La pression monte chez les représentants chargés de faire respecter la loi au Canada afin qu’ils arrêtent Georges W. Bush pour crimes à caractère international et pour sa possible implication dans la débâcle du 11/9
Saskatoon, Canada. Environ 300 manifestants se sont rassemblés près du Teachers Credit Union (NDT : TCU Place/Palais des congrès) à Saskatoon pour signifier publiquement leur refus d’accueillir George W. Bush au Canada. L’étape à Saskatoon fut l’ occasion pour Bush de prononcer un discours devant un public d’hommes d’affaires lors d’un repas. C’est l’une des trois villes programmées au cours de sa tournée au Canada. Tandis qu’une partie des manifestants négociait avec la police, une autre insistait pour dire qu’arrêter Bush relevait de la responsabilité de la Police.
Ce second groupe s’est joint à (l’association) LAW Lawyers Against War (NDT Les Juristes contre la guerre). Comme elle l’avait fait en prélude au discours de l’ancien Président américain à Calgary et Toronto, LAW a livré les preuves aux représentants chargés de faire respecter la loi, remontant jusqu’au Premier ministre Stephen Harper. LAW a démontré que George W. Bush relevait de crimes de guerre, et qu’il devrait être arrêté au Canada pour crimes internationaux et pour avoir violé la loi canadienne pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre.
A un moment donné, j’ai - Josh Blakney, présent à Saskatoon pour couvrir l’événement pour Globalization Studies à l’Université de Lethbridge -pris le microphone sur le podium des insoumis pour critiquer l’un des organisateurs qui avaient publiquement remercié la police. J’ai parlé au nom de ceux qui pensent que les représentants chargés de faire respecter la loi au Canada violent le Rule of Law (NDT : l’état de droit, le règne de la loi), et en particulier les Principes de Nuremberg, en n’arrêtant pas l’ancien Président américain pour son rôle dans l’autorisation de la guerre agressive et de la torture. Suivre les ordres, comme cela a été décidé à Nuremberg et aux Nations Unies, n’est pas une excuse pour violer les lois internationales, ce que persistent à faire les représentants chargés de faire respecter la loi en refusant d’arrêter George Bush lors de ses discours au Canada.
Sur le podium et au-delà , j’ai également attiré l’attention sur l’accumulation des preuves de la probable implication d’une partie du gouvernement américain dans la démolition contrôlée des trois tours du World Trade Center le 11 septembre 2001. Un récent article à comité de lecture, réalisé entre autres par le Professeur de Chimie Niels Harrit, de l’Université de Copenhague, a démontré de façon concluante que la nanothermite, un technologie militaire, a été utilisée pour faire tomber les trois tours. Depuis le 11/9, le gouvernement américain s’en est tenu à sa version initiale : les trois tours à structure d’acier se sont effondrées à cause de l’impact des crashes de deux avions.
J’ai rappelé que les événements contestés du 11/9 sont à la base de la guerre contre le terrorisme (menée par) le gouvernement américain, et qui se poursuit sous le régime Obama, mais sous un autre nom. La plupart des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, que LAW et d’autres organisations imputent à Geoge W. Bush, se sont produits à cause de guerres agressives justifiées par les explications sur le 11/9. Suite à des recherches et publications ultérieures, comme celles du Professeur David Ray Griffin, ces explications sont invraisemblables.
Le gouvernement américain a prétendu dès le premier jour qu’Oussama ben Laden et dix-neuf pirates de l’air, munis de cutters, ont agi seuls pour créer la débâcle du 11/9. Cette version des événements attribuerait le carnage à un terrible échec de la part des renseignements, de la défense aérienne, de l’immigration, de la conception des gratte-ciel, échec pour lequel personne n’a encore été renvoyé pour incompétence ou faute professionnelle.
Dans mon bref discours sur le podium des insoumis à Saskatoon, j’ai attiré l’attention sur l’importance du procès, en mars prochain, de Splitting the Sky, un activiste important dans le mouvement pour la vérité sur le 11/9. Il s’appelle John Boncore. Il a été arrêté à Calgary en mars dernier pour avoir tenté une arrestation citoyenne de George W. Bush.
Par Josh Blakney, Coordinateur médiatique de Globalization Studies (Université de Lethbridge)
Traduction par apetimedia pour reOpenNews
http://www.reopen911.info/News/2009...