Ortega s’est référé à l’affaire durant une rencontre la nuit de samedi avec des partisans à Masaya, à 30 kilomètres au sud-est de Managua.
Le mandataire nicaraguayen a exposé que le Fonds Monétaire International (le FMI) et la Banque Mondiale (BM) ont déjà exprimé leur préoccupation pour « la montée énorme » des prix des aliments.
Le chef sandiniste a rappelé qu’il y a quelques semaines, il avait déjà parlé de ce sujet avec le président du Salvador, Elàas Antonio Saca, et que jeudi passé il en a discuté à Tegucigalpa avec son collègue hondurien, Manuel Zelaya.
Il comuniquera à ce sujet avec le président du Vénézuéla, Hugo Chavez, sans spécifier la date, parce qu’il a précédemment parlé de cette affaire avec son collègue vénézuélien.
Il a aussi dit avoir traité l’affaire par téléphone ce samedi avec le président du Panama, Martàn Torrijos, sur la nécessité « de déclarer une alerte alimentaire à l’échelle de l’Amérique centrale » en disposant aussi de l’aide du Vénézuéla et de Cuba.
Selon Ortega, les pays de cette zone « nous sommes les plus vulnérables en ce qui concerne ce problème de la hausse du prix des aliments ».
TeleSUR - Efe/mc - MC