RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

Tout changer pour que rien ne change

Tout changer pour que rien ne change...

"We the 99 %" , « Nous sommes les 99 % ! »
Si vous permettez, j’aimerai vous soumettre deux phrases tirées de lectures (antérieures à l’actualité) et qui corroborent à merveille, me semble-t-il, en concentré les enjeux du moment. (comme par exemple, le bras de fer (colossal) mondial entre les 99 % et le 1% - aidé de sbires à sa solde -, à l’issue encore incertaine).

1ère phrase : « …pour se contenter d’une démocratie formelle sans que rien ne change. (d’ou le présent titre)
C’est la démocratie "représentative" (si peu) à l’occidentale, que les "indignados" espagnols et tous les "indignés" du monde entier dénoncent avec virulence en stipulant : « …vous nous avez trahi, vous ne nous représentez plus ! »
C’est pour ça qu’on observe aujourd’hui des tentatives de temporisation électorales dans ces deux pays (il est question ici de l’Egypte et de la Tunisie, mais ceci est valable pour d’autres pays et d’autres continents, pas seulement au Maghreb mais aussi au Proche et au Moyen-Orient) en espérant qu’avec le temps va, tout s’en aille, et que les gens acceptent finalement des élections à la mode européenne… »
Acceptation = résignation, alors que ce qui nous motive tous, c’est la lutte, (quel qu’en soit la forme) pour inverser la tendance actuelle (tout particulièrement en France) !

2e phrase : « … la normalisation (soumission à l’Empire et à ses vassaux) ou le naufrage, tel est l’alternative pour les petits pays au proche et Moyen-orient, sous l’oeil du cerbère israélien… » (les "révolutions" arabes et les résultats des premières élections libres en Tunisie. Les (très nombreuses) tentatives de récupération du haut commandement égyptien (et de la nomenklatura égyptienne). )

Si nous abdiquons,… nous nous soumettons,… et nous pourrons dire adieu à notre liberté ! Le peuple à soif de liberté,… mais elle reste à reconquérir ! Le seul moyen pour y parvenir, c’est de l’imposer à l’oligarchie.

"Démocratie réelle"
Aux deux phrases citées plus haut, j’ajouterai deux autres phrases qui renforcent l’intuition (partagée par le plus grand nombre) alors que le vieux monde s’effondre :
« … Nous assistons depuis environ deux à trois ans (peut-être plus ?), à un évènement majeur irréversible. Un glissement lent vers ce que certain(ne)s ont traduit par démocratie réelle. Ce n’est pas aussi clair que je le dit, plutôt une sorte d’intuition… » (Nous devons l’y aider (et accélérer sa chute) et parallèlement créer du lien et des réseaux (solidaires) dans les communes conquises (elles tombent comme des fruits mûrs, c’est la théorie des dominos) et se réapproprié le pouvoir, confisqué par les élites.

et pour causer de la "stature internationale" de môssieu sarkozy, cette dernière phrase : « … En ce qui concerne le lynchage de Kadhafi (et de son fils) reprendre le chantage sémantique de sarkozy, que développe Rony Brauman dans sa dernière intervention médiatique… » (que vous pouvez consulter sur le site - entre-autre - de « Mediapart », mais pas que… La guerre ? C’est une saloperie ! Obama, sarkozy et Cameron ont du sang sur les mains,… pas le leur, celui des autres bien entendu !)

L’incroyable escamotage du couple merkosy
Incroyable escamotage - qui vient de se dérouler sous nos yeux ébahis - lors des dernières réunions internationales (comme par exemple à Cannes, lors du G20), le couple merkosy a escamoté (grâce à la duplicité des autres chefs d’état présents au banquet (partage du butin et autres dépeçages étaient au menu), européens ou étasuniens en tête) *le référendum grec, par la simple volonté du marché et de la doctrine dominante (TINA, (« There is no alternative », en français, « Il n’y a pas d’autre alternative ») beaucoup plus virulente qu’avant la "crise" de 2008).

Le vieux monde s’écroule, il faut aller vite et faire taire tous ces braillards ! ("indignés"  ! et autres)
Le peuple, bon d’accord,… mais à petite dose, une fois tous les cinq, et encore, tant que l’arnaque électorale marchera,… (ainsi qu’à chaque rendez-vous électoral). Sinon circulez,… Y’a rien à voir,… Allez, hop ! là , là ,…
« Un peuple ça va, c’est quand il y en a plusieurs, qu’il y a un problème ! »

Le peuple ? c’est dangereux, ignare et irrationnelle (capable des pires réactions, incontrôlables, et parfois violentes !). De toute façon, il n’est certainement pas instruit des subtilités politiques nationales et internationales, (la géostratégie et autres joyeusetés), ni de la fragilité des constructions (lire : marchandages) internationales (plus connues sous le vocable de « mondialisation »), et autres stupidités du même tonneau…
Les seules qui vaillent, sont celles reposant sur le socle immuable de la proclamation universelle (ou devise) : « la liberté ou la mort ! », « la dignité exigible tout de suite ! », « pas de fraternité sans la solidarité et l’égalité pour tous ! »

La "stature internationale" de qui vous savez (non, ne riez pas !… il y crois dur comme fer)
Il n’a toujours rien compris au film,… il s’obstine,… et impose le **« storytelling » (en français une histoire qui porte ou révélatrice, c’est selon…) aussi ringard que possible, c-à -d, résolument passéiste.
Menton en avant,… le petit chef (le roi de la magouille) se pavane,… il apostrophe les un(e)s, feint une franche rigolade avec d’autres,… il jubile,… éructe des paroles définitives, il vomit sa haine et son mépris des autres (de l’autre), n’est-il pas un décideur ?… un vrai de vrai, un tatoué,… n’a-t-il pas le sort du monde entre les mains ?… un coup d’état par-ci,… une guerre civile par-là (en Afrique de préférence), et un assassinat ciblé, un !… en général il fait buter ses anciens "amis" pourvoyeurs de guerre, comme lui,…
il téléphone devant les caméras de télé du monde entier,… pensez !, il active en mondovision et en direct les réseaux de son clan, c’est dire l’importance du bonhomme !…
pour ceux qui n’aurait pas encore mesuré l’envergure du phénomène,… l’ampleur de l’évènement,… l’influence planétaire du chef de guerre,… c’est lui le vrai patron !,… lui qui mène la danse (de saint-guy).
Le monde n’a qu’à bien se tenir !… même s’il (le monde) est de plus en plus malade, et qu’il court à sa perte !… pas grave,… l’important c’est qu’on parle de lui,… le reste… ouais, bof, bof !

La "stature internationale" de môssieu sarkozy,… fait pouffer au quatre coins de la planète (tout particulièrement les dirigeants des pays émergents - ou " le reste du monde") dès qu’on y fait allusion.
C’est d’un ridicule ! (l’"histoire" de la stature internationale de môssieu sarkozy, enflera et grossira au fil des évènements, jusqu’à son (probable) éclatement).
Un malappris notoire (qui aime humilier publiquement) et ne s’en prive pas,… comme ce fut le cas pour le premier ministre grec, Papandréou. Qu’est-ce qu’il lui a mis !…

Un festival de bassesses !
Un vrai festival de mépris (en) public et au sommet !, une apothéose de la rancune (tenace),… de haine (vacharde) débridée,… l’étalon de l’arrogance, c’est lui ! les manip grossières et vindicatives, c’est encore lui,… le crapaud qui se prenait pour un boeuf,… toujours lui ! sarkozy,… c’est la méchanceté personnifié !
C’est plus fort que lui, il aime (ça) humilier,… surtout ceux qu’il considère plus faible que lui,… c-à -d, à peu près tout le monde !…
Ca vous donne un (léger) aperçu des motivations réelles et de l’état d’esprit (hors normes, c’est-vous-dire, la démesure !) qui dominent les pensées et les actes de môssieu sarkozy.

Ce n’est pas l’homme à abattre, non,… c’est l’homme dont l’humanité doit impérativement se débarrasser, et au plus vite !, tellement il est monstrueusement maléfique.

Ceci explique cela
Pour ne prendre qu’un exemple parmi tant d’autres, « le travail », si comme mes amis situationnistes (les vrais) et certains groupes anarchistes amis, (le premier raisonnement concernant la critique approfondie du "travail" (il y a trop à en dire pour développer à fond - et méthodiquement, c-à -d, en détail - le sujet), d’abord celui des situationnistes, énoncé comme suit (beaucoup plus fouillé au demeurant que certains autres raisonnements, qui - pour faire court - veulent "aménager" le capitalisme alors qu’il faut s’en débarrasser à tout prix !), « ce n’est pas le chômage qui pose problème, c’est le "travail" ! », et celui de mes chers amis anarchistes qui pensent que le problème, ce n’est pas se vendre (comme esclave) au capital, mais avant toutes autres considérations, c’est la propriété qui pose problème, et c’est elle qu’il faut détruire, ainsi que ses effets pervers. Il faut l’extirper définitivement la pire conséquence qui soit, « le marchandage de la force de travail » !

Si l’on voulait considérer le problème sous l’angle du réalisme politique (pas la « realpolitik » qui est l’exact opposé), et contrairement aux idées reçues, la fraternité, ou mieux l’égalité, serait le partage fraternel du "travail" (puisqu’il ne peut y en avoir pour tout le monde !) A chacun selon ses besoins,… et son corollaire, l’inexorable réduction du temps de travail.

Pas les 35 heures par semaine (que voudrait anéantir môssieu sarkozy), mais moins de 20 heures par semaine, et avant tout autre considération, il faudrait impérativement éliminer les spéculateurs et autres parasites de la finance, qui ne produisent absolument rien (la fable qu’ils produiraient des richesses, alors que faire de l’argent avec de l’argent, ce n’est (rien d’autre) que de l’usure, c-à -d, le parasitisme intégral, rien de plus !)

Deux allégations corroborent ce qui est écrit plus haut :
première allégation : « Plus les riches s’en mettront plein les poches, plus la ruissellement (de haut en bas) de l’accumulation de richesses (par le 1% des plus riches), s’opérera (quasi automatiquement, puisqu’ils (vous) le jurent !). Les pauvres n’auraient qu’à laisser les riches s’empiffrer tranquillement (sans exprimer d’opposition, ni (aucune forme) de résistance), et leur passivité serait largement récompensée, voire rétribuée, …
Rien n’est plus faux !

On voit où tout cela nous a mené,… un non-sens despotique,… la négation de l’humanité,… l’incurie et le désordre généralisé !…

Ce système détruit et produit du malheur à haute dose
le système financier (économico-politique) mis en place par le personnel politique aux ordres de l’oligarchie financière (les élites autoproclamées), "fabrique" (conséquemment et mécaniquement au système financier imposé (parfois par la force, suite à des guerres "préventives") ; pour vous prouver la dangerosité des paradigmes ultra-libéraux (ou néolibéraux), je n’en citerai que deux (les plus communs) : « la main invisible (du marché) », et « le laisser faire du marché » qui aboutiraient à une soi-disant autorégulation (du marché), mais qui en réalité font que °la pauvreté à grande échelle (à l’échelle planétaire) gagne tous les jours un peu plus de terrain, il n’est que de constater les ravages de ces doctrines criminelles, et des conséquences directes sur nos vies.
Le grossissement des rangs de nouveaux pauvres (par dizaines de millions), et pour vous en convaincre (si besoin est) un peu plus, vous n’avez qu’à décrypter les statiques officielles (y compris les leurs), pour vous rendre à l’évidence : le pouvoir d’achat stagne (du fait des délocalisations et de la destruction de l’outil de production, mais pas que…), et pas seulement celui des fonctionnaires, et le chômage ravage ce qui reste de cohésion sociale.

°ce n’est pas parce que des familles aisées consomment comme cent familles pauvres réunies (voir beaucoup plus), que les richesses profiteraient au plus grand nombre. Ce sophisme, (couramment usité par les tenants de la pensée dominante), ne tiens pas longtemps la route.
Il ne suffit pas d’asséner des contre-vérités, comme celle-ci par exemple : « les biens de consommation seraient de moins en moins onéreux (suite à de nombreux facteurs,- réductions des coûts de production (la première compression seraient (et de loin) le salaire des ouvriers), etc., - que je ne puis développer ici) et profiteraient à une masse grandissante de consommateurs (par exemple le téléphone mobile et autres biens de consommation courants, qu’on associe volontiers au « développement technologique » (ou progrès technique), voire à une "révolution" comportementale !? alors qu’il s’agit tout bonnement de consommation), c’est faire abstraction du nombre grandissant de miséreux qui n’ont pas de quoi vivre (au vrai sens du terme, puisqu’ils meurent - par dizaines de millions - de faim ou de soif), alors que des centaines de millions d’individus ont accès aux biens de consommation courants, et qu’une infime minorité (le fameux 1%) consomme dix, voire cent fois plus que le commun des mortels (une, deux voire trois grosses cylindrées par famille, des écrans plats (dans toutes les pièces, y compris dans les w.c., plusieurs téléphones mobiles par personne, etc., sans parler de yacht, de jet privé, de villas somptueuses, de palace ou de cantine pour riches).

Pourquoi ?
La rentabilité des actions prime sur toutes autres considérations économiques (malgré un gain de productivité en net progression en France - pour soi-disant soutenir la compétitivité - et dans le monde) ; quand les éditorialistes via les médias aux ordres vous assènent à tout bout de champs (et quasi quotidiennement) l’argutie suivante : « le système produit mondialement de nouvelles richesses qui profitent au plus grand nombre », à toutes les sauces et sur tous les tons, via les propagandistes accrédités (éditorialistes, et spécialistes - économistes et sociologues - en tête), alors que le chômage de masse augmente - exponentiellement et - dans les mêmes proportions qu’augmente le pourcentage des plus values actionnariales (« l’usure » serait plus exact, car sans entrer dans le détail des mécanismes spéculatifs ou des "nouveaux" produits financiers (vendus sur certains marchés spécialisés), comme les CDS (credit default swaps), dont le grand jeu morbide consiste à parier sur la probabilité que le débiteur fasse défaut de paiement, un pays ou une nation endettés jusqu’au trognon).

Voilà la réalité, tout le reste n’est que sémantique doctrinale (***le fameux double langage, voire triple, dont use et abuse, sarkozy).

*Ne soyons pas trop naïf, il peut s’agir (ou pourrait s’avérer dans le cas présent) d’une basse manoeuvre politicienne (ou de calcul politicard) pour négocier une (fausse) reddition en rase campagne ; venant du Pasok cela il n’aurait rien d’étonnant.
Aussi, il faut faire confiance au peuple grec et à un sursaut salutaire qui ne manquera pas de se produire. Seul le peuple grec a les clés (et les solutions) des problèmes en main. Lui seul sera en mesure de les résoudre (les diktats soi-disant européens, mais plus spécifiquement vomit par le couple merkozy et les humiliations publiques (en mondialisation) de sarkozy envers Papandréou sont impardonnables. On ne peut humilier publiquement le premier ministre d’un peuple (même si certains en Grèce - la majorité peut-être ? - ne se reconnaît pas dans l’autorité du gouvernement Papandréou), sans en subir le courroux et la vengeance)
sarkozy a du mouron à se faire !

** je ne vous conseille pas de lire la tapée d’ouvrages parue sur le sujet (anglo-américain, mais pas que…), un seul a retenu mon attention (et vite fait !) c’est le livre de Christian Salmon (en français), intitulé : « Storytelling la machine à fabriquer des histoires à formater les esprits. » Ca ne remplace pas les discours-programmes calqués sur les études (pléthoriques) d’opinion et de l’image circonstancielle (renouvelable à l’infini) que produisent les « agences d’opinion » (pompeusement appelé « "institut" de sondage »), mais ça complète la panoplie de la com’politique.

*** c’est une constante chez le chef de clan, sarkozy, (encadré par le dernier carré de fanatiques, désespérément accroché au radeau - en perdition - de l’ump), d’alpaguer et d’abuser le chaland par de grossières manipulations et autres tours de passe-passe. Une sémantique de camelot bien réglée, énonçant tout et le contraire (le fameux double langage, pour brasser le plus large possible, paraît-il ?) pour semer la confusion dans les esprits ; sans compter les manoeuvres et les circonvolutions (découpe d’une contre-réforme, méticuleusement tronçonnée en plusieurs morceaux (apparemment) indépendants les uns des autres (si nécessaire dans plusieurs ministères, et parfois dans différents services au sein du même ministère), sauf que lorsque vous les assemblez, ils s’avèrent être les pièces d’un seul puzzle (un et unique projet) - pour éviter les attaques (trop) frontales, qui aurait pour effet (immédiat) d’éveiller la curiosité (et la méfiance) du public. Pour que l’opération soit un succès complet, il faut impérativement anesthésier le public, opacifier la manoeuvre pour conserver le sceau du secret (le plus longtemps possible).
Grossière manip ? Pas si sûr,… car ça fonctionne plutôt bien (« le plus longtemps possible », c-à -d, jusqu’au vote d’une loi sur mesure (en général noyée dans un flot de lois « fourre-tout », un vote de nuit de préférence, et le tour est joué), conçue et réalisée en haut lieu, puis redescendue - prête à voter - par le parlement (navette comprise), que certain n’hésite plus à appeler « chambre d’enregistrement ».

Réforme ?
Il s’agit de travestir une bonne grosse contre-réforme en réforme tout court (qu’aboyeurs et postillonneurs patentés, députés, sénateurs et autres serviteurs zélés du pouvoir, baptiseront promptement de "modernisation", alors qu’il s’agit de (véritable) régression…), il faut assurer la publication (officielle) du décret d’application, et le tour de passe-passe - qui légalise l’entourloupe - est dans la poche !). C’est là , une des nombreuses techniques d’escamotage chère au bonimenteur, sarkozy.

Pour zapper sa réélection
Son soucis actuel, c’est de vous/nous faire croire qu’il est un homme politique tout à fait comme les autres. Ceux qui disent qu’il a pillé la France, que lui et ses amis sont profiteurs (hors catégories), sont de mauvaises langues, et sont jaloux de ses succès.
L’enrichissement personnel, il y pense sérieusement et pas qu’en se regardant dans la glace quand il se rase (« … la politique ce n’est pas tout, il y a une autre vie (après la politique)… » et il pense très sérieusement s’enrichir…
Après avoir servi la France (et de quelle manière !), il compte (se) servir (dans) le monde… Un vrai mégalo !
Si pendant une (seule) seconde,… vous croyez aux boniments qu’il débite,… il sera réélu haut la main,… et il vous/nous entubera cinq ans de mieux !
Il vous sera gré de lui éviter de nombreux ennuis judiciaires (il ne pourra pas évoquer l’opportune maladie mentale qui sied si bien (comme ce fut le cas) à l’escroc Chirac) et pourra se la couler douce à vos/nos dépends et au dépend du peuple qu’il a tant méprisé durant ce premier quinquennat (il ne s’intéressent qu’à la réussite, c-à -d, aux plus riches, le fameux 1%, (les autres) le peuple est tout juste bon à voter (de préférence pour lui) car après avoir accompli son devoir - électoral - et sa contribution citoyenne - sous-entendu, après avoir voté pour moi - le peuple sera prié de mettre une sourdine et de fermer sa gueule pendant cinq ans !… le cauchemar psychomoteur…)

URL de cet article 15057
   
Figures Révolutionnaires de l’Amérique latine
Rémy HERRERA
Cet ouvrage propose au lecteur sept chapitres consacrés à quelques-uns des révolutionnaires les plus importants d’Amérique latine et caribéenne : Simón Bolívar, José Martí, Ernesto Che Guevara, Hugo Chávez, Fidel Castro et Evo Morales. L’Amérique latine et caribéenne offre depuis le début des années 2000 l’image de peuples qui sont parvenus à repasser à l’offensive, dans les conditions historiques très difficiles qui sont celles de ce début de XXIe siècle. C’est cette puissante mobilisation (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

Je crois, juridiquement parlant, qu’il y aurait des motifs sérieux pour inculper chaque président des Etats-Unis depuis la seconde guerre mondiale. Il ont tous été soit de véritables criminels de guerre, soit impliqués dans de graves crimes de guerre.

Noam Chomsky, in "What Uncle Sam Really Wants"

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.