irreal politik »

Ammar BELHIMER

Roland Lombardi, consultant indépendant, associé au groupe d’analyse de JFC Conseil, revient sur la prise de Palmyre, la « Perle du désert », en Syrie, par les hordes de Daesh depuis le 30 mai dernier.

La question pertinente qu’il se pose est dans le titre de sa contribution : « Palmyre : otage de Daesh ou des Occidentaux ? »(*). La prise de Palmyre et les relatives « victoires » de Daesh en Syrie et en Irak sont associées à de l’« irreal politik » et aux « flottements stratégiques » des deux piliers de la coalition internationale que sont la France et les Etats-Unis. S’agissant des « flottements stratégiques », l’auteur de l’article rappelle : « Les stratèges occidentaux, plus pragmatiques et réalistes que leurs dirigeants, le savent pertinemment : il n’y aura pas de victoire sur Daesh sans Assad et surtout son puissant allié iranien, voire même la Russie ! » Aussi, ne faut-il pas « enterrer trop vite le maître de Damas », relève encore Roland Lombardi. Une remarque pertinente que semble continuer d’ignorer le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, et certains autres responsables français qui réitèrent « les sempiternelles sornettes que leur soufflent aux oreilles (…) Lire la suite »

La vérité émerge : comment les Etats-Unis ont alimenté la montée d’Isis en Syrie et en Irak (The Guardian)

Seumas MILNE
La guerre contre le terrorisme, cette campagne sans fin lancée il y a 14 ans par George Bush, est prise de contorsions de plus en plus grotesques. Lundi, le procès à Londres d'un suédois, Bherlin Gildo, accusé de terrorisme en Syrie, s'est effondré lorsqu'il est devenu clair que les services de renseignement britanniques avaient armé les mêmes groupes rebelles que le défendeur était accusé d'appuyer. L'accusation a abandonné l'affaire, apparemment pour éviter d'embarrasser les services de renseignement. La défense a fait valoir que poursuivre le procès aurait été un « affront à la justice » alors qu'il y avait beaucoup de preuves que l'Etat britannique avait lui-même fourni « un soutien massif » à l'opposition armée syrienne. Cela ne concernait pas uniquement l' « aide non létale » vantée par le gouvernement (dont des gilets pare-balles et des véhicules militaires), mais la formation, le soutien logistique et l'approvisionnement secret d' « armes à très grande échelle ». Selon (…) Lire la suite »
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