Peut-être que Sanofi cherche à "se débarrasser" du paracétamol qui, à priori, ne devrait plus avoir d’avenir (?) Sanofi a-t-il eu un rôle dans la prescription Covid « Prenez du Doliprane et restez chez vous en attendant que ça passe », sachant qu’il ne pouvait ignorer la toxicité du paracétamol ?
Pas de paracétamol dans la Covid, erreur thérapeutique majeure !
par La rédaction de l’AIMSIB 22/08/2021
Attention, cet article est complexe mais pourtant absolument fondamental pour qui souhaite comprendre que la médecine ne se décrète pas sur les bancs de l’Assemblée Nationale. Non, en cas de Covid, le paracétamol ne doit pas être utilisé « en attendant d’aller mieux », car vous « irez » en vous aggravant. Merci au remarquable Jean Umber, ancien chimiste à l’ENS St Cloud, de nous en démontrer factuellement le mécanisme. On précise immédiatement que les références constantes à wikipédia sont intentionnelles, ce site démontre un sérieux sans faille en matière de chimie. Alors pourquoi l’absurde antienne gouvernementale Doliprane-domicile-dodo peut mener à … Décès ? Bonne lecture…
Introduction
A la lecture de l’article du 6 janvier 2021 publié par France-Soir (1) : « Le paracétamol aurait-il tué ? » , j’ai voulu approfondir mes propres connaissances à son sujet, et essayer d’étayer de manière plus rationnelle leur thèse, qui, à mon avis, n’allait pas jusqu’au bout des questions posées. Mon étude porte à penser que la paracétamol a favorisé l’apparition de difficultés respiratoires au bout du temps nécessaire pour que la quantité de glutathion cellulaire devienne insuffisante pour gérer le métabolisme d’absorption de l’oxygène. Tout ce qui suit étant connu dès 2018, on peut se demander quel a été le motif (obscur) de l’ordre de prescription du paracétamol, exclusivement à tout autre AINS.
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La première conclusion générale est qu’il ne faut pas faire diminuer la quantité de glutathion circulant, et que toute action en ce sens est une erreur,…, que nos « autorités » ont faite en imposant le paracétamol. L’apparition de difficultés respiratoires au bout de 10 jours pourrait bien être le fait des 4g de paracétamol prescrits journellement...
Lire l’article :
https://www.aimsib.org/2021/08/22/pas-de-paracetamol-dans-la-covid-erreur-therapeutique-majeure/comment-page-1/#comments
Certes le paracétamol présente une paire d’avantages "apparents", antidouleur comme d’autres AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), il est antipyrétique, il fait baisser la fièvre (fausse vertu*) qu’il partage avec l’aspirine et l’ibuprofène, par exemple.
Mais il a le gros inconvénient de faire baisser le taux de glutathion, et donc d’affaiblir l’immunité naturelle.
* les travaux du Professeur Lwoff, dans les années 1970, et qui a eu le prix Nobel de virologie, nous montrent que les virus se multiplient de 200 à 500 fois plus vite à 37°C qu’à 39°C. Toutes les explications de Lwoff, en particulier vers la dixième minute, mais tout est à voir.
https://www.ina.fr/video/CPF86644119
Il y a donc un non-sens à vouloir faire baisser la fièvre (réaction immunitaire naturelle), sauf si elle serait très élevée, > 40°