22 avril 2009
La Russie, obsession bello-militariste des Etats-Unis.
Camille Loty MALEBRANCHE
J’aurais pu appeler Obama "le guerrier à la gueule douce". Le combattant lâche qui crie avoir jeté le hoyau de guerre mais garde une pique cachée sous sa chemise pour mieux tenailler l’ennemi imprudent qui se laisserait avoir par les manigances pacifistes en plein champ de bataille. Car tout en évitant les proférations de son prédécesseurs qui, grossièrement, grotesquement avec la gouaille du cow boy crachait sa haine, le nouveau président de l’empire étasunien en décomposition, joue au (…)











