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Afrique - pillages, massacres et misère : Stop Françafrique.








Les coullise de la misère


Vous avez sans doute entendu parler du génocide sur les Tutsis au Rwanda, de guerres atroces (enfants-soldats au Libéria, congo, ex-Zaïre...) et des dictatures qui secouent le continent africain.

Pourquoi le gouvernement français a-t-il en connaissance de cause, continué de financer les auteurs du généocide du Rwanda ? Comment les responsables politiques français, qui se réclament des droits de l’ Homme, peuvent-ils en arriver à mettre en place ou financer des régimes aussi abominables - Tchad, Congo-Brazzaville, Cameroun, Mauritanie... ?

A qui profite le crime ?

La Françafrique, c’ est une infime minorité de Français qui, aidés au plus haut niveau de l’ état, pillent les richesses des ex-colonies françaises en Afrique, en utilisant l’ argent public et ce au mépris de millions de vies humaines.

C’ est le plus long scandale de la République française.

De nombreux politiciens et partis politiques, des hauts cadres et actionnaires de multinationales françaises ( Elf-TotalFina, Bolloré, Bouygues...) certains militaires, les dictateurs et leur entourage, les marchands d’ armes : en bref, ce sont des réseaux bien organisés qui disposent de nombreux relais dans les médias. Des centaines de milliars détournés en 47 ans.

Découvrez en cliquant sur chaques pays, ce mécanisme synonyme de misère et de mort.

Découvrez comment quelques centaines de personnes s’ enrichissent sur le dos d’ un continent en soutenant un génocide, des guerres, tortures, en organisant le détournement de l’ aide publique au développement.
www.stop-francafrique.com

Ces informations sont en majorité tirées des ouvrages de François-Xavier Verschave : La françafrique, Noir silence, Noir Chirac www.survie-france.org



Revendications du Sommet citoyen France - Afrique pour une politique de la France en Afrique responsable et transparente.

Survie, communiqué, le 13 février 2007.


A l’occasion du 24ème Sommet des Chefs d’État d’Afrique et de France à Cannes les 15 et 16 février 2007, un grand nombre de dictateurs viendront, dans la tradition des sommets franco-africains, s’assurer du soutien de la diplomatie française.

Convaincues que les relations franco-africaines constituent un sujet qui ne saurait se limiter à un rendez-vous diplomatique de ce genre, des organisations françaises organisent un Sommet citoyen France-Afrique du 11 au 16 février, avec notamment un colloque international de deux jours à Paris (12 - 13 fév).

Des sujets souvent occultés mais ô combien cruciaux ont été abordés lors de ce colloque : le soutien de la France aux dictatures, le pillage des ressources naturelles du continent, l’aide au développement dévoyée, les causes politiques et économiques de l’immigration, etc.

Durant ce Colloque, auquel ont participé des personnalités importantes de la société civile africaine, des revendications concrètes ont été élaborées dans le but d’interpeller les partis politiques et les candidats aux élections présidentielle et législatives de 2007 en France. En attendant la publication des actes du colloque, les organisations françaises et africaines du Sommet citoyen France-Afrique demandent d’ores et déjà aux candidats de s’engager, entre autres, à  :

- Reconnaître les aspects négatifs de la colonisation française en Afrique et l’échec des politiques françaises de coopération depuis les indépendances.

- Rendre transparente la politique de la France en Afrique :

Par l’instauration d’un contrôle parlementaire et citoyen de la politique française en Afrique ;

Par l’instauration d’un vote à l’Assemblée nationale pour toute signature d’accords de défense et toute intervention militaire de la France en Afrique ;

Par la publication des accords militaires et de défense liant la France et certains pays africains ;

Par la suppression de la cellule Afrique de l’Elysée, qui agit en toute opacité et en dehors de tout contrôle démocratique, afin de mettre un terme à la politique du "domaine réservé".


Cesser l’ingérence de la France en Afrique et à promouvoir la démocratie :

Par la suppression des bases militaires françaises sur le continent africain ;

Par la suspension des interventions militaires bilatérales de la France en Afrique sans mandat de l’ONU ;

En conditionnant la coopération française au respect de l’État de droit et du principe de la gouvernance démocratique par les États africains ;

En favorisant la supervision des processus électoraux en Afrique par l’ONU ;

En impliquant les organisations des sociétés civiles africaine et française dans l’élaboration de la politique française de coopération.


Instaurer des règles internationales commerciales et économiques transparentes et bénéficiant à toutes les populations africaines :

En demandant à l’Union européenne la suspension des négociations sur les accords de partenariat économique (APE) ;

En obligeant les entreprises françaises opérant en Afrique à respecter les normes environnementales et sociales et à publier ce qu’elles versent aux États africains ;

En améliorant les dispositifs juridiques pour permettre une justiciabilité effective des entreprises françaises pour des actes commis dans les pays où elles opèrent ;


Favoriser les flux financiers en faveur du développement effectif des populations africaines notamment :

Par l’audit et l’annulation de la dette publique des États africains ;

Par la saisie et la restitution des biens mal-acquis et des avoirs détournés par certains dirigeants africains ;

Par une réorientation massive de l’aide publique au développement en faveur d’un accès universel aux services de base et d’un soutien fort aux sociétés civiles dans la construction des Etats de droit.


Mettre un terme aux politiques répressives et sélectives de l’immigration :

Par la remise en cause des visas de court séjour ;

Par la ratification par la France de la Convention des Nations unies sur les droits des travailleurs migrants et des membres de leur famille ;

Par la dépénalisation du séjour irrégulier des migrants.
Les organisations présentes au Sommet Citoyen tiennent à manifester leur soutien à la société civile guinéenne qui lutte tragiquement pour sa dignité, le respect de ses droits et l’instauration d’un régime véritablement démocratique.

- Source : Survie France www.survie-france.org




Matières premières : les États-Unis à nouveau très intéressés par l’Afrique, par Tony Busselen.






COMMENTAIRES  

10/03/2007 11:36 par pilou

J’ai parcouru la fiche consacrée au Gabon, pays où j’ai vécu, et certains affirmations sont fausses, principalement sur la bio d’Albert Bernard Bongo. Il n’a jamais été policier. Il était dans l’armée de l’air. Et je ne crois pas qu’il ait été membre d’un quelconque service de renseignements.

Pour être crédible, il ne faut pas donner de fausses informations !

Ce qui ne m’empêchera pas de continuer de lire les articles de votre site.

11/03/2007 01:16 par Anonyme

Mais mon cher Pilou, vous ne vous étes pas encore apperçu que la majorité des affirmations de Verschave et des membres de Survie relèvent de la manipulation la plus mensongère !

11/03/2007 04:43 par Cyril

Ces deux commentaires relèvent soit d’une innocence coupable, soit, et je pencherai plutôt pour cette hypothèse, d’une banale tentative de décrédibilisation d’un mouvement qui appuie où ça fait mal.
Survie est une association qui à l’origine est un mouvement pour allouer un certain pourcentage de l’aide publique au développement à la lutte contre la famine. Initié par quelques prix nobel, il a débouché, après avoir mobilisé de nombreux maires (une maire de 9000 maires sur Paris a eu lieu), les stars du football et d’autres personnalités, sur une proposition de loi signée par plus de 400 députés de tous bords. Mais ce texte n’a étrangement jamais été inscrit à l’ordre du jour. C’est en essayant de comprendre pourquoi que le combat mené par Survie est né, combat ayant pris une autre ampleur suite au génocide des Tutsi au Rwanda.

Survie a alors mis au jour au fil d’un travail rigoureux d’investigation ce vaste système qu’on appelle la Françafrique, expression, qui faut-il le rappeler, revient à Omar Bongo qui définissait ainsi ce système néocolonial clientéliste : "L’Afrique sans la France, c’est une voiture sans chauffeur. La France sans l’Afrique ; c’est une voiture sans carburant".
La vérité, c’est que L’accès à l’ « indépendance » de l’Afrique francophone n’a pas marqué, loin s’en faut, la décolonisation des esprits au pouvoir. Pour ces derniers, il était inconcevable de lâcher les rênes du pouvoir et de rendre aux peuples africains les ressources dont leurs sols et sous-sols regorgeaient. Alors, sous la pression des mouvements indépendantistes, la « solution » fut de feindre une retraite bienveillante en coupant le cordon officiel tandis qu’à l’ombre de la cellule africaine de l’Elysée, Jacques Foccart assurait la continuité en déléguant le maintien de l’ordre colonial à des potentats adoubés, ces collaborateurs d’un genre nouveau qui plus tard, sous l’oeil attentif du trio Elysée / Etat Major / Elf, sèmeraient la terreur, réprimeraient dans le sang et élimineraient les figures de l’espoir pour verrouiller le pillage des ressources.
Aujourd’hui les avatars de cette politique continuent de nuire tandis que le prêt à penser se limite à l’image d’une France en perte de vitesse dans son précarré. Pour ne pas être dupe, il faut s’informer correctement et, dès lors, accepter cette réalité implacable :

- au Togo, nous portons soutenons une dictature héréditaire de 50 ans ; nous avons d’ailleurs été bien seul à valider l’intronisation du fiston Eyadéma lors de la mascarade électorale d’avril 2005 ;

- au Tchad et en Centrafrique, nos forces armées interviennent dans l’ombre pour nos obligés tortionnaires ;

- à Djibouti, nous couvrons une dictature coupable des pires exactions et très probablement de l’assassinat du juge français Bernard Borrel, affaire dans laquelle on peut à tout le moins s’interroger sur l’attitude de magistrats français n’ayant instruit que la seule thèse du suicide, et ce contre toute évidence ; mais heureusement, la raison d’Etat n’a pas entamé la détermination de la famille du défunt dans sa quête de vérité : plus de 11 ans après les faits, l’instruction du dossier se poursuit et la thèse du suicide est définitivement écartée ;

- au Rwanda, les sommets de l’horreur ont été atteint par notre soutien sans faille au gouvernement génocidaire ; un très grand nombre de preuves et de témoignages issus de sources très diversifiées dresse un constat accablant des complicités de l’Etat français avant, pendant et après le génocide des Tutsi : formation militaire, appui logistique, fourniture d’armes violant l’embargo de l’ONU intervenu en mai 1994, participation aux contrôles « ethniques » aux barrages (arrestation des Tutsi remis directement sur place aux miliciens Interhamwe), exfiltration turquoise des génocidaires vers l’ex-Zaïre, etc. L’examen, constitutionnellement prévu et précipité par quelques révélations, de la responsabilité du gouvernement devant le Parlement fut un exercice périlleux où il fallut esquiver la constitution d’une commission d’enquête (instrument trop efficace), s’est trouvée contrainte de refouler les véritables questions en annexe et de ne pas

Je n’entrerai pas plus dans les détails ici, le bilan est très lourd. On pourrait évoquer le Cameroun, l’Algérie, la Côte d’Ivoire, la Centrafrique, le Biafra... Je laisse le soin aux citoyens de s’informer eux-mêmes par les chemins non balisés...

On peut tout de même ajouter aux ouvrages cités le livre "Noir Procès" qui correspond aux minutes du procès intenté par les 3 dictateurs Omar Bongo (Gabon), Idriss Déby (Tchad) et Denis Sassou N’Guesso (Congo Brazzaville) à l’auteur et à son éditeur pour "offense à chef d’Etat étranger", un chef d’inculpation datant du 19ème siècle. Et bien ce procès s’est retourné contre eux puisqu’il fut l’occasion de faire témoigner une multitude de personnes (malgré les risques encourus pour certains Africains) étayant les thèses de l’ouvrage. Verdict : le juge a reconnu le sérieux des investigations et relaxé les 2 prévenus. Des députés comme Noel Mamère était venu leur apporter leur soutien. Les intouchables se sont biensûr gardés d’attaquer ces ouvrages. Toutefois Charles Pasqua a attaqué Noir Silence car FXV lui attribuait le rapprochement et le réchauffement des relations avec le régime tortionnaire soudanais contre la livraison du terroriste Carlos (ce qui lui permettait de revenir dans le jeu de la communauté internationale). Et bien il reçut 1 Fr de dommages et intérêts car il ressortait des faits qu’ils devaient être attribués au gouvernement français dans son ensemble.

Bref, je ne renchérirai pas sur ces arguments ridiculement insignifiants de patriotes béats ou d’intéressés cyniques. Je concède toutefois que les médias n’aident pas trop à y voir clair dans le précarré français...

Et pour finir, je n’apprécie pas le Grand Soir sur ce coup qui d’abord m’accorde de publier mes envois (voir article sur les matières premières et les Etats-Unis d’il y a qq jours) et qui choisit finalement de publier mon un morceau pioché on ne sait où. Entre un article d’Odile Tobner , admirablement écrit, sur l’intervention récente de l’armée française en Centrafrique et un article on ne peut plus général et truffé de fautes d’orthographe, le choix s’est porté sur le second. Un fait étrange qui ressemble à une perche tendue...

11/03/2007 19:59 par Anonyme

- Le "morceau pioché on ne sait où" vient d’ ici www.stop-francafrique.com ( introduction, sur la droite)

- Avant de publier l’article d’Odile Tobner ils nous a semblé utile d’ abord, de commencer par le commencement : introduire la Françafrique. Tout les lecteurs du Grand Soir ne sont pas forcément au courant.

- Et pour la "perche tendue...", libre à vous de penser ce que vous voulez...

Rédaction LGS

12/03/2007 10:53 par Anonyme

Je m’excuse, il n’était sûrement pas dans vos intentions de participer à la décrédibilisation de Survie. Mais le paragraphe choisi pour résumer la Françafrique, à mon avis un peu trop réducteur (il n’est pas facile de résumer un système de façon si courte), peut facilement apparaître caricatural pour certains. Alors les 2 commentares qui ont suivi m’ont un peu énervé...
J’ajoute que le site stop-françafrique est le site personnel d’un adhérent de Survie qui peut comme tout le monde (pour répondre aux détracteurs) se tromper (quoi que je n’ai pas vérifié les soi disantes erreurs).

Cyril

08/04/2007 16:37 par Pilou

Mais mon brave monsieur, il me semble que j’ai écrit que je connaissais le Gabon tout simplement parce que j’y ai vécu une quarantaine d’années !

Je sais donc pertinemment que c’est loin d’être une démocratie. Que le chef d’état est sur le trône depuis 1968 et qu’il a en partie pillé le pays, partageant avec d’autres. Mais à la différence avec d’autres pays, il a eu "l’intelligence" de partager avec des représentants d’autres ethnies pour garder l’unité du pays.

Ma critique portait, non sur le texte proprement dit, mais sur l’infographie par pays. Et je maintiens que pour avoir une certaine crédibilité, il faut éviter les erreurs.

18/05/2007 15:04 par Ketchateng

C’est un mensonge de prétendre que Bongo au Gabon (comme Biya au Cameroun) a eu l’intelligence de maintenir l’unité nationale en partageant les richesses du pays entre les ethnies.

C’est bien entre élites que les richesses-miettes (puisque l’esentiel est emporté par les multinationales françaises notamment) sont réparties au Gabon, au Cameroun, en Rca, au Congo Brazza et ailleurs en terre maudite françafricaine.
C’est également une marque de racisme de penser que les ethnies sont un problème principal chez les Africains. Elles coexistaient bien avant la colonisation et les nouveaux Etats.

C’est l’opposition organisée des ethnies, par des régimes fantoches et corrompus, qui crée des problèmes. Ce serait pareil en France si on se mettait à recruter des alsaciens pour mater les terroristes corses.

10/08/2007 22:16 par pilou

J’ai écrit "des représentants de chaque ethnie."

Ce qui signifie que Bongo a associé à son pouvoir des membres de chaque ethnie (Fang, Myene, Pounou, Kota, Teke, Djabi, ...)

09/09/2007 19:12 par Ketchateng

Combien faut-il de membres associés de mon ethnie au pouvoir, pour que j’aie droit, comme tous les citoyens du monde, à l’éducation, aux soins de santé, au travail sain et justement rémunéré ? Assurément, la question ethnique n’est qu’un cache-sexe pour les bandits qui pillent les peuples africains.

Bongo aurait-il associé chacune des ethnies gabonaises à "Son pouvoir", que cela n’aurait rien changé. Une fois associé, le supposé représentant du village, se remplit la panse, même au détriment des projets de développement de sa région.

Une fois de plus, cessez de poser le problème ethnique qui empêcherait le progrès démocratique. C’est l’instrumentalisation des ethnies et non l’existence des ethnies elle-même qui est le problème.
Ps : Je vous invite à visiter la région natale de Paul Biya au Cameroun. Vous me direz si elle est mieux lotie que le pays bamiléké dont je suis originaire et qui est réputé (faussement) être victime de l’ostracisme du pouvoir.

15/03/2008 21:54 par THEOPHILE OBAKER

Très surpris de savoir que l’oeuvre du très regreté François-Xavier V. laisse encore jusqu’à nos jours certaines personnes indifférentes à la lutte d’émancipation,de prise de conscience des peuples opprimés par l’autre sous un falaçieux prétexte de Civilisation.C’est en quelque sorte nier que le nez est situé au dessus de la bouche.Il n’y a pas de demagogie ni même de manipulation comme ç’a été pretendu,c’est la pure verité.Il faut s’en accommoder,c’est une question d’humulité intellectuelle.

13/03/2007 16:35 par claude

Ce n’est pas ce que disent les Africains qui venaient écouter les conférences de F.X. Verschave mais c’est tellement plus confortable de nier tout la politique néfaste que nous avons eu et continuons d’avoir
en Afrique.
Si nous n’avions pas agi ainsi ce continent ne serait pas dans les difficultés terribles actuelles.

03/07/2007 19:08 par THEOPHILE OBAKER

Il est indéniable que l’association Survie nous a permis de prendre conscience de tous les méfaits des rélations francoafricaines.Une inadéquation entre les rapports officiels carricaturés par la courtoisie avec un langage diplomatique soutenu dont les réalités conséquentes sont infines face au desastre causé par les rapports contractuels officieux qui élitisent une classe par rapport à une communauté.
-La LIBERTE d’aliéner toute un population pauvre,asservie,inoffensive.
-La FRATERNITE de consentir à la dechéance d’une foule de desoeuvrés.
-L’EGALITE de tous par l’incorporation ségrégative des élites africaines dans l’esotérisme métropolitain,fidélisant ainsi leur sulbaternisation.
VOILA LA FRANCE DANS SES RAPPORTS AVEC L’AFRIQUE.Le pays des DROITS DE L’HOMME.

J’ai du respect pour les rapports communautaires entre société favorisant ainsi la mise en valeur de ce que l’homme à de plus fort en lui:le respect de l’autre et la survie de l’espèce humaine.Voilà ce que la citoyennété nous oblige dans cette mondialisation qui fait de notre planète un VILLAGE.

07/07/2007 10:14 par zilikana

La france devait arreter la philosophie des humans tutsi,plan nilotique qui n’est autre que de se considerer comme une élite de classe crée pour réigner sur les Bantouts ,éhtinie majoritairement autoctonne de l’afrique centrale , ;Monsieur Théophile ,Imaginer vous le pouvoir à Kampala : Museveni ;un Tutsi, ;KIgali : Kagame ,un tutsi ; Kinshasa :Kabarebe un Tutsi ;Burundi:un presiden Tutsi ;
Cameroon ,Tchad,Cote d’Ivoire ,Angola Namibie ; et le combat continue ,Les Tutsi Rwandais sont encandrés et guidés par le pays fort que tu n’ose pas citer !Après tout le Rwande ne fabrique pas les armes et pour mener la victoire il utulise les satelitte pour guider les militaires les muits et repeler les adversaires et cela par un grand pays !
Le plobleme pour la France c’est ils sont tellement peuréux ils étaientle seul pays de dire à leur ami pays d’occident d’arreter mais ils ne veulent pas se meuler !

28/10/2007 18:44 par THEOPHILE OBAKER

Mon cher ZILIKANA,je n’est pas peur de citer la FRANCE qui a fait beaucoup de degats en AFRIQUE.Si je prend le cas du CAMEROUN,elle s’est arrangée à se reserver la main mise sur les filiaires de pointe telles que la cotonnerie,l’eau,la chocolaterie,le transport etc...Ne pas citer la FRANCE comme tel s’est manquer du respect à sa propre intélligence,au bon sens et surtout avoir une myopie intellectuelle ;ce qui n’est pas utile à l’AFRIQUEd’aujourd’hui.

16/03/2007 12:09 par Aram

Il est totalement faux d’attribuer l’assassinat des intellectuels et autres journalistes algériens au groupuscule de généraux qui ont fait main basse sur le pays depuis des lustres. Certes, la rumeur publique, amplifiée par certaines déclarations d’anciens officiers et corroborée par le laisser-faire qui a toujours accompagné le massacre de populations entières, accrédite la thèse incriminant l’armée dans ce massacre crapuleux, mais on ne saurait en tirer une généralité. Le plus grand nombre d’attentats commis contre les populations ou les individus reste bien le fait des terroristes islamistes, dont chacun sait, en Algérie, la volonté de sacrifier, au besoin, la moitié du peuple pour parvenir à leurs objectifs.

01/10/2008 20:44 par yohanna

je suis une négresse,martinikaise et kan je vois des enfants africain maigrent ça me fait mal,ça ne me fait pas rire comme certaines personnes ki se moquent,franchement ça me rend triste.Il y a des kestions ke je me pose :
Pourkoi les Européens ne les aident pas ?
Est-ce-ke ça les touche pas le coeur de voir un enfant dans la misère ?
Moi,personnellement si j’étais Présidente de la république,j’aurai aimé aider les africains pour k’ils vivent bien.

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