C’est dans leur lit, bien souvent, que meurent les plus grandes crapules, sans jamais avoir été ni jugées, ni punies, ni même inquiétées, et sans avoir jamais rendu compte de leurs forfaits*. C’est aussi le cas, et encore plus souvent, pour les crapules plus petites.
Ainsi ce Môssieur Elkabbach à pu déverser durant des décennies des tombereaux d’ordures sur les prolos sans qu’aucune autorité de salubrité publique ne le contraigne jamais à nettoyer ses saletés ainsi que ses injures, ses mensonges et ses calomnies. Il faut avoir entendu ce présomptueux imbécile couiner « Osons ! »** pour connaître le cri du faquin.
Citation du SNJ-CGT France-Télévision*** :
« Elkabbach, c’est une voix d’Europe 1 qui a fini chez Bolloré, une figure des médias privés, un journaliste marqué à droite, un homme accroché au micro pour servir la soupe aux puissants tout en faisant mine de les secouer de temps en temps. Ce “ chien de garde ” s’est accommodé avec tous les pouvoirs en place pour continuer à garder la main sur les interviews politiques au service de ses amis hauts placés. »
* Tels Franco, Pinochet, Bokassa, Mobutu, Bongo,Tatcher, Reagan…ou encore Al Capone.
** En 1993.
*** Communiqué du 5 octobre courant intitulé « Le siège de France Télévisions rebaptisé Maison Jean-Pierre Elkabbach : ils ont osé ! »
L. A. (Bah, on vous l’avait pourtant bien dit et répété : ça ose tout).