Sans laisser nos médias (1) et des bateleurs de studios se calmer après lecture d’un livre écrit par un administrateur du Grand Soir (2), notre site a impliqué dans un nouveau livre (3) trois de ses administrateurs (4) aux côtés d’une brochette de haut niveau (5) venant d’Europe, Asie, Afrique, Amérique, Océanie.
En face, la tâche des vieux radoteurs antichinois et des tendrons frais émoulus de Sciences-Po Paris (nid de réacs) devient plus compliquée.
Dur de ricaner (6) et d’argumenter face à des auteurs honnêtes et documentés qui sont : journaliste, écrivain, professeur d’université, médecin, essayiste, économiste, énarque, chercheur en philosophie, membre du CNRS, ancien ambassadeur, collaborateur de l’ONU, ex-responsable du département international de la CGT, ancien référent littéraire d’ATTAC, directeur adjoint d’un Institut de recherche sur le développement mondial, attaché à un ministère des Affaires étrangères, animateur d’une émission de radio, animateur d’une chaîne de télévision…
Allons, du courage, blablateurs et plumitifs des médias des 9 milliardaires et des autres médias, relais de la Maison blanche !
Théophraste R. Conseiller en saines lectures.
Notes.
(1) Arrêt sur Images, Libération, France Inter, RFI, TMC-TF1, le Canard enchaîné, le Monde, l’Obs….
(2) « Ouïghours, pour en finir avec les fake news », Maxime Vivas, Editions la Route de la Soie, Paris, 2020. Bientôt traduit en 13 langues.
(3) « La Chine sans œillères » Editions Delga, juillet 2021. Sous la direction de Maxime Vivas et de Jean-Pierre Page.
(4) Deux auteurs, Romain Migus et Maxime Vivas, un relecteur du manuscrit : Bernard Gensane.
(5) Tony Andréani, Badia Benjelloun, Ahmed Bensaada, Jean-Claude Delaunay, Yfan Ding, Bruno Drweski, Albert Ettinger, Bruno Guigue, Rémi Herrera (et Long Zhiming), Jiaqi Hou, Tamara Kunanayakam, Romain Migus, Jean-Pierre Page, Eduardo Regalado, Maxime Vivas, Ruolin Zheng.
(6) Parmi les ricaneurs, un enragé de la propagande antichinoise, Antoine Bondaz, un « chercheur » très médiatisé. Il a prétendu que Maxime Vivas fait rire les spécialistes et il a fait rire Maxime Vivas (et pas que lui) en soutenant à plusieurs reprises que la journaliste Laurène Beaumond n’existait pas, une création de la télé chinoise et de l’ambassade de Chine en France. Puis, le Figaro a rencontré la journaliste et l’a interviewée. Mais Bondaz n’est pas qu’un guignol, il est membre de l’« International Visitor Leadership Program » financé par le Département d’État états-unien. Les « international visitors » sont potentiellement des futurs chefs de file dans les secteurs tels que le gouvernement, l’administration, les médias, l’éducation, les arts, le monde des affaires ou autres secteurs clés. Ils sont sélectionnés par les ambassades et doivent être agréés par le département d’État. Antoine Bondaz est un « chercheur » comique, mais nullement indépendant.