Netanyahu a perdu son molosse Lieberman mais le Président français l’a assuré de son soutien et a reconnu son droit de tuer les enfants et les vieillards terroristes. Le premier ministre israélien l’a remercié chaleureusement. Compte tenu des réactions mitigées, un autre communiqué élyséen suivra pour appeler les parties à la retenue, surtout le Hamas.
Israël a raison de tuer des enfants, victimes collatérales.
Israël a raison de bombarder des civils parce que, parmi les civils se cachent des « terroristes » comme on disait sous le nazisme et sous Pétain.
Bientôt une centaine de morts à Gaza pour une dizaine de blessés en Israël.
Mais un rapport de 1 à 10 pour la puissance occupante risquerait d’être interprété comme un signe de faiblesse. La massacre va donc continuer, encouragé par le passant de l’Elysée.
C’est à Tulle que Monsieur Hollande a été convaincu par l’Histoire des bienfaits d’une répression efficace. La 2ème division SS Das Reich y avait procédé à une centaine de pendaisons de terroristes aux balcons en représailles, comme elle en avait l’habitude face aux terroristes sur le front de l’Est.
Cependant, en Palestine, la mode n’est pas aux pendaisons inesthétiques mais plutôt aux explosions multicolores signalées avec prévenance. « Allo, Ahmad, je vais vous envoyer une belle rouge, à cause de ton cousin du Hamas ! Dépêche-toi de sortir ! Ah ! On a été coupés ! Hi !Hi ! Un peu lent, Ahmad »
L’avantage par rapport aux nazis de Tulle est de punir les familles ou sympathisants de terroristes et Monsieur Netanyahu, ami de Monsieur Hollande, a bien compris qu’Oradour/Sur/Glane surpassait très nettement Tulle en efficacité.
A Gaza, comme à Oradour, on tue tout le monde ! C’est moins compliqué et puis, de toutes façons, ces gens-là sont tous pareils et « si ce n’est toi, c’est donc ton frère », pas vrai ?
Il faudrait quand même que les Palestiniens fassent l’effort de comprendre qu’il n’ont pas le droit de faire ce qu’ils veulent dans le Lebensraum israélien et qu’ils ne sont plus chez eux.
Il ne faut pas jouer avec les allumettes et de jeunes colons juifs l’ont rappelé récemment à un jeune palestinien incinéré vivant. Cet acte n’a pas été condamné par Monsieur Hollande . Peut-être s’agissait-il seulement de prévention du terrorisme.
En 2009, Jean-Moïse Braitberg a écrit au Président de l’ Etat d’Israël :
« ISRAEL...Effacez du Mémorial de YAD VASHEM, les noms des membres de ma famille victimes de la Shoah ! »
Il expliquait sa demande ainsi :
En conservant au Mémorial de Yad Vashem, au coeur de l’Etat juif, le nom de mes proches, votre Etat retient prisonnière ma mémoire familiale derrière les barbelés du sionisme pour en faire l’otage d’une soi-disant autorité morale qui commet chaque jour l’abomination qu’est le déni de justice.
Alors, s’il vous plaît, retirez le nom de mon grand-père du sanctuaire dédié à la cruauté faite aux juifs afin qu’il ne justifie plus celle faite aux Palestiniens.