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Tous mardi 16 à 18h30 devant la préfecture de PAU - QUAND UNE LOI EST INJUSTE NOUS NOUS DEVONS DE LA COMBATTRE

QUAND UNE LOI EST INJUSTE NOUS NOUS DEVONS DE LA COMBATTRE

AUX DAMNÉS DE NOTRE MONDE, ZAPPÉS DANS L’INDIFFÉRENCE il n’y a pas un seul pays où je ne sois pas un étranger ( et pourtant je suis Palestinien)

Comme au temps mauvais des Préfets de la honte relais d’un pitoyable Etat , persuadé que la France est un consortium d’entreprises privées, patrimoine à l’usage unique du capitalisme financier. Pourfendeurs des droits qui nourrissaient nos libertés, et motivaient nos désidératas. La France aurait-elle gardée une certaine nostalgie de l’Etat issu de la collaboration, que nous révèlent les quotas Hortefeux/ Besson ? Qui s’apparentent étrangement a la sainte inquisition.

L’histoire du foulard n’est -elle pas monté de toutes pièces Par un racisme décomplexé qui manipule les médias n’est-il pas une machination prétexte d’une plus grande ségrégation. en gestation. La France doit retrouver la force de ses belles convictions Pour elle par milliers immigrés sans papier dans les guerres sont tombés gratifiés aux couleurs de sous-france . ils ont été de ceux qui ont restauré l’honneur perdu, de cette France. Papon là trahie, salie, Jean Moulin à préféré lui, combattre les nazis. Aujourd’hui au petit matin, on arrête, on menotte , on maltraite comme au temps mauvais des collabos d’Etat. Ca commence toujours comme ça, graduellement. Ils postent leurs policiers musclés, à l’affût pour la traque au nom de je ne sais quelle loi liberticide, ils arrachent les enfants qui s’agrippent à leurs bancs d’ école (d’une triste République) sans autre protocole que l’indésidérabilité Zélé de tristes fonctionnaires d’un Etat au profil délétère qui brandissent la loi comme à la Sainte Inquisition était brandi la bible et le bréviaire, ou plus prosaïquement le sabre et le goupillon. Pau est aujourd’hui sous les affres d’un Préfet de combat qui se fait le chantre des expulsions de l’Etat. Olé ! le Roi de l’arène dans son habit de lumière. La presse locale fait état du conflit qui oppose la raison à l’Etat répression. Apres une semaine de lutte, presque gagnée Sitti et Liouize, après Un voyage forcé à Paris avec mise en Rétention, puis revenues ici relâchées pour vice de procédure. Obligées de se cacher, n’assistant plus aux cours par peur de la police visible sur le campus. Le Préfet « justicier » cramponné à l’Etat comptable de tous ces maux s’est promis de réussir là ou l’Etat a lâché prise. Monsieur Rey pour ne pas le nommer, attend un flagrant délit de résidence, sur le territoire Français. Les deux jeunes étudiantes au dire du Préfet n’offrent pas assez de garanties financières pour continuer leurs études en deuxième année de géographie. La France n’à pas à être fière. Combien d’universitaires dans les territoires et département d’Outre Mer , secrets d’Etat ? Les facultés vont-elles redevenir le cercle privilégié, pour des enfants « bien » nées… Circuler il n’y a rien à voir interdit aux chiens aux ouvriers aux étrangers de toutes couleurs. Les deux jeunes étudiantes quant à elles l’Etat les poussent dans la clandestinité. Je ne dis pas que l’Etat les poussent à la faute, mais je les en croit capable.

Depuis quelques années des collectifs/associations …militent, dénoncent, comme « Réseau Université Sans Frontière » et « Réseau Éducation Sans Frontière » Et aussi la « Ligue des Droits de L’homme » « le Mrap » et j’en oublie… des élus…

Et Tous mardi 16 à 18h,30 devant la préfecture de PAU

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Circus politicus
Christophe Deloire, Christophe Dubois
A quelques mois de l’élection présidentielle de 2012, les Français sont saisis d’angoisse à l’idée que la fête électorale débouchera sur une gueule de bois. La crise aidant, la politique se révèle un théâtre d’ombres où les signes du pouvoir servent surtout à masquer l’impuissance. Qui gouverne ? Qui décide ? Circus politicus révèle les dessous d’un véritable « putsch démocratique », une tentative de neutralisation du suffrage universel par une superclasse qui oriente la décision publique. (…)
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Il faut s’endurcir, mais sans jamais se départir de sa tendresse.

Ernesto "Che" Guevara

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