Introduction : "Dans ce vrai travail de journaliste d’investigation j’ai pu remarquer une chose, à savoir la défiance de Adrian Onciu face à sa compatriote, la procureure européenne Laura Codruta Kovesi (LCK) ; en même temps il ne pouvait pas aussi expliquer qui est cette Dame, ce n’était pas l’objet de son investigation, donc voici un peu son "pedigree".
Elle est la fille d’un procureur époque Ceausescu, nommé Lascu et qui était basé à Medias, et très ami avec son homologue Augustin Lazar, basé à Alba Iulia où se trouve la Cour d’Appel. Augustin Lazar était en charge du contrôle des détenus politiques de la prison de Aiud ; quand ce rappel est sorti dans la presse, il y a 2 ans il a pris sa retraite anticipée ...
Après 1989 ces procureurs "communistes" sont tous devenus anticommunistes et sont resté procureurs, comme également Monica Macovei, très proche de LCK.
Le hasard a probablement fait que Augustin Lazar, devenu Procureur Général de la Roumanie, s’est retrouvé avec LCK comme chargée du Département National Anticorruption, lieu où elle a fait "des flammes", notamment en obtenant le classement sans suite de deux énormes dossiers de « pots-de-vin » dans lesquels il était question de EADS et Microsoft ... De là à penser que le retrait des candidats français et allemand à ce poste européen ait été lié à cet "excellent travail" de sa part, et que ce n’est vraiment pas un hasard si elle a été "choisie" ..." (G.L.)
Voici la traduction en français de l’enquête menée par Adrian Onciu
ENQUÊTE CENSURÉE EN ROUMANIE ET DANS L’UNION EUROPÉENNE
EXCLUSIF / EXPLOSIF /
Les conjoints Ursula et Heiko von der Leyen font l’objet d’un chantage au sein d’un accord Pfizer de 36 milliards de dollars
par Adrian Onciu, Roumanie, https://www.facebook.com/adrian.onciu.official/
Premier épisode / Comment le mari d’Ursula von der Leyen est devenu le pion principal dans l’affaire Pfizer de 36 mld $
Même si le Parquet européen ne se saisit pas, pour diverses raisons faciles à deviner, nous continuons à présenter des informations vraiment choquantes de la promiscuité dans l’affaire Pfizer-Ursula. Ce sont des informations officielles et vérifiées. Pas des histoires à dormir debout.
Les résultats de la présente enquête sont vraiment explosifs. Ils montrent sans équivoque la combinaison putride entre de hauts responsables politiques de l’UE et la mafia Big Pharma. Et tout cela en pleine pandémie. Ils se sont moqués de la vie, de la santé et des libertés des centaines de millions de personnes terrorisées par un système de propagande mensongère. Ils nous ont mis des milliards de vaccins autour du cou (bien au-delà de ce dont nous aurions besoin), juste dans une quête désespérée du profit.
Le gros lot est d’environ 36 milliards de dollars. Soit 1,8 milliard de doses de vaccin Pfizer, négociées par le chef de la Commission européenne avec le patron de l’entreprise pharmaceutique, Albert Bourla. Négociées de manière totalement opaque, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Vous pouvez également les retrouver sur le site de l’agence Mediafax, pourvu qu’il n’y au pas de "défaillances techniques".
Je présenterai brièvement l’histoire dans cette première partie, en m’aidant moins de chiffres, mais avec suffisamment de références et de noms de protagonistes, comme il en ressort des preuves directes et indirectes réunies. C’est le devoir du procureur en chef Kovesi maintenant de mener l’enquête. Vérifier les comptes bancaires, la circulation de l’argent entre les entreprises, demander l’aide du FBI à New York et à Bruxelles, punir les coupables. Comme elle l’a fait en Roumanie avec tant de politiciens de premier plan. Du moins faut-il qu’elle ait la volonté nécessaire.
Je précise que la société Pfizer n’en est pas à son premier délit. Elle a beaucoup de dossiers, certains pénaux. Aucun coupable pour le moment. Les procureurs américains l’ont mise en observation, mais ne sont pas allés plus loin. Ils n’ont pas même puni les cadres impliqués.
La clé de la négociation de l’accord de 36 milliards de dollars est le mari d’Ursula von der Leyen. Jusqu’au début de la pandémie, et même bien après, personne n’avait entendu parler du Dr Heiko von der Leyen. Époux de la Première Dame de Bruxelles. En d’autres termes, le mari de la cheffe du gouvernement européen.
La famille der Leyen vit près de Hanovre (Allemagne) depuis 2007, sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils ont sept enfants et un petit-fils.
Et maintenant, souvenons-nous. La pandémie a commencé en Roumanie en mars 2020. Quelques mois plus tard, en décembre 2020, un médecin allemand relativement inconnu, chef d’une clinique à Hanovre, atterrit directement au conseil d’administration d’une très puissante entreprise Big Pharma aux États-Unis. Et non, il ne s’agit pas de Pfizer. Cela aurait été trop simple. Trop frappant. Dr Heiko a été transféré à l’étranger, "dans l’intérêt du service", dans une société pharmaceutique spécialisée (depuis de nombreuses années) dans la technologie bien connue de l’ARNm. C’est Orgenesis Inc. À l’époque, les spécialistes d’Orgenesis menaient des expériences pour traiter les cancers. Mais une énorme opportunité s’est présentée : la pandémie ! Ainsi, les bons gars de Pfizer ont immédiatement flairé la méga-affaire mondiale. D’ailleurs, ils avaient de l’expérience !
Le lien entre les deux sociétés américaines, Pfizer et Orgenesis, est évident. Leur actionnariat important comprend les mêmes fonds communs de placement, selon la Bourse de New York. Je détaillerai plus avant. On ne sait toujours pas si l’actionnariat a changé avec l’arrivée intempestive de Heiko von der Leyen d’Allemagne (pour des négociations ?) ou s’il en a toujours été ainsi. Nous allons le découvrir.
Ce qui est certain, c’est que le mari d’Ursula fait tâche dans le conseil d’administration de la société Orgenesis. Presque rien dans son CV ne le recommande pour le poste élevé de "Directeur Médical". C’est l’un des cadres payé au moins 1 million de dollars par an. Et la coïncidence a été étonnante. Pourquoi Heiko a atterri à la direction d’Orgenesis en décembre 2020, c’est une question dont la réponse révèle le mystère de toute l’affaire. Il est à noter que le premier vaccin en Roumanie a été administré le même mois, à une infirmière.
La suite s’est déroulée à toute allure. Au printemps 2021, immédiatement après l’arrivée d’Heiko à Orgenesis, d’intenses négociations politiques ont eu lieu. Sa femme a échangé des SMS et des appels téléphoniques tant avec le chef de Pfizer qu’avec son mari, qui se trouvait à proximité immédiate des gens de Pfizer (pratiquement à quelques maisons de distance). Autrement dit, un médecin très généreusement payé par la société Orgenesis (étroitement liée à Pfizer, comme nous allons le voir). J’ai écrit dans des commentaires précédents sur Mediafax que les messages et les appels de Mme Ursula ont ensuite soudainement disparu de son téléphone, à la stupéfaction de l’Ombudsman Emily O’Reilly (une sorte d’avocate du peuple, mais au niveau de l’Union européenne). En fait, ce n’était pas la première fois ces dernières années qu’Ursula von der Leyen effaçait ses traces du téléphone à la façon de Harry Potter et même plus.
Le 8 mai 2021 a eu lieu la grande annonce. Les Européens ont poussé un soupir de soulagement. Ursula von der Leyen a signé le marché avec les patrons de Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin. Le prix de la dose n’a pas été annoncé, cela n’avait pas de sens d’avoir autant de transparence. Surtout quand un dollar en plus ou en moins signifie un total de 1,8 milliard de dollars en plus ou en moins. De l’argent sorti de nos poches, les Roumains, les Bulgares et les Hongrois. Vaccinés et non vaccinés, cela n’avait aucune importance. En l’absence de chiffres officiels, le business est estimé à environ 36 milliards de dollars, soit environ 20 dollars la dose.
Comme la transparence était "au maximum", à partir de là commencent les preuves indirectes. Basées, bien sûr, sur des faits. Selon les chiffres et informations officiels, autant que nous ayons pu en recueillir jusqu’à présent, et en l’absence de toute initiative de "l’héroïne anti-corruption", la procureure générale Laura Codruța Kovesi.
À 38 milliards de dollars, tout contrat commercial de ce type comporte des « commissions de performance ». Pour les dirigeants de la Roumanie, parce que les montants sont très faibles, on parle de 10 à 15 pour cent ; à Bruxelles nous sommes sur de petits pourcentages, mais pour des sommes très importantes. Même si le profit est énorme. C’était même difficile pour moi aussi d’écrire à l’ordinateur ce que signifient 2 % des 38 milliards. Cela signifie une « commission de performance » fixe de 760 millions de dollars !
Maintenant, si vous demandiez rapidement à SOV, père du FNI (Sorin Ovidiu Vântu, fondateur d’une méga-escroquerie financière d’un fonds de placement roumain – le FNI - basé sur une Pyramide de Ponzi, à l’aube de l’an 2000 N.Trad), il vous dirait que le montant (ou même le double, car il y avait de la place pour plus) a été transféré rapidement et magnifiquement, avec élégance, du bénéfice de Pfizer à la société liée Orgenesis. Sous forme de "primes de performance" pour le mari de la dame.
C’est-à-dire, le directeur médical à peine venu sur place pour des négociations. Le respectable M. Heiko von der Leyen, descendant de noble souche allemande. Mais ce n’est que si la procureure Kovesi pouvait vérifier certains comptes, en collaboration avec le FBI et les procureurs américains et européens. Et si, bien sûr, l’ancienne responsable de la DNA roumaine a encore un peu de son aura d’incorruptible qui l’a rapidement propulsée à Bruxelles, près d’Ursula von der Leyen.
Je lui propose de mettre l’ensemble du dossier à sa disposition. En clair, des informations officielles recueillies auprès de sources fiables. Et des relations, si elle n’a pas assez d’employés. Gratuitement, uniquement avec des frais de remboursement pour DHL. Avec des données vérifiées, pas de fausses nouvelles pandémiques, promues par je ne sais quels sites obscurs.
Parce que la lecture d’un fichier aussi épais peut dérouter les lecteurs, j’ai décidé de le présenter dans un feuilleton. Maintenant, j’ai donné l’histoire générale, le fil de l’action. Je reviendrai avec des précisions : noms, sociétés, actionnaires significatifs, CV, liens directs et indirects. Mme Kovesi sait où me trouver. Dans la ville provinciale de Iași, quelque part dans le nord-est de la Roumanie. Proche des Russes, comme diraient les hashtags. J’espère qu’elle prendra une courte pause dans sa course aux trafiquants de voitures bulgares et s’occupera de questions plus sérieuses. La vraie corruption au niveau européen.
Vous allez découvrir un entrelacement scandaleux dans les prochains jours. Car les politiciens, main dans la main avec Big Pharma, ont profité sans scrupules de la pandémie pour s’enrichir sur le dos et les poches des Européens. Sur nos vies et notre santé. J’y reviendrai.
......
Partie II
L’ENQUÊTE. Suite. Épisode 2
Comment le mari d’Ursula von der Leyen est devenu le principal pion des affaires de 36 milliards de dollars de Pfizer.
Comme je l’ai promis dans la première partie de l’enquête, je reviens avec des données beaucoup plus concrètes sur les soupçons de corruption dans l’affaire Pfizer-Ursula.
Mes commentaires des deux dernières années ressemblent trop peu au texte d’aujourd’hui. Il y aura de nombreux chiffres, des noms de sociétés, personnages et connexions possibles. Ce sera donc plus difficile à suivre pour un grand public. Mais je vais essayer de les synthétiser et de les présenter sous une forme assez digeste. Comme un récit, plutôt que comme une enquête journalistique au sens classique du terme.
Ce n’est pas mon travail de vérifier les comptes, d’écouter les téléphones et de chercher des billets d’avion. Mais le Parquet européen pourrait le faire. Si, bien sûr, il pense que cela en vaut la peine.
Commençons systématiquement. Présentons d’abord les protagonistes. Ce sont les époux Ursula et Heikovon der Leyen. Comme je l’ai dit dans le premier épisode, les deux vivent, depuis 2007, près de Hanovre (Allemagne), sur la propriété qu’Heiko a héritée de ses parents. Ils se marient en 1986. Ils ont sept enfants et un petit-fils (nous continuerons de les appeler par leur prénom, pour faciliter la lecture).
Ursula a étudié la médecine à l’Université de Hanovre et, en 1991, elle y a obtenu son doctorat (où, comme nous le verrons, son mari était professeur). Des accusations de plagiat sont apparues relativement récemment dans la presse allemande. Les journalistes ont découvert que 43,5% de la thèse de doctorat d’Ursula était copiée. L’université a conclu que, bien que la thèse ait contenu du plagiat, aucune intention de tromper ne pouvait être prouvée. C’est-à-dire que la cheffe de la Commission européenne a volé, mais pas intentionnellement. Elle ne s’en est pas rendu compte tout simplement. Nous ne connaissons que trop bien ce style. On l’a excusée selon le modèle breveté et vérifié à l’Académie Nationale de Renseignements (A.N.I.) de Roumanie.
Les époux Ursula et Heiko sont des politiciens, mais ce dernier n’a aucun poste dans un parti. Ils sont collègues de l’ex-chancelière Angela Merkel au sein de la CDU (Union chrétienne-démocrate).
Lorsqu’elle était ministre de la Défense (dans les gouvernements III et IV dirigés par Angela Merkel), Ursula était connue pour la générosité avec laquelle elle proposait des contrats payés avec l’argent public. Il s’agissait de contrats qui dépassaient au total 700 millions d’euros. À cette époque, une commission parlementaire a tenté d’enquêter sur les allégations de mauvaise gestion, mais l’affaire a été étouffée. Pas de surprise, d’ailleurs. Au cours de l’enquête, a fuité l’information selon laquelle Ursula aurait supprimé des données de son téléphone portable.
Exactement avec le même schéma délictueux, l’actuelle cheffe de la Commission européenne aurait supprimé ses données du téléphone (sms, e-mails, historique des appels) après les négociations avec Pfizer, dans le dossier estimé à 36 milliards de dollars. Je reviendrai à ce sujet.
Parlons un peu de son partenaire de vie, Heiko. Issu de noble souche, Heiko est jusqu’à présent resté dans l’ombre. Si nous demandions à SOV, il nous dirait probablement que des deux époux, Heiko est "l’éminence grise" de la famille der Leyen. Par conséquent, il a négocié le contrat avec Pfizer. Malheureusement, nous ne sommes pas en mesure de demander l’avis à SOV.
Heiko a l’air d’un type très studieux. Il a étudié la pharmacologie, la médecine interne et la cardiologie à l’Université de Hambourg, à la Faculté de médecine de Hanovre (MHH) et à l’Université de Stanford, aux États-Unis. Il a ensuite continué à travailler dans la recherche à Stanford, en se concentrant sur la "thérapie génique cardiovasculaire". Parallèlement, il était directeur général d’ArtissGmbH à Hanovre, une société fondée en 2001. Artiss, en coopération avec l’Université de médecine de Hanovre (MHH), a développé de nouvelles valves mitrales biologiques du cœur, basées sur ses propres cellules. En 2005, l’Université de Hanovre et Hannoverimpuls ont créé le Hannover Clinical Trial Center GmbH (HCTC) en tant que fournisseur de services d’essais cliniques. Une entreprise publique, pas privée. Rien de spectaculaire à première vue.
Avant d’être intégré directement au conseil d’administration de la société américaine Orgenesis, Heiko a enseigné la « médecine interne » à l’université de Hanovre et a été directeur général de la firme HCTC. On peut supposer qu’il avait un gain mensuel estimé, grosso modo, à 20-30 mille euros (disons, un maximum de 360 mille par an). Bien sûr, à moins que le HCTC ne fasse de la contrebande des armes ou bien qu’elle ne fasse de la contrebande de Viagra ou de drogue.
Selon les informations officielles, la firme HCTC s’occupe des essais cliniques pour toutes sortes de médicaments, vraisemblablement des vaccins, et les contrats sont négociés en Allemagne par KKS (facilement à trouver même par Mme Kovesi). Les dernières années, avant d’être promu du jour au lendemain, "dans l’intérêt du service", directement au conseil d’administration d’Orgenesis, on peut supposer qu’Heiko était déjà sous contrat avec la société américaine. Mais seuls les enquêteurs peuvent l’établir avec certitude.
L’hypothèse vient du fait qu’Heiko avait aussi le titre de "consultant scientifique" auprès d’Orgenesis. On ne sait pas s’il était rémunéré ou si c’était seulement une prestation sans honoraire. Alors pourquoi ne pas avoir contribué directement et de son mieux, au bien-être des Américains d’Orgenesis ?
La clinique HCTC, dirigée jusqu’à récemment par Heiko, mène des essais cliniques dans les principaux domaines de recherche de l’Université de Hanovre : 1) Infection et immunité ; 2) Transplantation et régénération ; 3) Génie biomédical et implants ; 4) Oncologie. Coïncidence ou non, comme nous le verrons ci-dessous, les Américains d’Orgenesis étudient depuis de nombreuses années la technologie bien connue des ARNm (utilisée dans les vaccins anti-Covid). Jusqu’au déclenchement de la pandémie, Orgenesis était profondément impliqué dans l’utilisation de la technologie de l’ARNm pour traiter les cancers.
Il est à présumer qu’il existait également des relations contractuelles (naturelles) entre Orgenesis et HCTC, à travers la société KKS. Les Américains auraient pu payer pour des essais cliniques pour voir comment les patients cancéreux réagissent à leur nouvelle technologie. C’est le fameux ARNm. Une simple vérification du procureur Kovesi clarifierait les choses sur le coup.
Le tournant s’en est suivi. En mars 2020, la pandémie a officiellement éclaté. Heiko vivait à Hanovre, en Allemagne, avec sa femme et ses sept enfants. Il était encore "consultant scientifique" à Orgenesis. Probablement il était fournisseur de services pour les essais cliniques. On peut supposer qu’il recevait plusieurs milliers d’euros par mois de la collaboration avec Orgenesis.
A l’échelle mondiale, à l’initiative de l’OMS, le problème de trouver un vaccin anti-COVID s’est posé. Il y avait une urgence majeure de santé publique. Nous savons comment les choses se sont passées. Quel rôle les médias ont joué, ainsi que les politiciens et les spécialistes dévoués.
La société américaine Pfizer, l’une des sociétés Big Pharma célèbre, entre autres, pour de multiples scandales de nature pénale, a immédiatement flairé l’énorme opportunité. Par conséquent, elle a appuyé sur l’accélérateur. Elle cherchait des partenaires pour développer le vaccin ultra-rapide. Et quel autre meilleur partenaire aurait-il pu y avoir qu’Orgenesis ? Entreprise spécialisée (depuis des années) dans la technologie ARNm dédiée à l’oncologie. D’autant plus que Heiko, l’époux de la présidente de la Commission européenne, était déjà "consultant scientifique". Donc un bon collaborateur. De plus, Orgenesis avait la capacité (via le HCTC) de réaliser rapidement des tests vaccinaux préliminaires, en vue d’une approbation par l’Agence européenne du médicament. En cas d’urgence, évidemment.
On ne sait toujours pas exactement comment Orgenesis, Pfizer et BioNtech ont partagé leurs tâches dans la réalisation du projet. Ce qui est sûr, c’est que les Allemands de BioNtech disposaient de grandes capacités de production en Europe. En tant que simple spéculation, il a peut-être été important que BioNTech provienne d’Allemagne. Et Pfizer l’a cooptée dans ce projet, notamment pour avoir un soutien politique dans les négociations ultérieures avec l’Union européenne (alias Merkel et Ursula). Mais, je le répète, c’est une simple spéculation. A prendre avec des gants !
Voyons maintenant qui en sont les spécialistes. Les Américains d’Orgenesis. La société a vu le jour en 2008 grâce à un financement de Governance Dynamics Venture Capital (GD). Elle était à l’origine basée à Tel Aviv, car la fondatrice Sarah Ferber (66 ans) est née en Israël. Le principal actionnaire de GD est un fonds d’investissement américano-israélien, créé en 2000, basé à New York, avec Alex Mashinsky comme président. Mme Ferber semble être le cerveau d’Orgenesis. Un chercheur classique. Une personne aux études et au travail intense en laboratoire. La personne possédant la technologie de l’ARNm. Son curriculum vitae comprend une licence et un doctorat de l’Israel Institute of Technology, une licence du South westernMedical Center de l’Université du Texas et un doctorat de la Harvard Medical School. Elle est actuellement membre du Conseil d’Administration d’Orgenesis, poste intitulé « Chief Scientific Officer ». Elle gagne un salaire annuel compris entre 1,5 million de dollars et 2 millions de dollars (enregistrant probablement une augmentation significative avec la pandémie).
Depuis août 2014, l’actuel PDG d’Orgenesis, est Vered Caplan. Son dernier emploi était Biotech Investment Corp. (simple ressemblance avec BioNTech, pas de lien !). Entreprise spécialisée, quelle coïncidence, toujours dans les essais cliniques de certains médicaments. Vered Caplan a également étudié en Israël, tout comme la fondatrice Sarah. Son dernier salaire annuel était de 1,6 million de dollars. Peut-être en forte augmentation après l’arrivée de Heiko von der Leyen au conseil d’administration de l’entreprise.
Il existe de nombreux points communs entre Orgenesis et Pfizer. Certains liés à Israël. Et aussi à la rapidité avec laquelle les Israéliens ont été vaccinés. Mais les plus visibles sont les actionnaires communs importants d’Orgenesis et de Pfizer. Selon la Bourse de New York, ils seraient les suivants :
Orgenesis
The Vanguard Group, Inc. 3,77%
SSgAFunds Management, Inc. 0,34%
Geode Capital Management LLC 0,81%
Total – 4.92%
Pfizer
The Vanguard Group, Inc. 7,78%
SSgAFunds Management, Inc. 4,97%
Geode Capital Management LLC 1,78%
Total – 14.53%
Donc, si l’on se réfère aux investisseurs, les deux méga-entreprises américaines y sont liées. Les liens entre les membres du conseil d’administration des entreprises n’ont pas encore pu être vérifiés. Trop peu de temps, trop peu de ressources. Peut-être que le Parquet européen, le FBI et la justice américaine pourraient nous aider. Même si je ne parierais pas trop là-dessus. Qui aurait à y gagner, après tout ?
Le fonds d’investissement Vanguard se fait remarquer. Depuis mars 2021, Vanguard détient la plupart des actions d’un autre fonds géant, BlackRock. Les deux grands groupes financiers contrôlent presque tout à l’échelle mondiale. Fondamentalement, ils ont Big Pharma dans leur poche. En février 2020, ils figuraient parmi les plus gros actionnaires du géant GlaxoSmithKline (GSK), respectivement 7 % et 3,5 % du total. Il est presque impossible de trouver tous les propriétaires d’actions du fonds Vanguard. Mais quelques noms se démarquent, selon des sources boursières officielles : Rothschild Investment Corp., Edmond De Rothschild Holding, diverses familles comme Orsini en Italie, Bush aux États-Unis, du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller. Y compris la famille royale britannique. Les deux fonds d’investissement mentionnés détiennent environ 90 % des institutions médiatiques aux États-Unis.
Et maintenant, revenons à l’histoire. En mars 2020, la pandémie a démarré en trombe. Avec des TAB dans la rue, même si en Roumanie les hôpitaux étaient vides. Ou tout au plus pleins d’asymptomatiques. Pfizer a signé avec Orgenesis la partie des tests scientifiques et cliniques, a breveté le projet d’ARNm avec les Allemands de BioNTech (très bons du côté de la production également), puis a mis les produits en vente. Demande énorme, fournisseur unique, urgence maximale. Personne n’a été surpris par le prix de 15 à 18 euros la dose, lorsque des personnes sont tombées dans la rue, tuées par le virus invisible. A partir de là se pose le problème du profit maximal, comme pour toute méga-entreprise : comment gagner beaucoup d’argent avec un minimum d’effort ?
Une des solutions semble avoir été de coopter Heiko van der Leyen au conseil d’administration d’Oregensis (étroitement lié à Pfizer côté test, comme on l’a vu). L’événement clé s’est produit en décembre 2020, à peine 8 mois après le début de la pandémie. Et quelques mois avant que sa femme Ursula ne signe un contrat de 36 milliards de dollars avec Pfizer. Mais jusqu’au méga-contrat et autres « primes de performance », nous avons tous assisté à un bond spectaculaire du salaire de base d’environ 300 000 dollars par an (en Allemagne) à plus de 1,5 million de dollars (chez Orgenesis). Je précise : uniquement le salaire en tant que membre du conseil d’administration. Sans les autres bonus.
Sa femme Ursula a été probablement très heureuse d’apprendre la nouvelle. Quand même, les deux doivent élever sept enfants et un petit-fils, chez eux en Allemagne, près de Hanovre.
On sait de l’épisode précédent (et des très rares articles parus dans les médias) comment s’est déroulée la négociation Ursula-Bourla (Pfizer) : de manière particulièrement opaque. De plus, il semble que la cheffe de Bruxelles ait à nouveau agi de la même façon. Elle aurait donc effacé ses traces de son téléphone portable, selon des journalistes du New York Times. Les messages et appels d’Ursula ont subitement disparu, au grand étonnement de la Médiatrice Emily O’Reilly (une sorte de Ombudsman, mais au niveau de l’Union européenne).
La Commission européenne a indiqué qu’elle n’était pas en possession de la correspondance entre Ursula et Bourla (chef de Pfizer). Les SMS et autres messages courts seraient par nature « de courte durée et, en principe, ne contiennent pas d’informations importantes sur la politique, les activités ou les décisions de la Commission », a déclaré la secrétaire générale de la Commission, Ilze Juhansone.
Alors, pourquoi chercherions-nous dans le téléphone d’Ursula ? Pourquoi se mêler de ses affaires ? A coup sûr, il n’y a rien là-dedans sur les méga-amendes que la Pologne et la Hongrie continueront de payer, pour la simple raison qu’elles ne s’alignent pas sur les politiques de Bruxelles.
Un journaliste a pourtant eu l’audace de demander si les messages que Ursula à envoyés à Bourla avaient été supprimés, s’ils n’étaient toujours pas archivés ou si les commissaires européens en avaient connaissance. La question est restée sans réponse. Une porte-parole de la CE a confirmé à la presse que les messages courts ne sont pas enregistrés dans le système Ares (le programme d’archivage interne de l’UE). En tout cas, à l’heure actuelle "il n’y a aucune possibilité technique d’enregistrer des messages courts".
Il convient de noter que ce phénomène est en contradiction avec les règles internes de la Commission, adoptées en 2015. Selon elles, les SMS et messages similaires devraient être copiés dans un e-mail, scannés ou enregistrés d’une autre manière.
Les médias indépendants ont voulu en savoir plus sur le commerce des vaccins. Invoquant le Règlement n. 1049/2001, un autre journaliste a demandé à la Commission européenne de divulguer toutes les communications entre Bourla et Ursula, mais "la demande a été rejetée par le Secrétariat général de la Commission européenne". Et comme le Parquet européen n’a pas été prévenu (à quoi bon ?), nul ne peut savoir, pour l’instant, dans quelles conditions se sont déroulées les négociations Pfizer-UE pour les 1,8 milliard de doses de vaccins.
Bref, tout a été dissimulé. Comme je l’ai dit dans un article récemment"disparu".
En effet, le 24 avril 2021, peu de temps avant de signer le contrat négocié avec Bourla, Ursula a visité l’usine Pfizer/BioNtech en Allemagne. Évidemment, pour s’assurer que la production bat son plein et que les vaccins arrivent à temps sur les aéroports européens.
Une petite modification concernant l’épisode 1. Nous n’avons aucune information précise que Heiko était aux États-Unis quand Ursula a négocié avec Pfizer. Cela ne pourrait être vérifié que par les enquêteurs, à travers des enquêtes dans les aéroports, en vérifiant les réservations d’hôtel, les billets d’avion et de train, etc. Heiko est peut-être resté à Hanovre, en Allemagne. Surtout en période de pandémie, le poste de membre du conseil d’administration d’Orgenesis ne l’obligeait pas à être physiquement présent au siège de l’entreprise. Peut-être n’a-t-il assisté aux réunions que via Zoom. Peut-être qu’il était à New York. Nous ne savons toujours pas. Ce qui est certain, c’est que où qu’il soit, Heiko avait une connexion téléphonique permanente avec sa femme.
Téléphone duquel une série d’informations a ensuite soudainement disparu. On verra quel genre d’informations, mais seulement si le procureur général Kovesi montre un jour sa disponibilité.
Déclaration d’Albert Bourla, PDG de Pfizer : "Nous avons développé une relation de confiance profonde, car nous avons entamé des discussions détaillées avec la présidente de la CE, Ursula von der Leyen." Reste à savoir à quel point les discussions ont été détaillées. Et si cela incluait ou non des "primes de performance".
Sans trop de lien avec la présente enquête, mais avec une certaine pertinence, voici la déclaration d’Ursula à l’occasion du Forum économique mondial de Davos : « Mesdames et Messieurs, la nécessité d’une coopération mondiale et cette accélération du changement seront les moteurs de la Grande Réinitialisation. Et je vois cela comme une opportunité sans précédent. »
En conclusion. Nous ne pouvons pas savoir exactement si Pfizer a soudoyé des politiciens au sommet de l’UE. Mais il existe un certain nombre de soupçons fondés sur le passé de Pfizer, sur l’"urgence pandémique", sur la position dominante sur le marché, sur le secret excessif du contrat UE-Pfizer, sur la non-transparence des hommes politiques impliqués dans les négociations. Last but not least, Ursula a une histoire et des antécédents. Elle a supprimé les données de son téléphone lorsqu’elle était ministre de la Défense en Allemagne. Et apparemment, elle en a recommencé après des négociations avec Pfizer. C’est du moins ce que suggère l’Ombudsman de l’Union européenne.
Ensuite, peut-être le plus important, nous avons la présence du mari au conseil d’administration de la société Orgenesis. Étroitement lié à Pfizer, comme nous l’avons vu.
Mais tout cela ne peut être pleinement dénoué par une seule enquête journalistique. Les soupçons fondés doivent faire l’objet d’une enquête menée par les organes compétents. Par le Parquet européen, en coopération avec la justice américaine.
Qu’en dites-vous ? On va occulter l’affaire comme d’habitude ?
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EXCLUSIF / EXPLOSIF / ENQUÊTE. CONTINUATION. Ep. 3 - Vanguard
Les conjoints Ursula et Heikovon der Leyen ont été victimes de chantage dans le cadre d’un accord Pfizer de 36 milliards de dollars.
Prenons-le méthodiquement, comme à l’école. Vous connaissez mon aventure de l’agence mainstream. Je ne répète pas. Le 16 novembre (10h42) j’ai publié sur Facebook le premier épisode de l’ENQUÊTE Pfizer-Ursula, sur le lien entre Heiko et Ursula avec Big Pharma, dans le cadre de la signature du contrat de 1,8 milliard de doses avec la méga-entreprise Pfizer.
Peu de temps après, le 17 novembre (19h), je publiais aussi l’épisode 2. Avec des données et des noms concrets. Vous avez les deux épisodes dans les commentaires, je n’insisterai pas. L’enquête a clairement montré de forts soupçons de corruption, dans le sens que Pfizer aurait soudoyé le chef de la Commission européenne par l’intermédiaire de son mari (au sein du conseil d’administration d’Orgenesis).
Très important. Cinq jours se sont écoulés depuis. Assez de temps pour initier des contrôles. Personne ne m’a fait remarquer que j’avais écrit quelque chose de faux (ou insuffisamment documenté). Au contraire. Les fameux « enquêteurs » du journal roumain« Libertatea » ou du site d’investigations « Recorder » auraient eu tout le temps du monde pour écraser et annuler les conclusions de l’ENQUÊTE. Me montrer que j’avais tort. Me ridiculiser. Ils ne l’ont pas fait.
Je pense que ce que j’ai écrit est très correct. Pas de sortie de route.
Puis vint une autre grande surprise. Honnêtement, je m’attendais à ce que l’ENQUÊTE ne soit pas reprise par la presse mainstream. Je connais son mécanisme de l’intérieur. Au lieu de cela, elle a été massivement rediffusée sur les réseaux sociaux. Elle est apparue sur Active News, Sputnik, r3media, le blog du journaliste Ion Cristoiu et sur deux autres télévisions de niche (désolé si j’ai oublié quelqu’un). Je les remercie beaucoup, encore une fois.
Et maintenant - la surprise. Du spectre politique. Je m’attendais à ce que ceux qui se sont battus contre la vaccination obligatoire et le passeport sanitaire aient une réaction. La moindre. Dire quelque chose. Pour le meilleur ou pour le pire. En gros, j’avais mis la "balle d’or" sur le plateau dans la bagarre avec la MAFIA.
Rien. Pas de bruit. L’eurodéputé Terheș et ceux de l’AUR ont encore le temps de réagir, en quelque sorte. (N.Trad : AUR est un parti récemment créé, qui prône l’indépendance de la Roumanie et le respect de ses valeurs et traditions).
Pour ne pas perdre toute crédibilité.
Les membres ordinaires du parti devraient demander à M. Simion et à M. Târziu ce qu’ils en pensent. Peut-être que les patrons de AUR pensent que je n’ai pas assez d’arguments. Peut-être qu’ils ont une autre tactique, je n’en ai aucune idée. Peut-être qu’ils font aussi partie du SYSTÈME. On le verra, très clairement, dans les prochains jours.
Et maintenant vient, vraiment, la BOMBE. J’ai reçu sur Facebook (comme d’habitude jusqu’à présent) la liste des principaux actionnaires du prestigieux quotidien The New York Times (NYT). Vous l’avez aussi dans les commentaires, il s’agit d’informations boursières publiques.
Parmi les actionnaires importants de NYT, les groupes d’investissement The Vanguard Group et BlackRock se distinguent sur les deux premières places, avec des parts qui totalisent quelque 16,57%. Comme je l’ai dit dans l’enquête, Vanguard détient la plupart des actions de BlackRock. Donc, en réalité, nous parlons maintenant d’un seul MEGAinvestisseur : VANGUARD. Selon des sources boursières transparentes, Vanguard détient environ 90% de tous les médias des États-Unis.
Selon les mêmes sources, voici quelques-uns des actionnaires du méga-groupe Vanguard : Rothschild Investment Corp, Edmond De Rothschild Holding, diverses familles comme Orsini en Italie, Bush aux États-Unis, du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller . Y compris la famille royale britannique.
Pour le moment je ne peux pas vérifier, je n’en ai aucune ressource. Mais l’intuition me dit que Vanguard comprend des milliardaires comme Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos ou Mark Z. Peut-être des politiciens importants et décisifs comme Joe Biden (à travers les sociétés appartenant à son fils, Hunter –d’ailleurs très bien connu sous ces aspects).
Pour le moment je ne peux pas vérifier, je n’en ai pas les moyens financiers. Mais mon intuition me dit que de Vanguard font partie des milliardaires comme Bill Gates, George Soros, Jeff Bezos ou Mark Z. Peut-être des politiciens importants et décisifs comme Joe Biden (à travers les sociétés appartenant à son fils, Hunter –d’ailleurs très bien connu sous ces aspects).
Pour vous faire une idée de la puissance financière du groupe Vanguard, imaginez la fortune des quatre « philanthropes » cités plus haut et multipliez le tout par 1 000. Ou autant que vous voulez, peu importe. Fondamentalement, Vanguard possède presque tout ce qui bouge dans Big Pharma et les médias. Deux outils essentiels et décisifs dans la pandémie.
Comme nous l’avons vu dans l’enquête, VANGUARD possède également Pfizer et Orgenesis. Heiko, le mari d’Ursula, a été propulsé au conseil d’administration d’Orgenesis avec un salaire annuel de plus de 1,5 million (au lieu 2 à 300 000 euros, la somme qu’il touchait en Allemagne). Il a probablement reçu d’autres "primes de performance". On ne sait toujours pas exactement. Le Parquet européen n’a reçu aucune notification ce sujet. Et Kovesi avait d’autre chose à faire, pas à lire mon ENQUÊTE. Ce qui est certain, c’est que VANGUARD a acheté Heiko von der Leyen. Ils l’ont dans leur poche. Ils connaissent tous ses secrets.
Dans ces conditions, fin 2020, Pfizer a entamé des négociations avec l’Union européenne pour 1,8 milliard de doses de vaccin (bien au-dessus de ce dont nous aurions eu besoin). Il y a eu des négociations directes et non transparentes entre Bourla (alias VANGUARD) et Ursula (alias la Commission Européenne). Mais Bourla avait deux grands atouts : il avait déjà acheté Heiko, et il connaissait le secret d’Ursula lorsqu’elle dirigeait le ministère allemand de la Défense. A cette époque, elle aurait supprimé ses données de son téléphone portable afin de couvrir d’éventuels actes de corruption.
D’après ce qui a émergé jusqu’à présent, je peux croire qu’Ursula a initialement refusé de signer ce méga-contrat. Cela ressemblait à du VOL AU GRAND JOUR. Cela lui paraissait scandaleux, après presque deux ans de pandémie avec des mensonges, des menaces et des abus autrefois inimaginables.
Et puis VANGUARD (via Bourla) a sorti l’as de sa manche : LE CHANTAGE. D’abord verbalement, en privé, puis publiquement, via le New York Times. Placé, comme je l’ai dit avant, dans le portfolio de VANGUARD. Donc à la disposition de Bourla (Pfizer).
Le soi-disant article "bombe" sur les dessous des négociations entre Bourla et Ursula ("Comment l’Europe a scellé un accord de vaccin Pfizer avec des textes et des appels") est paru dans le NYT le 28 avril 2021. C’est-à-dire à point nommé, en pleine négociation. C’était juste un signal clair que les choses pouvaient déraper. Sans informations concrètes. Juste "laisser présager". Vous savez comment on procède lorsqu’on souhaite décrocher un contrat publicitaire important, en tant que propriétaire de presse. C’était un avertissement sévère qu’Ursula pouvait perdre à la fois son travail et sa liberté si elle ne répondait pas aux ordres. Les sept enfants et un petit-fils l’attendaient chez elle en Allemagne.
A dix jours à peine, mise en situation de vie ou de mort, Ursula von der Leyen a cédé au chantage et annoncé sur Twitter la signature du contrat douteux (et extrêmement scandaleux !). Encore 1,8 milliard de doses de Pfizer. Sur un total absurde de 2,4 milliards de doses. Donc environ 48 milliards de dollars d’un seul coup de fusil.
Que dites-vous, le voile sur les yeux s’est levé, au moins un peu ?
On sait désormais clairement POURQUOI les politiques vendus (et ceux du SYSTÈME), les médias corrompus et les soi-disant spécialistes (comme les médecins roumains Mahler et Imbri) insistent à la limite du pénible pour la "vaccination obligatoire" et le "passeport sanitaire". Tout est un MEGA-SCAM. Et, très important, il doit continuer à plein régime, au moins pour quelques années. Quelles que soient les victimes, les effets secondaires, les conséquences pour la population et l’économie.
Après tout, l’argent est public, donc personne ne perd rien. (faut-il continuer ?)
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p.s.1 Pour ceux qui m’envoient toutes sortes de messages, par des intermédiaires, je ne répète qu’une chose : mon chien Aki pèse 1,8 kg et se porte très bien jusqu’à présent.
p.s.2 Dans les commentaires, vous trouverez L’ENQUÊTE (ep. 1 et 2) ainsi que les principaux actionnaires du New York Times. Merci beaucoup pour votre soutien. Sans vous, je n’aurais pas pu continuer. On reste en contact !
Traduction roumain - français : Alex M.
Source : https://www.facebook.com/adrian.onciu.official/