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Réponse au livre ordurier contre Castro de Juan Reinaldo Sanchez

La campagne impérialiste de diffamation, contre la révolution socialiste cubaine et son leader Fidel CASTRO, a repris le haut du pavé avec la sortie du livre ordurier, du renégat Juan Reinaldo Sanchez.

Dans une prétendue « révélations explosives » d’un certain Lieutenant-colonel Juan Reinaldo Sanchez, ancien garde du corps rapproché du Leader de la révolution cubaine pendant 17 ans, un ouvrage plutôt un véritable temple de mensonges grossiers contre le Commandant Fidel CASTRO, vient de paraître. Ce tissu de mensonges, insipide, inodore, incolore, n’est qu’une reprise des vieilles calomnies et autres torchons plusieurs fois recyclés depuis 55 ans par les impérialistes et leurs agents infiltrés dans la société cubaine.

Pourquoi cette litanie de calomnies intitulée « La vie cachée de Fidel Castro » de Juan Reinaldo Sanchez en collaboration avec le journaliste français Axel Gyldén du journal l’Express, est-elle sortie en ce printemps de mai 2014 aux éditions Michel Lafon ? Les 336 pages de minables propos orduriers, de surcroît surtaxées 19,95 euros, rapporteront-elles le gain financier et politique escompté au contre révolutionnaire cubain ? La presse bourgeoise n’a-t-elle pas encore tiré les leçons de ses échecs successifs depuis 55 ans, dans cette guerre médiatique impitoyable contre la Révolution cubaine socialiste et son Leader, le Commandant Fidel CASTRO ? Les impérialistes étatsuniens et leurs alliés arriveraient-ils à réaliser leur projet, en l’occurrence celui de la restauration du capitalisme sur l’île ?

Un recyclage des vieilles diffamations transformées en une nouvelle campagne contre le Leader de la révolution socialiste, le Commandant Fidel CASTRO.

Dans cette « littérature » de fiction romanesque et diffamatoire, l’auteur offre un cocktail où le patrimoine personnel, le régime alimentaire (lait frais), le sport (plongée sous marine), les mesures de sécurité, la taille de la maison et autres futilités indignes, insensées... qui entoureraient le Leader de la révolution. Ce train de vie bourgeois du Leader de la révolution serait similaire à celui mené par les monarques et présidents, qui sont par ailleurs dictateurs milliardaires des pays du sud et de surcroît paradoxalement fidèles alliés des impérialistes occidentaux, qui s’autoproclament « défenseurs de la démocratie ».

Cette nouvelle campagne de croisade de diffamations contre le Commandant Fidel CASTRO, n’est que le recyclage perpétuel et la mise à jour du vieux logiciel déjà connu. Nous pensons qu’il serait judicieux de rappeler néanmoins, certains de ces mensonges grossiers de la presse étatsunienne contre le commandant Fidel CASTRO, afin de comprendre le récent pamphlet du petit soldat yankee Juan Reinaldo Sanchez, que nous analyserons en profondeur plus loin.

En effet, en mai 2006, le magazine américain Forbes évaluait déjà à 900 millions de dollars américains la fortune personnelle Leader cubain, le plaçant au 7ème rang sur les 10 monarques ou dictateurs les plus riches du monde. Quel esprit aussi peu logique soit-il croirait à une telle information monstrueuse et grossière sans qu’aucune preuve objective documentée ne soit fournie ?

Les puissances impérialistes capitalistes qui contrôlent toutes les banques du monde, disposent des puissants services de renseignements et qui surveillent toutes les communications privées des individus, n’ont à ce jour produit aucun document étayant l’existence d’un quelconque compte bancaire dans aucun pays au monde, et appartenant au Leader cubain. Si de tels documents existaient, il va de soit que la planète entière serait déjà davantage polluée par des millions d’impressions qui seraient faites dans le but d’anéantir la révolution cubaine et son dirigeant. Peine perdue, les impérialistes et leurs valets locaux ont échoué car l’intégrité morale, révolutionnaire communiste du Commandant Fidel CASTRO demeure inaltérable et intacts, car l’unité organique entre le peuple cubain, la révolution socialiste et son Leader Fidel CASTRO est indestructible. Ce fait incontestable suscite la haine et furie guerrière des impérialistes contre le Commandant Fidel CASTRO, l’un des plus Grands révolutionnaire du 20ème siècle et dont le pays, Cuba socialiste est situé à seulement 120 kms des USA, Chef de fil des impérialistes et temple du capitalisme.

Face au cuisant échec de la campagne du Magazine américain Forbes de 2006, les impérialistes ne se sont pas remis car la révolution cubaine existe toujours se renforce, et ce malgré la disparition du camp socialiste et de l’ex-URSS.

Le soulèvement contre révolutionnaire (révolution orange) escompté et téléguidé par l’occident n’a pas eu lieu. Les impérialistes sont revenus à la charge en ce printemps de mai 2014, en sortant de leur réserve de collabos et traîtres anti cubains, un certain Lieutenant-colonel Juan Reinaldo Sanchez. ils l’ont aidé à produire l’ouvrage diffamatoire en question. La crise financière du capitalisme dont les conséquences sont désastreuses économiquement pour les travailleurs des pays du nord, n’est pas autant ressentie par les travailleurs cubains qui, grâce au système socialiste, sont heureusement préservés du chômage, de l’insécurité alimentaire, des soins médicaux payants, du manque de logement, des études payantes... Ces performances du bien-être social collectif du socialisme cubain dont le renégat Juan Reinaldo Sanchez en avait lui-même bénéficié, furent inexistantes. Quelle ingratitude !

La funeste stratégie des impérialistes et leur larbin Juan Reinaldo Sanchez, qui consiste à mettre en exergue le prétendu train de vie luxueux digne de la haute bourgeoisie du dirigeant cubain et de sa famille, c’est de pouvoir susciter une révolution orange du peuple qui serait misérable à Cuba. Peine perdue car le peuple cubain et son Leader incarnent la révolution socialiste et inversement. Le bien-être social (santé et éducation gratuites, sécurité alimentaire, logement...) apporté à tout le peuple cubain est un acquis que ce dernier tient à conserver jalousement contre les tentatives d’agressions militaires, les actes terroristes impérialistes qui espèrent toujours restaurer le capitalisme d’antan de l’ère du dictateur Batista, un allié des USA.

Travailleur acharné et sportif, le Commandant Fidel CASTRO mène une modeste vie.

A court d’arguments percutants et objectifs pour étayer ses mensonges orduriers sur la prétendue « vie bourgeoise capitaliste » que mènerait le Commandant Fidel CASTRO, le traître évoque ridiculement la consommation du lait fraîchement trait de la « vache spéciale N°5 ». Le renégat Juan Reinaldo Sanchez étale ici sa profonde ignorance relative aux notions élémentaires de principes de précaution, de sécurité, de traçabilité et de mesures de précaution alimentaires. Pourquoi ces normes qui sont rigoureusement appliquées par les industries agroalimentaires et par les chaînes de restauration en occident, devraient suscitées cette description ridicule dans ce pamphlet ? L’auteur de surcroît n’est pas sans ignorer que le Commandant Fidel Castro est dans la ligne de mire des impérialistes qui utiliseraient tous moyens et voies possibles pour le liquider y compris par empoisonnement.

La consommation par le Commandant Fidel Castro du lait frais non importé de l’occident, provenant d’un élevage contrôlé et suivi par les spécialistes cubains, contribue à renforcer la sécurité du leader révolutionnaire que les impérialistes voudraient assassiner depuis 55 ans.

Toujours dans le domaine de la gastronomie l’auteur écrit : « les déjeuners de Fidel sont frugaux. Ils se résument souvent à une soupe de poisson ou de fruits de mer ». Quelle contradiction car ces repas simples ne ressemblent nullement à ceux d’un bourgeois ou d’un monarque occidental de Louis XIV à nos jours. Plus loin, Juan Reinaldo Sanchez continue son récit d’insanités en évoquant aussi les célébrations des 13 août dates anniversaires du Commandant Fidel Castro : « On fait rôtir un méchoui, que les hôtes mangent sans couverts, à la main, conformément à la tradition arabe, et le tout est arrosé de vins algériens » Ces anniversaires modestes n’ont rien de capitalistes ou de fastes de la bourgeoisie occidentale. C’est pathétique pour ce petit soldat yankee Juan Reinaldo Sanchez, qui pensait faire des révélations bouleversantes relatives sur le train de « vie capitaliste » du Commandant Fidel Castro, mais au final, il expose plutôt à la face du monde ses propres contradictions, son étroitesse d’esprit, ses incohérences déconcertantes, ses diffamations imaginaires. Cela est pitoyable pour son auteur qui se ridiculise et se déshonore. Il se discrédite aux yeux de toute personne dotée d’esprit critique aussi peu soit-il. En effet, comment parler du Leader de la Révolution cubaine, le Commandant Fidel Castro, l’un des Grands Hommes du XXème siècle avec autant de légèreté, sur des sujets futiles et dont le contenu frise l’imbécilité ? Pourquoi n’a-t-il pas fini son pitoyable et ridicule récit en ajoutant que les invités qui mangeaient à la main le méchoui se sont lavés les mains à la fin du repas ?

Lors des célébrations de ces anniversaires, Juan Reinaldo Sanchez regretterait l’absence à table des boissons étatsuniennes ou occidentales (Whisky, Coca cola, Martini, la bière Heineken...) car le vin algérien (offert par la présidence de ce pays africain) était à l’honneur car servi en exclusivité à table. Ce fait symboliserait les liens étroits de luttes révolutionnaires anti impérialistes entre le PC de Cuba et le FLN. La tricontinentale fut le résultat de cette alliance révolutionnaire anti impérialiste. Cuba socialiste soutenait les luttes de libération des peuples. C’est au nom de cet internationalisme que le compagnon du Leader de la révolution cubaine, le Commandant Che Guevara a effectué sa première visite à Alger en 1963, soit un an après l’indépendance de ce pays africain après une victoire de la lutte de libération du FLN sur l’impérialisme français.

Le petit soldat étatsunien Juan Reinaldo Sanchez poursuit sa pseudo narration en déniant au Leader de la Révolution cubaine sa qualité de travailleur acharné, que même ses adversaires la lui accorde malgré eux. Qui oserait croire à de telles insanités et mensonges grossiers ? En effet, si malgré 55 ans d’embargo économique et d’actes terroristes étatsuniens, Cuba socialiste résiste, continue d’exister et se renforce, c’est grâce aux sacrifices consentis, à l’investissement permanent intellectuel, physique et moral du Commandant Fidel Castro. Ce dernier travaille incontestablement avec acharnement sans relâche à la défense de la révolution socialiste. En Mars 2003 il déclara : « Je comprends maintenant que mon destin n’était pas de venir au monde pour me reposer à la fin de ma vie ».

Ceux qui ont côtoyé le Leader de la révolution cubaine Fidel CASTRO confirment qu’il a incontestablement une force de caractère et de conviction communiste. C’est un révolutionnaire qui croit fermement à la victoire de sa lutte quelle que soit le temps que durera le combat, les difficultés à surmonter et les sacrifices personnels à consentir pour cette noble cause. N’en déplaise aux professionnels de la propagande anti castriste et anti cubaine, force est de constater cette vérité décrite par ses proches : le Commandant Fidel Castro est un bourreau de travail, qui a besoin de très peu de sommeil. Noctambule, il réunit souvent ses
hommes de confiance jusqu’au petit matin.

L’écrivain Garcia Marquez dans un article et publié en août 2006 dans le journal « Juventud rebelde » écrit : « C’est le Fidel Castro que je crois connaitre : un homme aux habitudes austères et aux illusions insatiables, [...] aux paroles mesurées et aux manières nuancées, et incapable de concevoir une idée qui ne soit pas colossale ».
Il rêve que ses scientifiques trouvent la façon de vaincre le cancer et il a créé une politique extérieure de puissance mondiale dans une île 84 fois plus petite que son principal ennemi. Il a la conviction que la plus grande réussite de l’être humain est la formation de sa conscience et que les stimulations morales, plus que les matérielles, sont capables de changer le monde et d’impulser l’histoire. Fidel Castro est là pour gagner. Son attitude face à l’échec, même dans les plus petits actes de la vie quotidienne, semble obéir à une logique privée : il ne l’admet même pas, et n’aura pas une minute de tranquillité tant qu’il n’aura pas inversé les données et l’aura converti en victoire ».

Il va de soit que cette masse de travail à accomplir, exige du Commandant Fidel Castro d’avoir une santé de fer, d’où sa passion pour la plongée sous marine et autres. Pour le renégat Juan Reinaldo Sanchez, l’évocation de la vie sportive du Commandant Fidel Castro est une « révélation du siècle ». Quel minable pamphlétaire qui voudrait à tout prix avoir un bouquin volumineux plein de détails futiles. C’est être bourgeois ou capitaliste de pratiquer un sport qu’on aime ? En revanche, le narrateur reconnait (certainement inconsciemment) au moins les performances sportives du Leader de la révolution en ces termes : « Doté d’une capacité thoracique impressionnante, Fidel (1,91 mètres, 95 kilos) plonge en apnée à 10 mètres de profondeur sans la moindre difficulté »

Il n’existe pas de propriétaires fonciers et immobiliers à Cuba socialiste : le leader de la révolution Fidel CASTRO vit dans la résidence officielle de l’état cubain.

Dans le domaine de patrimoine immobilier et foncier, le narrateur Juan Reinaldo Sanchez parle de l’île privée paradisiaque de Cayo Piedra, située à 15 km de la baie des Cochons et dont l’existence serait un Secret d’Etat. Sur ce bout de terre cubaine, fut construite la « maison privée » du Leader cubain.

L’auteur se ridiculise davantage en attribuant à l’île le statut de « propriété privée » foncière du Commandant Fidel Castro, alors que la constitution socialiste de Cuba l’interdit. Il n’existe pas de propriétaires fonciers privés à Cuba socialiste. La terre est la propriété de l’état socialiste. Pourquoi le petit soldat yankee Juan Reinaldo Sanchez n’a-t-il pas produit des copies des documents officiels (titres fonciers et immobiliers) au nom du Commandant Fidel Castro ? ou même au nom de l’un de ses proches ?

Le mensonge, la calomnie des impérialistes et leurs valets, ne résisteront pas longtemps face à la tenace vérité et à la probité morale révolutionnaire du Commandant Fidel Castro. Le monde a déjà pris conscience des mensonges congénitaux des impérialistes dans leur stratégie pour dominer le monde, nuire, voire assassiner les dirigeants du sud insoumis. En effet, les mensonges sur la possession des Armes de destruction massive (ADM) par le président Saddam Hussein ou le massacre de la population libyenne à Benghazi par le Colonel Mouammar Kadhafi... ont servi de fallacieux prétextes pour assassiner ces deux
dirigeants, détruire et occuper ces pays. A ce jour aucune trace d’ADM n’a été trouvée en Irak. Pour la Libye, une certaine presse en occident dénonce aujourd’hui l’erreur politique gravissime commise par les dirigeants impérialistes en livrant ce pays aux intégristes islamistes contre lesquels se battaient par ailleurs le Guide libyen Kadhafi. Est-il encore besoin de rappeler que pour répondre à la grossière calomnie sur la « fortune » du Commandant Fidel CASTRO (qui serait estimée à 900 millions de dollars) selon le journal étatsunien Forbes, le dirigeant révolutionnaire a organisé une émission télévisée spéciale le 15.05.2006. Il asséna cette vérité historique qui témoigne de sa pureté idéologique et de son attachement aux valeurs et principes du socialisme. Le commandant Fidel CASTRO a accepté la confiscation des terres familiales au profit des paysans pauvres, après la victoire de la révolution qu’il dirige : « Je ne suis pas né totalement pauvre. Mon père possédait des milliers d’hectares de terre. A la victoire de la révolution, toutes ces terres ont été remises aux paysans ».

Monsieur Juan Reinaldo Sanchez serait-il capable de nous citer un seul dirigeant de ce monde, qui a exproprié les biens familiaux au profit des masses populaires ? Le Commande Fidel CASTRO n’est pas un propriétaire foncier par conséquent il ne possède pas l’île Cayo Piedra qui appartient à l’état socialiste cubain.

Au lieu de calomnier le Leader de la révolution cubaine, le renégat Juan Reinaldo Sanchez aurait du s’informer au préalable sur les dirigeants propriétaires des biens immobiliers ou sur les résidences officiels de ces derniers. En effet, Il existe partout dans le monde, des résidences principales, secondaires (de vacances) ou des domaines officiels présidentiels. En France on compte une dizaine de résidences et annexes sur le territoire national : le palais de l’Elysée, Hôtel de Marigny, le quai Branly, le Palais de l’Alma à Paris, le château de Rambouillet(800 hectares) dans les Yvelines, une aile du grand Trianon-sous-bois et le Pavillon de la Lanterne à Versailles, le domaine national de Marly-le-Roi (400 hectares), le Fort de Brégançon dans le Var , le domaine de 15 hectares à Souzy-la-Briche, le Château de Champs-sur-Marne, le Château de Vizille en Isère, le Domaine de Souzy-la-Briche dans l’Essonne, le château de Chambord (5441 hectares) étaient le lieu autrefois des chasses présidentielles. (Sources : Express, Expansion, politique.net, Wikipédia, elysee.fr). Ce nombre impressionnant de luxueuses résidences présidentielles, (dignes du roi soleil, Louis XIV) et dont l’entretien coûte des millions d’euros par an, ont eu comme locataires tous les présidents successifs de la République française dont l’actuel. Comment pourrait-on alors, un seul instant avoir l’esprit malveillant et insensé d’attribuer la propriété de toutes ces résidences à François Hollande ?

Ces domaines présidentielles sont les propriétés de l’état français et à plus forte raison les quelques rares et modeste résidences présidentielles de l’état socialiste de Cuba. Le pamphlétaire Juan Reinaldo Sanchez à même poussé l’outrecuidance en battant le record du ridicule lorsqu’il évoque « la démesure » du palais présidentiel de Punto Cero, qui n’est qu’une modeste maison ancienne de 500 mètres carrés. Quelle personne dotée d’un peu de bon sens soit-il, se laisserait convaincre de cette dimension qui serait pour lui gigantesque ? A-t-il vraiment la notion de mesure ? En comparaison avec les résidences présidentielles cossues bourgeoises que sont le palais de l’Elysées à Paris ou la Maison blanche à Washington et dont le gigantisme crève les écrans de télévision, le palais présidentiel de Punto Cero à La Havane n’est en réalité qu’une belle grande maison ancienne qui pourrait héberger une très grande famille. De plus, l’auteur est bien pris en flagrant délit de contradiction lorsqu’il écrit à propos de la résidence présidentielle de l’île Cayo Piedra ces lignes : « Très fonctionnelle, la maison en ciment est dépourvue de luxe ostentatoire. Outre la chambre à coucher de Fidel et Dalia (sa femme), elle compte une chambre-dortoir pour les enfants, une cuisine et un salon-salle à manger donnant sur une terrasse face à la mer. Le mobilier, en bois, est de simple facture. Aux murs, l’essentiel des tableaux, dessins ou photos représente des scènes de pêche ou de vie sous-marine ». Où est la prétendue résidence présidentielle somptueuse, cossue au décor bourgeois rivalisant avec les résidences présidentielles des impérialistes, les palais des milliardaires occidentaux ou ceux des monarques du golfe persique ? A force de mentir, de calomnier le Commandant Fidel Castro, le nouveau petit soldat yankee, Juan Reinaldo Sanchez est confus dans son esprit et récit.

Il est pris dans son propre piège. Quelle honte !

Toujours à propos des résidences, d’autres palais présidentiels ou royaux sont de véritables châteaux implantés sur des territoires de la taille d’une toute petite ville. Ce sont parfois de villes en miniature dans la ville. Que dira alors le traître Juan Reinaldo Sanchez du palais présidentiel de Castel Porziano à Rome et situé sur un domaine de 59 km2 ? de la Maison blanche à Washington, du Camp David dans le Maryland aux USA ? du palais de Buckingham au Royaume unis ? de Gråsten Palace au Danemark ? des palais de Kremlin à Moscou et Bocharov à Sotchi en Russie ? du Palais de Kyongbok en Corée du Sud ? des palais royaux de Bruxelles, de Suède, d’Espagne ? des palais royaux de la Bahia de Marrakech et Dar el Makhzen au Maroc d’Arabie Saoudite, de Qatar, de City Palace de Jaipur en Inde, de Casa Rosada en Argentine ? des palais présidentiels de Carthage en Tunisie, de Yamoussokro en Côte-d’Ivoire, d’Abedin en Egypte ?...

Le Commandant Fidel Castro, issu d’une famille riche a choisi la révolution socialiste. Il vit modestement au milieu de son peuple avec un salaire mensuel de 900 pesos cubains (40 dollars). Inversement, nombre de Présidents-dictateurs africains, issus à l’origine des familles misérables depuis plusieurs générations, et qui sont imposés aux peuples de notre continent par l’impérialisme français, sont devenus aujourd’hui des milliardaires. En effet, ils pillent systématiquement toutes les ressources des états qui sont devenus leurs propriétés privées.

C’est notamment le cas du Tchad où le Général-Président Idriss Déby, imposé et soutenu depuis 23 ans par la France, plonge les masses populaires dans la misère au profit de sa famille. Les membres de la famille présidentielles dirigent tous les régis financiers de l’état (Trésor, Douane, Entreprises publiques), ils possèdent des entreprises privées qui ont le par ailleurs le monopole des marchés publics, des importations et exportations...

A ce trophée économique, viennent s’ajouter le secteur politique (contrôle des ministères clés) et militaire (tous les Officiers supérieurs du clan familial occupent les postes stratégiques de commandement dans l’armée).

Cette prédation des rentiers du pouvoir capitaliste au Tchad, à laquelle vient s’ajouter la domination impérialiste ont pour conséquence la paupérisation exponentielle des masses populaires tchadiennes. En effet, malgré les milliards de pétrodollars engrangés par le Tchad, le pays continue de figurer sur la liste des pays les plus pauvres au monde. Plus de 10 milliards de dollars ont été encaissés entre 2004 et 2012 (Source : Jeune Afrique, mardi 19 mars 2013)

Selon le classement IDH 2013 du PNUD, le Tchad occupe le 184ème rang sur 186 états, faisant ainsi partie des 10 derniers pays les plus pauvres du monde à IDH faible.

Inversement, socialiste, dépourvu de ressources pétrolières, malgré les 55 ans d’embargo économique et de terrorisme des USA, est classé parmi les 94 pays à IDH élevé, rivalisant parfois de prouesse voire dépassant même certains pays impérialistes capitalistes du nord en matière de santé, éducation, d’emploi... Toujours selon le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Cuba est le seul pays d’Amérique latine et du Tiers-monde qui se trouve parmi les dix premières nations du monde avec le meilleur Indice de développement humain(IDH) sur les trois critères espérance de vie, éducation et niveau de vie lors de la dernière décennie.

Le renégat Juan Reinaldo Sanchez est-il conscient du bien-être que le Leader de la révolution, Fidel CASTRO et le système socialiste ont apporté au peuple de Cuba ?
Les thuriféraires du capitalisme sont aphones et aveugles sur la prédation des pays africains par les dirigeants imposés par l’impérialisme français, mais demeurent toujours et injustement actifs dans leur propagande anti castriste et anti cubaine, car la révolution socialiste à Cuba pourrait inspirer les luttes de libération des peuples africains contre la domination impérialiste occidentale.

Un modeste salaire 900 pesos cubains (40 dollars) pour le Leader de la révolution

Avec un salaire mensuel modeste de 900 pesos cubains (40 dollars), le commandant Fidel CASTRO a accepté de vivre très modestement au milieu de son peuple. Il ne s’est pas octroyé comme nombre des dirigeants occidentaux et dirigeants africains des salaires mensuels astronomiques. Le Commandant Fidel CASTRO n’est par conséquent ni un bourgeois, ni un monarque, ni un capitaliste comme l’affirment les détracteurs de la révolution socialiste à Cuba. Le Leader de la révolution socialiste cubaine, ne sera jamais capitaliste car il est profondément communiste révolutionnaire, voire le serait congénitalement.

A titre de comparaison de salaires mensuels, nombreux sont les Présidents ou premiers ministres des pays impérialistes occidentaux et des pays africains, dont les émoluments sont démesurés et mènent effectivement un train de vie capitaliste : le président des Etats-Unis, (23.000 euros), le président français 19.500 euros), le Premier ministre britannique (13.850 euros), la chancelière allemande (15.830 euros), le président du Kenya (19.650 euros), le président du Gabon 14.340 euros,... Cependant, le président de Zimbabwe Robert Mugabe (autre bête noire des impérialistes pour cause de son insoumission aux diktats des occidentaux) a quant à lui, un modeste salaire mensuel de 1.100 euros. [Source : Slate Afrique]

En matière de patrimoines immobiliers et fortunes des Présidents africains alliés de la France, l’engouement médiatique permanent, à l’instar de la campagne agressive anti cubaine, vieille de 55 ans, n’est pas de mise chez les impérialistes. La partialité médiatique est incontestable.

Cependant, quelques journaux, tel Le Nouvel Observateur 2007, 2008, 2011] a évoqués certaines de ces fortunes usurpées aux masses populaires africaines. En effet, les avoirs de l’ancien président Mobutu de l’Ex Zaïre (RD Congo), l’homme des USA, « furent gelés le 17 mai 1997, à la suite de son décès. La fortune de l’intéressé, placée hors d’Afrique, atteignait, selon certaines sources, l’équivalent de près de 2,7 milliards d’euros » [Source RFI du 23/11/2008].

L’ancien Président Omar Bongo du Gabon, possédait un patrimoine immobilier en France de 39 propriétés, 70 Comptes bancaires et un parc de voitures pour un montant total de 1.493.444 euros....

L’organisation Transparency International (principale organisation de la société civile de lutte contre la corruption) a révélé la liste non exhaustive des biens mal acquis de certains présidents africains en encore en exercice. Ces biens dont certains sont localisés en France, sont pourtant estimés à plusieurs milliards de dollars.

Les conséquences du pillage des ressources naturelles africaines par les multinationales occidentales et la prédation des ressources financières par les Présidents, ont pour conséquence la paupérisation exponentielle des masses populaires. Le sujet de la domination impérialiste de l’Afrique, son pillage et la misère des populations, devrait plutôt faire la une des médias dans une campagne permanente contre ces crimes financiers et patrimoniaux fonciers, car les peuples africains en souffrent, tandis que le peuple de Cuba socialiste qui vit dignement et très bien sous le régime socialiste du Commandant Fidel CASTRO, possède un IDH élevé. Il n’a pas besoin de cette minable croisade anti cubaine insensée et injuste de la presse bourgeoise.

Les milliards de dollars de ces dictateurs africains et leurs biens matériels (maisons, châteaux, voitures de luxe...) volés aux peuples africains sont restés en occident même après leur mort. Ces fortunes ne sont pas restituées aux masses populaires dont la paupérisation s’accroit. Les impérialistes et leurs banques organisent méticuleusement le pillage monétaire et financier de l’Afrique. Ce vol de rapine en bande organisée par l’impérialisme occidental, en fait de lui un receleur de premier ordre. Diantre ! Quelle leçon de probité morale, de civisme, de démocratie, de solidarité... les impérialistes voudraient-ils faire au Commandant Fidel Castro et au peuple cubain à travers cette nouvelle croisade anti cubaine du minable pamphlet du renégat Juan Reinaldo Sanchez ? En effet, Cuba socialiste n’a jamais été le receleur des dictateurs africains, il n’a ni imposé, ni soutenu ces tyrans contre la volonté des peuples africains. Cuba socialiste a au contraire contribuer au développement du continent, bien-être des masses populaires africaines, sans oublier son aide internationaliste à la libération nationale des peuples africains contre l’impérialisme occidental, aide internationaliste aux peuples africains dans leurs luttes de libération (Angola, Afrique du Sud, Congo, Algérie...).

Est-il encore besoin de rappeler que pour le bien-être social des masses populaires africaines, des milliers de médecins cubains sillonnent les campagnes et plusieurs milliers d’étudiants du continent sont formés sur l’île socialiste grâce aux bourses du gouvernement cubain dans toutes les spécialités : médecine, agronomie, pharmacie, économie, pédagogie, sport, littérature...

Selon le quotidien Granma International, 40.000 jeunes africains ont déjà été formés à Cuba.

De quoi à faire pâlir de jalousie et déclencher la furie guerrière des impérialistes. En effet, les prédateurs occidentaux n’ont que la seule volonté capitaliste de maintenir les peuples africains dans l’analphabétisme, de priver le continent des cadres indispensables au développement des pays, afin de continuer à maintenir leur domination coloniale et leurs pillages des ressources naturelles.

Rappelons qu’au total, ce sont plus de 85 millions de personnes qui ont été soignées dans le monde par les médecins cubains, sauvant ainsi plus de 615 000 vies humaines. Nous avons là une preuve de l’internationalisme humain et de solidarité conséquente et concrète entre les peuples. Les pays impérialistes capitalistes très riches et développés donneurs de leçons au régime cubain et ennemis de la révolution cubaine, ne devraient-ils pas en toute modestie s’inspirer du modèle cubain en matière de coopération avec les pays du sud ?

Les performances inédites du système socialiste à Cuba dans les domaines de la Santé, de l’éducation et de la Recherche scientifique.

La subjectivité de la presse bourgeoise anti castriste, anti cubaine et leur nouvel allié de circonstance, le renégat Juan Reinaldo Sanchez, est déconcertante. Pourquoi s’est-elle spécialisée à noircir éternellement Cuba socialiste et son Leader ? Pourquoi omet-elle de mentionner les performances de la révolution cubaine dans plusieurs domaines d’activités humaines ?

ll serait ici, très fastidieux d’énumérer la très longue liste des performances dans tous les domaines : santé, éducation, social, culturel, sportif, sciences..., obtenues sous l’égide du Leader de la révolution socialiste, le charismatique, Commandant Fidel CASTRO.

A lire le torchon de ce petit soldat yankee, Juan Reinaldo Sanchez, ce dernier ne considérerait-il pas le peuple cubain comme analphabète, dépourvu de la moindre capacité d’analyse ? C’est une insulte à l’égard de ce vaillant peuple, de surcroît le plus instruit de toute l’Amérique latine grâce au système d’éducation gratuite et performante mis en place par la révolution socialiste. En effet, l’’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO), organisation spécialisée de l’ONU dirigée par les puissances impérialistes, est dans l’obligation de reconnaitre dans ses différents rapports l’excellente performance qualitative et quantitative de Cuba socialiste dans le domaine de l’éducation : « Cuba est la nation au monde qui consacre la part de budget national la plus élevée à l’éducation, avec près de 13 % du PIB ». « Sur l’éducation dans 13 pays d’Amérique latine, Cuba arrive en tête dans toutes les matières d’enseignement ».

« Cuba occupe le 16ème rang mondial, le 1er du continent américain pour l’indice de développement de l’éducation pour tous (IDE) qui évalue l’enseignement primaire universel, l’alphabétisation des adultes, la parité et l’égalité entre les sexes ainsi que la qualité de l’éducation ». À titre de comparaison, les USA, première puissance économique et militaire impérialiste capitaliste n’arrivent qu’au 25ème rang mondial.

En matière de la gratuité et d’excellentes performances du système de la Santé sur l’île socialiste, les différents rapports de l’Organisation Mondiale de la Santé(OMS) du Fonds des Nations unies pour l’enfance de (UNICEF) et d’autres organisation spécialisées de l’ONU (UNESCO, Fond Monétaire International (FMI), BANQUE MONDIALE), ont souligné les sommets atteints par Cuba socialiste par rapport aux pays impérialistes et ceux du sud : Cuba dispose du taux de mortalité infantile (4,60 pour mille) devançant les USA qui sont proches de 6 pour mille (5.90). L’île socialiste a le plus bas taux de mortalité infantile du continent américain. Avec 1 médecin pour 148 habitants, Cuba est, selon l’OMS, la nation au monde la mieux pourvue dans ce secteur. L’île socialiste surclasse de loin les puissances impérialistes occidentales (Usa 1 médecin pour 390, France et Allemagne 1 pour 300 habitants, Belgique 1 pour 220).

Ces chiffres témoignent si besoin est de la suprématie sociale du socialisme sur le capitalisme car Cuba socialiste place la santé de l’Homme au centre de ses actions gratuites tandis que pour les pays capitalistes développés, l’Homme est une marchandise qui doit rapporter que des profits.

La revue médicale américaine de renommée mondiale, « New England Journal of Médecine » reconnait la qualité et l’efficacité de la médecine cubaine, qui à certains égards surclasse de loin celles des USA : « le système de santé cubain semble irréel. Il y a trop de docteurs. Tout le monde a un médecin de famille. Tout est gratuit, entièrement gratuit [...].

Malgré le fait que Cuba dispose de ressources limitées, son système de santé a résolu des problèmes que le nôtre [celui des États-Unis] n’a pas encore réussi à régler. Cuba dispose désormais de deux fois plus de médecins par habitant que les États-Unis »

Ce journal scientifique est objectif et impartial. Il n’est pas sous l’influence politique mensongère et diffamatoire des revues d’information générale anti castriste et anti cubaine.

Nous ne pouvons pas conclure cet aperçu des performances cubaines en soulignant un exemple du très haut niveau de recherches scientifiques dans les domaines des Biotechnologies, de Pharmacie, de Médecine. Les scientifiques cubains du célèbre Centre d’immunologie moléculaire de La Havane, ont découvert le premier vaccin au monde contre le cancer du poumon, le Cimavax-EG. Cette prouesse scientifique est sciemment et malhonnêtement ignorée par cette même presse bourgeoise anti cubaine primaire, formatée pour noircir à satiété la révolution cubaine et son Leader le Commandant Fidel CASTRO en le couvrant des mensonges grossiers et diffamations.

Dans le domaine crucial de l‘Emploi où le chômage est devenu un cancer dans les pays capitalistes, le socialisme l’a éradiqué à Cuba. Selon le rapport 2013 de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), les 34 pays membres totalisent 48 millions de chômeurs. Les pays occidentaux impérialistes dont les USA connaissent un fort taux de chômage depuis les années 1970 avec les chocs pétroliers. Le taux de chômage reste à un niveau très élevé autour de 10,6 %.selon les rapports de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et l’Eurostat au troisième trimestre 2013. Le taux de chômage en France pour les moins de 25 ans était de 22,7 % au deuxième trimestre 2012, selon l’Insee, et de 25,7% au quatrième. Tandis qu’à Cuba socialiste, le taux de chômage est de 1,7% selon les données de Index Mundi (Source : CIA World Factbook–Version du 1er Janvier 2011).

Assurer la sécurité, la défense du pays et celle de la révolution socialiste, est un devoir et un droit pour le Commandant Fidel Castro et le peuple de Cuba.

Tous les dirigeants du monde sont entourés par des mesures de prévention et de sécurité drastiques dans tous les domaines de la vie courante d’un homme. Pourquoi en serait-il autrement pour le Commandant Fidel Castro, qui est de surcroît l’ennemi public N°1 du Chef de fil des impérialistes, les USA ?

Si à ce jour, le leader révolutionnaire cubain a survécu à tous les actes terroristes, attentats et guerres d’invasion des Etats-Unis, c’est grâce à ces mesures de sécurité révolutionnaires imperméables adéquates et au soutien indéfectible du peuple cubain au socialisme et à son Leader.

L’échec des USA, de détruire le socialisme à Cuba et d’assassiner le Commandant Fidel Castro est patent et permanent. Le projet étatsunien de restauration du capitalisme sur l’île, a toujours échoué, ce qui donne des insomnies et la furie guerrière aux impérialistes depuis 55 ans. La haine réactionnaire quadruplée et tenace pousse les USA à la soif insatiable de vengeance. Les impérialistes rêvent toujours d’une revanche en utilisant tous les moyens : de l’embargo économique à la guerre d’invasion de l’île socialiste par les Usa et leurs mercenaires cubains (baie de cochon en avril 1961), en passant par la « littérature propagande permanente » diffamatoire, calomnieuse et indigne, contre la révolution socialiste et son Leader charismatique, bien aimé du peuple cubain, le Commandant Fidel CASTRO.

Le torchon de Juan Reinaldo Sanchez, vient hélas, s’ajouter à cette longue liste de littérature anti cubaine et anti castriste. Leurs minables auteurs en quête d’une hypothétique notoriété rivalisent des insanités, des diffamations les plus monstrueuses les unes que les autres à l’encontre du Leader de la révolution. Peine perdue, car ces pitoyables olympiades de diffamations et de calomnies sont dérisoires car la révolution socialiste cubaine, son Leader Fidel CASTRO et le peuple ne constituent qu’une seule unité organique indestructible.

En matière de sécurité nationale, pourquoi Cuba socialiste qui est depuis 55 ans, mis en état de guerre permanente par les impérialistes, ne devrait-il pas mobiliser tous ses services de sécurité d’état (le G2) afin de prévenir, ou de débusquer les taupes en missions commandées par les impérialistes ? Le Peuple cubain a le droit et le devoir de défendre sa souveraineté, son indépendance et sa révolution socialiste.

Le renégat Juan Reinaldo Sanchez regrette amèrement cette vigilance révolutionnaire sans laquelle la 5ème colonne étatsunienne, unité à laquelle il appartient fomenterait une « révolution orange » afin de restaurer le système capitaliste, tant souhaité par les USA.

Selon les journaux étatsuniens (USA Today, Washington Post) et britannique (The Guardian), les USA surveillent toutes les communications du monde par leur agence, la NSA, y compris celles de leurs alliés occidentaux. Cuba socialiste n’a jamais pratiqué cette violation de la vie privée des terriens. Qui oserait affirmer que Cuba socialiste à l’instar des USA surveille les communications téléphoniques du monde entier ? Pourquoi des mesures vigoureuses ne sont pas prises par les alliés contre les agissements des USA ?

L’île socialiste qui défend uniquement sa souveraineté en surveillant de près les tentatives d’infiltration du pays par les ennemis, en prenant des mesures contre le terrorisme étatsunien, est vilipendé et subi injustement l’embargo économique depuis 55 ans.

Non à la force du droit des Forts (puissances impérialistes occidentales) sur la force du droit international.

Rappelons au petit soldat des impérialistes, Juan Reinaldo Sanchez que les écoutes téléphoniques sont fréquemment pratiquées par les gouvernements des pays occidentaux (les écoutes téléphoniques de l’Elysée de 1983 à 1986 sous le premier septennat de François Mitterrand puis celles récentes de la présidence de François Hollande(Sources : Le Figaro du 12 mars 2014 et La Nouvelle Tribune du 22 mars 2014).

Ailleurs, on invoque pour ces écoutes des raisons de sécurité nationale, comme si Cuba socialiste, un état véritablement indépendant et souverain, n’a pas droit à ce domaine régalien de tous les pays.

La prétendue « grande révélation » sur le « train de vie capitaliste bourgeois et le patrimoine immobilier » du commandant Fidel Castro, du livre de Juan Reinaldo Sanchez, n’est que mensonges, calomnies et diffamations. L’article du journal L’Express faisant état de la publication aux éditions Lafon se délectait de cette pseudo « révélation explosive ».

La vague de la campagne anti castriste a repris le haut du pavé dans toute la presse anti cubaine en occident, qui reprenait systématiquement l’article sans aucune analyse.

Les médias en ont fait leurs choux gras, mais hélas et malheureusement pour ces réactionnaires, la montagne n’a même pas accouché d’une toute petite souris, eu égard au rêve caressé par le renégat Juan Reinaldo Sanchez à travers son livre. En effet il avait tenu ces ignobles propos : « Je suis sûr que les gens changeront d’avis sur Fidel Castro et leur regard sur Cuba en lisant ce livre ». L’intention sordide du pamphlet et clairement exprimée : celle d’assassiner le leader de la révolution cubaine, détruire le socialisme dans le pays. Et restaurer le capitalisme. C’est en somme, le projet de ses Maîtres étatsuniens qu’il doit exécuter.

Les vieilles recettes étatsuniennes, maintes fois ressassées et recyclées contre Cuba par exemple celles de la télévision Americateve, sont anachroniques et sans effets sur le peuple révolutionnaire de Cuba qui demeure fidèle au Commandant Fidel CASTRO, à la révolution et aux acquis sociaux inestimables et incontestables du socialisme. Ce n’est pas par pure coïncidence que cette chaîne de télévision étatsunienne Americateve, une des multiples officines de la CIA a consacré plusieurs émissions au renégat Juan Reinaldo Sanchez et à sa famille. Pourquoi autant d’heures consacrées à ce petit soldat Juan Reinaldo Sanchez et à sa famille ? L’impérialisme escomptait tirer le gros lot ? En effet, une large partie de ces mensonges et autres insanités étalées dans son pamphlet sont des extraits de ces émissions. Il n’y a donc pas eu et il n’y aura jamais une quelconque « révélation explosive », ni déflagration sociale (révolution orange) tant rêvée par les occidentaux.

Ces lâches et ignobles actions contre le peuple cubain et son Leader charismatique Fidel CASTRO, ne feraient que jeter de l’opprobre déjà grandissant sur leurs criminels auteurs, les impérialistes occidentaux et leurs valets cubains de même acabit que Juan Reinaldo Sanchez.

L’unité organique qui existe entre le commandant Fidel CASTRO, le peuple de cuba et la révolution socialiste, ne constitue qu’une et unique entité. C’est ce qui explique l’échec de la croisade impérialistes contre la révolution socialiste et son Leader charismatique.

La restauration du capitalisme d’antan, tant rêvée par l’impérialisme étatsunien et ses alliés occidentaux depuis 55 ans, est par conséquence impossible eu égards aux moyens colossaux et stratégies multiformes déployés depuis 55 ans : embargo économique, actes de terrorisme, sabotage, diffamations grossières...)

Le dernier pamphlet du petit soldat étatsunien Juan Reinaldo Sanchez, intitulé « La vie cachée de Fidel Castro », n’est qu’un vulgaire recyclage du vieux stock de la littérature diffamatoire anti castriste et anti cubaine. Peine perdue, la prétendue « révélation explosive » relayée massivement par la presse réactionnaire occidentale, n’a pas déclenché et n’arrivera jamais à susciter une « révolution orange ». Le peuple cubain n’acceptera jamais de perdre les avantages sociaux collectifs et le bien-être que lui a procuré la révolution socialiste.

Le peuple cubain bénéficie incontestablement des avantages sociaux que les pouvoirs dictatoriaux d’Afrique, imposés et soutenus par la France, n’ont jamais offert aux masses populaires, et ce malgré les milliards de pétrodollars déversés dans ces pays africains.

La paupérisation des peuples africains est inversement proportionnelle à l’accroissement de la valeur des richesses pillées par les impérialistes et leurs « dirigeants-délégués » africains au pouvoir en Afrique. Certains d’entre eux sont au pouvoir, depuis au moins une vingtaine d’années pour les plus jeunes. Ces faits gravissimes des dictateurs dont l’impérialisme français est géniteur, ne suscitent aucune émotion dans cette même presse bourgeoise, toujours prompte à diffuser à profusion la politique anti castriste et anti cubaine.

Le génie du Commandant Fidel CASTRO a permis à l’héroïque peuple de Cuba socialiste de vaincre toutes les batailles que lui ont livrées par les impérialistes étatsuniens et leurs affidés depuis 55 ans. La révolution socialiste cubaine est pérenne et irréversible au grand dam des contrerévolutionnaires. Ne serait-il pas plus raisonnable aux impérialistes de reconnaître leur échec dans leur projet de restauration du capitalisme à Cuba ? Pourquoi persistent-ils dans cette voie de confrontation sans issu et improductive ?

Rappelons au demeurant que la loi Helms-Burton (officiellement, Cuban Liberty and Democratic Solidarity (Libertad) Act of 1996, aussi appelée Helms-Burton Act) est une loi fédérale américaine renforçant l’embargo contre Cuba. Les instigateurs de cette loi sont deux parlementaires républicains, le sénateur Jesse Helms et le représentant Dan Burton. L’objectif de cette loi est la chute de Fidel Castro et l’établissement d’un gouvernement démocratique à Cuba.

La section 205 de la loi (Requirement and factors for determining a transaction government) détermine précisément ce qu’est un gouvernement démocratique : par exemple, ce ne peut être qu’un gouvernement qui ne comprend ni Fidel Castro ni Raúl Castro [Source : Wikipedia]

De quel droit disposent les USA et les autres puissances impérialistes pour imposer aux peuples leurs dirigeants et modèles socio politiques ?

La levée inconditionnelle de l’embargo économique contre Cuba par les USA, le respect du choix du peuple cubain de la société socialiste et l’abandon par les USA de son soutien au terrorisme contre l’île, sont des actes sensés et objectifs. Les dirigeants étatsuniens oseraient-ils franchir le pas ? Cuba socialiste a pourtant établit des coopérations mutuellement avantageuses avec de nombreux pays du monde aux systèmes politiques différents et opposés.

La subjectivité déconcertante dont les thuriféraires de l’anti castrisme ou de la restauration du capitalisme à Cuba font preuve, ne pourrait s’expliquer que par une pathologie congénitale.

En effet, comment pourrait-on intellectuellement noircir systématiquement, la situation économique à Cuba sans parler des conséquences des 55 ans d’embargo criminel des USA ?

Comment ignorer les performances du socialisme cubain dans les domaines essentiels à l’être humain (éducation, santé gratuites, travail pour tous...) ?
Pour l’Afrique, souhaitons que la révolution socialiste cubaine, puisse inspirer les masses populaires dans les luttes pour la véritable libération de la domination impérialiste occidentale.

Le petit soldat de l’impérialisme étatsunien Juan Reinaldo Sanchez et ses maîtres occidentaux, ont perdu la bataille anti castriste avec son dernier pamphlet. Les autres articles ou ouvrages qui suivraient, avec cette même campagne haineuse de diffamations anachroniques, seront eux-aussi voués à l’échec.

Le Leader de la révolution, Commandant Fidel CASTRO et Cuba socialiste continuent à résister et vaincront toujours.

Le 27 Juin 2014

Dr LEY-NGARDIGAL Djimadoum
Le Secrétaire Général de ACTUS-prpe
(Action Tchadienne pour l’Unité et le Socialisme-parti révolutionnaire populaire et écologique)
actus_pr@yahoo.com

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