Il pourrait être bègue que cela n’aurait guère d’importance si dans le même temps il n’était pas social-libéral.
Son embarras vient peut-être de ce qu’il est de gauche à droite ; difficile dans ces conditions de s’adresser à un auditoire.
Il y en a qui veulent espérer, non sans ironie, que euh... qu’après le pain euh... noir viendra la période du euh... pain blanc.
Il n’est pas sûr qu’à la fin d’un septennat qui suivrait l’actuel quinquennat cette espérance se réaliserait.
C’est pas sympa !! vu les progrès de la première année.... Sans le sur-noter comme au Bac, il faudrait lui accorder directement un mandat à vie pour qu’il puisse enfin former une phrase complète. Allez !! un peu d’indulgence camarades !! J’adore les pantins.
Tu disais ?
Rien.
Certains remarquent qu’il aurait fait des progrès ; évidemment en s’appuyant de plus en plus sur la fesse droite cela ne peut qu’aller mieux.
« Je pense que l’un des grands défis des Occidentaux, c’est d’être capables de mettre le curseur sur des forces politiques que l’on va considérer comme fréquentables, ou dont on va accepter qu’elles font partie de ce lot de forces politiques parmi lesquelles les Syriennes et les Syriens choisiront, le jour venu. Et je pense que oui, l’ex-Front al-Nosra [Al-Qaeda en Syrie - NDR] devrait faire partie des forces politiques considérées comme fréquentables »
François Burgat sur RFI le 9 août 2016.
Julian Assange est un journaliste australien en prison. En prison pour avoir rempli sa mission de journaliste.
Julian Assange a fondé WikiLeaks en 2006 pour permettre à des lanceurs d’alerte de faire fuiter des documents d’intérêt public. C’est ainsi qu’en 2010, grâce à la lanceuse d’alerte Chelsea Manning, WikiLeaks a fait œuvre de journalisme, notamment en fournissant des preuves de crimes de guerre commis par l’armée américaine en Irak et en Afghanistan.
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« La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité. » (...)
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Une allégation de viol inventée et des preuves fabriquées en Suède, la pression du Royaume-Uni pour ne pas abandonner l’affaire, un juge partial, la détention dans une prison de sécurité maximale, la torture psychologique - et bientôt l’extradition vers les États-Unis, où il pourrait être condamné à 175 ans de prison pour avoir dénoncé des crimes de guerre. Pour la première fois, le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, Nils Melzer, parle en détail des conclusions explosives de son enquête sur (...)
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